
V I E T I T R E ( D E D I C A T A I R E .
qu E L L E daignoit t r iaccorder. Je
viens donc lés mettre a S E S pieds une
fécondé fo is, avec la confiance que S A
bonté minfpire.
Je me fais aujfi un devoir de reconnaître
publiquement à cette occafion 3 que
fjfa i pu rajfiembler dans cet Ouvrage les
obfervations faites dans le cours de ma
vie 3 quen les publiant j aie le bonheur
de faire quelque bien, c e fi à cette
bonté que je le dois.
J e n ai jamais profejfé de (intiment
dont je fujfie plus pénétré 3 que du profond
refpecî avec lequèl je fuis
M A D A M E,
de VOTRE MAJESTE’
L O N D R E S ,
le 17 Janvier 1778.
Le très> humble & très
dévoué ferviteur.
JEAN AN D R E DE LUÇ.
AVERTISSEMENT
L Editeur de eet Ouvrage (qui efl l’Auteur
lui-même) en ayant vu la Ire Partie contrefaite
bientôt après fa publication ■, fe croit
obligé de donner cet avis à ceux qui auroient
deffein de contrefaire V Ouvrage entier (auquel
cette l rt Partie ri appartient plus).
Comme la perte pécuniaire de vendre un
Livre au-dejfous de ce qu’il coûte, efl beaucoup
moindre que celle de le garder tandis
que le Contrefa&eur vend fon Edition, VEditeur
efl réfolu, de donner la fienne à tout
prix qui pourra la faire préférer à une
Contrefaçon: & il a pris la précaution d’en
faire tirer affez, pour remplir tout le débit
probable: furquoi fans doute une Contrefacteur
ne verra pas plus clair que lui, &
aura moins d intérêt à risquer l'événement,
L'Edi