
 
        
         
		excrémen$,tant liquides que folides,  
 aboutiflënt  à une efpèce de cloaque  
 commun,  Idem.  Les  principes  du  
 mouvement  vital  font  plus  lïmples  
 dans  ces  animaux  ,  que  dans  les  
 vivipares, p.  ig.  L'humidité,  aidée  
 de   la  chaleur,  fert à  leur  développement  
 , p.  16.  Ils  font  fupérieuts  
 à de grands ordres d’animaux ,p.  28.  
 Leur  nature  eft  ,  pour  ainfi  d ir e ,  
 mi-partie entre celle des  plus hautes  
 &  des plus  baffes claffes des  êtres  vi-  
 yans,  elle montre les  relations  d’un  
 grand  nombre  de  faits  importans,  
 Idem. Le féjour de  tous les Quadrupèdes  
 ovipares » ’eft pas fixé au milieu  
 des eaux, Idem. Plufieurs de ces animaux  
 préfèrent  les  terreins  fecs &   
 élevés  ;  d’autres  habitent  dans des  
 creux de  rochers,  ou au milieu des  
 bois ",  prefque tous  nagent  &   plongent  
 avec  facilité  ,   Idem.  Ils  ont  
 été  appelles amphibies  par  plufieurs  
 N a tu raM e s ,  Ideni.  Ils  périffenC  
 faute d’air lorfqu’ils demeurent trop  
 long-tems  fous  l’e au ,  page  la . Ce  
 fl’eft  que  pendant  leur  état de torpeur  
 qu’ils,  peuvent  fe  paflêr  pendant  
 très-long-tems de  refpirer, Id.  
 I ls  peuvent  être  privés  de  parties  
 aflez  confidérables ,  telles que  leur  
 queue  &   leurs  pattes,  fans  cependant  
 perdre  la  vie  ;  quelques-uns  
 d ’eux  les  recouvrent,  Idem.  Leur  
 fyftêmenerveux n’eft pas aufli liéque  
 celui des autres Quadrupèdes,77*20.  
 Leurs,  vaifleaux  fanguins  ne  communiquent  
 pas entr’eux  autaut que  
 ceux  des-vivipares  ,  page  2 z.  Ils  
 peuvent  fe  paffer  de manger  pendant  
 un  tan s   très ;  long  ,  Idem. 
 Animés par une moindre chaleur, ils  
 n’éprouvent poin t cette: grande def-  
 fication  qui  devient  unéNfoif  ardente  
 dans  certains  animaux,  Ibid.  
 A   mefure  qSSrles  individus &   les  
 variétés d’une même efpèce habitent  
 un  pays plus  éloigné de  l'équateurg  
 plus élevé ou plus humide,&  par con-  
 féquent  plus  froid  ,  leurs  dimen-  
 fions  font  beaucoup  plus  petites,  
 page  2.3. 
 Quadrupèdes ovipares  qui  nont  
 point  de  queue.  Leurs  caraétères  
 généraux  &   diftinétifs  ,  ainfi  que  
 leurs  divers  genres, page  4g8  &  
 Juivartes.  L a  manière  de  fe  déve-  
 lopper  de  tous ces Quadrupèdes eft  
 à  - peu - près  la même  ,  page  gzo.  
 Comparaifon  de  leur  développe—  
 ment  avec  celui  des  autres  ovipares  
 , Idem. 
 Quatre  -  raies.  Defcription  de  
 cette  Salamandre,,  page  492; 
 Queue.  L a   forme  &-  la  proportion  
 de  la  Queue  varient  dans  les  
 lézards ;  dans les  u n s ,  elle  eft aplat 
 ie ;  dans  d’autres,  elle  eft  ronde;  
 dans  quelques  efpèces,  fa longueur  
 égale trois  fois  celle du  corps ; dans  
 quelques autres, elle eft très-courte,  
 page  ij6 .  La  Queue  des.  lézards  
 eft pr.efiqu’aufli grofle à fon origine,  
 que  l’extrémité  du  corps  à  laquelle  
 elle  eft  attachée, p.  ly j. La queue  
 des  lézards  gris  rep.ouffe  quelquefois  
 ,  lorfqu’elle  a  été  brifée  par  
 quelquaccident,  &   fuivant qu’elle  
 a  été  plus  ou  moins, d iv ifé e ,  elle  
 eft  remplacée  par  deux  ,  &   même  
 quelquefois  par trois queues plus ou  
 moins  parfaites, page pop. 
 X - 
 * 
 ■  Queue -   bleue.  Sa  defcription ,  
 page  p6o. 
 R a b o t  e u  s e   ( la   Tortue)  eft  
 térreftre  ,  page  16 1.  Defcription  
 de  là  forme  ,  Id.  Se:s  couleurs,  Id.  
 & fuivante.  On  la  trouve  dans  les  
 Indes orientales, &  particulièrement  
 à  Ambbine,  ainfi que  dans le nouveau  
 monde, page  16’z. 
 Raie  (.peau  de  )  defféchée  &   
 décorée du  nom  de bafilic ,p.  3.84. 
 Raine  - verte.  Sa  defcription  ,  
 pages 5 5 0  & fuiyantes. Son agilité,  
 page  5 5  z.  Elle  peut  fe  tenir  fur  
 les  corps  lès  plus  polis,page  5 5 2 .  
 Manière  dont  elle  chalie  lès:  in-,  
 '"Teétes  dont  elle  fe  nourrit  y  Idem.  
 Durée  de  fon  développement  ,  
 page  Tems  de  fes  amours  , 
 Idem.  Force  dé  fon  coaffement  ,  
 page  5 5 5 .  Manière  dont  elle  s’accouple  
 ,  page  5 5 6.  Sa  couleur  eft  
 fujette  à v a rier,  Idem.  Pays  où  on  
 la  trouve  , page  5 5 7 . 
 Rayonner!  ( Crapaud )  Sa  defcription, 
  p.  g88-  On  le  trouve  en  
 Sa xe ,  Idem.  Il  change  fouvent  de  
 couleur, page g89. 
 Requins  (  lorfque  les )  rencontrent  
 des  tortues., franches  prifes  
 dans  une  foie  ,  &   hors  d’état  de  
 fuir &   de  lè  défendre,  ils les dévorent  
 ,  &   brifent  le file t ,  p.  7 5 . 
 Rejpiration  (  la  )  des  Quadrupèdes  
 ovipares  eft  lente  &   irrégulière, 
   page  14. 
 Réticulaire.  ( Grenouille ) Sa defcription  
 , page p 97.  • 
 Retraite.  Lorfque  les  Quadru-, 
 pèdes  ovipares  choififfent  une  retraite  
 , ils l’adoptent également, foit  
 quelle ne  fu&fe  que  pour  un  feul  
 animal  ,  ou  foit  quelle  ait  aflez  
 d’étendue  pour  receler  plufieurs de  
 ces  Quadrupèdes, page  P4. 
 Ronde  (  la  T ortu e )  fe  trouve  
 en  E urop e, page  z 26!  Sa  defcription  
 ,  Id.  Elle habite de préférence  
 au milieu des rivières &  des marais,  
 page  z 2 7 .  Manière  dont  les  pay-  
 fans  de Pruflela confervent,  Idem.  
 Poche  confidérable  obfervée  fur le  
 ventre  de deux très  jeunes Tortues  
 Rondes,  p.  iz8. 
 Ronflement  (  forte  de  )  attribué  
 aux  tortues  franches , p.  76’. 
 Roquet-  Caraétères diftinétifs  de  
 ce  lézard  , page  pgy.  Ses moeurs,  
 page pg8. 
 Rouge.  (  Raine ) Sa  defcription,’  
 page g(iS. 
 Rougeâtre  (  la  Tortue  )  a  été  
 envoyée  de Penfilvanie fous  le nom  
 dè  tortue  de marais,page  ipz- L e   
 bout  de  fa  queue  eft  garni  d’une  
 pointe  aigue  &   cornée,  Idem.  Sa  
 couleur, hîem. 
 Rouge-gorge.  Defcription  de  ce  
 léfa rd, page  401. 
 - RouJJâtre  (  la  Tortue  )  a  été  
 apportée  de  l’In d e , page  ijg .  Sa  
 defcription  ,  Idem.  Couleur  de  fes  
 écailles , Idem.  Sa  carapace  eft  aplatie  
 ,  Idem. Ses ongles ne  font point  
 émouffés,  Id.  On  doit  la  regarder  
 comme  d’eau  douce  ,  Idem.  Se»  
 oeufs  , page  274. 
 S. 
 S a lam a n d r e s . Caractères de la