fit les h onneurs de la maison de la manière la plus aimable,
secondé p ar un autre jeune bomme, M. Tideman,
qui ne se m o n tra pas moins empressé.
« Depuis plusieurs années, M. G e rn a ë rt, intimement
lié avec M. Van-basen, avait mis en commun avec ce dern
ie r son logement et sa table ; il était donc a la factorerie
hollandaise aussi libre que chez lui-même. Aussi
fûmes-nous reçus comme des amis de la maison. Plusieurs
d ’entre nous ( j ’étais du n om b re ) y tro u v èren t des
chambres toutes prêtes cà les rec ev o ir; tandis que M. Vaillan
t et M. Gaudichaud suivirent M. G ernaë rt dans sa
maison particulière , p o u r y loger seulement ; car il fut
convenu entre ces messieurs que, p en d an t n otre séjour à
C a n to n , nous n ’aurions tous d ’au tre table que celle de
M. Sundorff. »
CHAPITRE XXIX.
CANTON.
Tu vois qu’aux bords du T ib r e , et du N i l , et du Gange,
En tous lieux, en tous temps, sous des masques divers,
L’bomme partout est l ’h om m e ..........
L a m a r t i n e .
— Relation du voyage, ' r o m e l l l .