(>42 t a b l e
P .
P a t t e -d’o ie • ( Grenouille ) Sa
defcription , page $38.
Pattes ( les ) de derrière des
lézards, font plus longues que celles
de devant, page 277.
Peau. Lorfque les Quadrupèdes
ovipares quittent leur vieille peau,
ils font plus timides, & fe tiennent
cachés jüfqu’à ce que la nouvelle
foit fortifiée par de nouveaux fucs
& endurcie par les impreffions de
ratmofphère, page 72.
Perlée. ( Grenouille ) Sa defcrip-
tion , page 34g. Variété de cette
efpèce, Idem.
Pétrifications dé crocodile, trouvées
en Thuringe , page 224. En
Angleterre, Idem.
Phalanges ( les ) des doigts,font
au nombre de quatre dans plufieurs
lézards , ainfi que "dans plufieurs
elpèces d’ oifeaux , page 2 77.
Pipa. Defcription du mâle de
cette efpèce de crapaud , p. 600.
Defcription de la femelle, p . 601.
Manière remarquable dont les foetus
de cet animal fe développent &
éclofent, page 601.
Plafiron ( le ) des tortues eft
couvert de douze ou quatorze
écailles dans certaines efpèces & de
vingt - deux ou vingt - quatre dans
d'autres, page 49.
PliJJ'é. Defcription du Lézard
Pliile, page 765.
Poids ( le ) total des grandes
tortues marines excède ordinaire-
taent huit cens livres. Dans les
petites efpèces d'eau douce ou de
terre, il eft quelquefois au-deflous
d une livre , page go. Les Tortues
franches peuvent fe rendre plus ou
moins pefantes, en recevant plus ou
moins d’air djjns leurs poumons,
page 77. Le poids qu'elles peuvent
fe donner n’eft cependant pas très-
Confidérable, Idem.
PoiJJbns. Rapports des tortues
franches avec les poiifons, p. 8g..
Ponctuée. ( Salamandre ) Sa defcription
, page 4g 1.
Ponte. Les tortues franches préfèrent
pour leur ponte les fables
dépourvus de vafe & de corps
marins,page 6g. Elles creufent avec
leurs nageoires, & au-deifus de
l’endroit où parviennent les plus
hautes vagues, un ou plufieurs trouS^
d’environ Un pied de largeur, &
deux pieds de profondeur , Idem.
Elles y dépofent leurs oeufs au
nombre de plus de cent, Idem. Les
Tortues franches ’ font plufieurs
pontes éloignées Tune de l’autre »
de quatorze jours ou environ , &
de trois femaines dans certaines
contrées, page 66r Elles choifilfent
le temps de la nuit pour aller dé-
pofe? leurs ’oeufs fur le rivage, Id.
Elles traverfent quelquefois deux
ou trois cens lieues de mer peur
parvenir au rivage où elles trouvent
le plus de f. cilité p- tir leur ponte,
page 67. Le temps de la ponte des
tortues franches varie fuivant les
pays, page 6g. Nombre des pontes
du crocodile ,p. 206. Nombre des
oeufs à chaque ponte, Id. Endroit où
la femelle dépofeXes oeufs,/). 207.
Porte-crite ( le Lézard ) habite
D E S M A
dans Tille d’Amboine, & dans Tille
d-, Java, p. 2S7. Sa defcription, Id.
&Juivantes. Crête remarquable qui
le diftmgue, page 287. Différences
du mâle avec la ferSelle , p. g.8q.
Habitudes du Porte-crête, Idem &
Juivantes. Lieux où on le trouve,
page g.gQ- Sa chair a une faveur
fupérieureàcelle de l’Iguane,p.zg 1.
Pouce. Dans la plupart des lézards,
le doigt extérieur eft féparé des
autres , comme une elpèce de
pouce, tandis qu'au contraire, dans
les Quadrupèdes vivipares, le doigt
qui repréfente le pouce eft le doigt
intérieur, page Z77.
Pufiuhux. ( Crapaud j Sa defcription
, page ggy.
. Pyramides. Qn renfermoit rpli-
gieufement en Égypte lés cadavres
des crocodiles dans de hautes Pyramides
auprès dès tombeaux des rois,
P • 2-33..
Q u a d r u p è d e s ovipares (les)
approchent de très- près des plus
nobles & des premiers des animaux,
page 2. Leurs petits viennent d’un
oeuf, Idem. Ils ne font point couverts
de poil, Id. Ils ne doivent pas
être appellés reptiles , Idem. Les
efpèces des Quadrupèdes ovipares
ne font pas en aufli grand nombre
que celles des autres Quadrupèdes,
page 3. Tous les Quadrupèdes ovipares
iè relfemblent entr’eux & diffèrent
d * autres animaux par des
caractères & des qualités remarquables
, page 6. Le plus grand nombre
des Quadrupèdes ovipares ont des
T I È R E S.
yeux alfez faillans & aflèz gros relativement
au volume de leur corps,
page 7. Us, apperçoivent les objets
de très-loin, Idem. Ils ont prefque
tous, lès yeux garnis d’une membrane
clignotante-tomme ceux des
oifeaux, Idem. La plupart dé ces
animaux jouiflent de la faculté de
contraéter, & de dilater leur prunelle
, Idem. Le fens de Toute des
Quadrupèdes ovipares, doit être plus
foible que celui des vivipares & des
oifeaux , page 8■ Us n’ont point
d’oreilles extérieures, Idem. Leur
oreille intérieure eft plus fimple
que celle des vivipares, Idem. La
plupart de ces quadrupèdes font pref-
quetoujours muets, ou ne font entendre
que des fons défagréables,p. q.
Leur odorat n’eft pas très-fin, Id.
Quelques-uns répandent une odeur
aflèz forte, page 10. Le liège de
l’odorat eft très-peu apparent dans
la plupart de ces animaux , Idem.
Leurs narines font très-peu ouvertes,
mais les nerfs qui y aboutiflènt, font
d’une grandeur extraordinaire dans
plufieurs de ces Quadrupèdes, Id.
Le fens du goût eft foible dans plu-
fie'urs de ces animaux, Idem. Leur
toucher eft très-obtus , Idem.
Leur fang eft moins chaud que celui
des vivipares & des oifeaux ,/?. 22.
Il eft aufli bien moins abondant, Id.
Il peut circuler fans paflèr par leurs
poumons, Idem. Il eft plus épais 3e
ne coule pas aufli vite que celui des
vivipares,page 13. Leur charpente
ofleufe eft plus fimple, Idem. Leur
conduit inteftinal eft plus court que
celui des vivipares, page 14. Leurs
M m m m ij