M.  de  Géer  (c ) :   auffi  ce  favant  Naturalifte penfe-t-iî  
 comme  nous  ,  qu’il  n?en  eft  peut-être  qu’une  variété.  
 L ’individu  que  nous  avons  décrit  a  deux  pouces  deux  
 lignes  de  longueur totale,  &  la  queue  quatorze  lignes;  
 il  a ,  ainli  que  le  Sputateur,  le  bout  des  doigts  garni  
 de  pelotes  écailleufes,  que  nous  n’avons  remarquées  
 dans  aucun  autre  lézard.  Sa  couleur,  qui  eft  le  féul  
 caraélère  par  lequel  il  diffère  du  Sputateur,.  eft  allez  
 uniforme;  le  deffous  du  corps  eft  d’un  gris  fale,.mêlé  
 de  couleur  de  chair  ,  &   le  deffus  d’un  gris  un  peu  
 plus  foncé,  varié  par  de  très-petites  ondes  d’un  brun  
 noirâtre,  qui  forment  des  raies  longitudinales,  L ’indi-»  
 vidu  décrit  par  M.  Sparman  ,  différait  de  celui  que  
 nous  avons  vu ,  en  ce  que  le  bout  de  la  queue  étoit  
 dénué  d’écailles  ,  apparemment  par  une  fuite  de  
 quelqu’accident. 
 ( c)  Mémoires  de  £Académie  des Sciences de Stockolm j  armée  1784*  
 fécond  trimefire,