Oimenfions des principales parties du
corps de plnfieurs efpèces d’ailes-pied i
Chauvi- ’Oreillar LaNocfuie. & r i ê
trelle.■
Barbaj
telle.
Le Fer-à-
cheval.
La Ma
te vole
Mule
olant.
Le Campa
piolvolati
te aJ
Longueur du corps, depuis le bout di
mufeau jufqu’à l’anus . .
. i.
0
po Kg.
.9
po
. I
lie8
pi.
0
poî
«g
■ 9
p6i,lig
0 1 ■ po2
lig
0
P‘0
po. lig
2 7
pi. po. lii
.0 ' 4 c
P*
0
po. lig
2 0
pi. po. lig
O • I J
■i pi. pol
0 1
Envergure.................. .... ^ . 3 3 0 9 9 1 2 '■ fié” ^0 • 6 5 0 10 *6 1 ( n 1 6 0 0 8 4 0 7 4 0 7
longueur de la tête, depuis le bout du
mufeau jufqu'à l'occiput . * . ‘ . . 0 1 ■ V • 6 0 S 0 O n 0 0 6 0 0 7 .0 0 ti- 0 1 1 0 0 s> O O 5
Circonférence de la tête,entre les y eux
ôc les oreilles . . . . . . . . 0 1 8 . 0 0 x.o-! O I 9 • 0 1 0 0 1 ' 2 0 : 1 6 . 0 2 6 K x 2 O I. O
Au-deflcus des yeux . . . . 0 1 4 0 0 'jL 0 1 5 '0 0 S 0 0 8 0 * 4 O 1 2 P 0 10L O 0;
Au bout du mufeau . „ . . 0 0 10 ; 0 0 5 0 I 1 0 0 5 \ 0 0 6 0 0 11 0 X 0 0 0 ÿ P 0
i^ftance entre le bout du mufeau &
l’angle interne de l'oeil. . . . . 0 0 6 O 0' 3' O O 4 0 0 2 '.0 G 0 0 4 0 0 6 O p 3 0 p 3 0 0
Longueur de l’oeil d’un angle'à l’autre. Q 0 1 9 9 j§ -0 O 0 o- O L3 0 0 1 0 0 ■- 0 0 xi. O 0 L
Ouverture de l’oeil . . . . . . 0 0 y 0 0 1 '0' 0 ~ ‘ 0 0 - J.
0
Q T O 0 i3 0 0 . ~
Diftance entre les angles internes des
yeux, mefurée eh ligne droite . . Q 0 4L 0 0 2I 0 O 5 0 0 2L 0 9 3. p 0 J « 0 0 0 j 0- 0
Contour de l’ouverture de la bouche. 0 > © O» 0 7 0 P 9
0 ’
O -
Q- 0 5 0 G IO .0 0 xo
0
0
O ;'0
Longueur des oreilles . . . . . 0 0 10 0 1 3 0 O 6 O © 3L 0 0 4L 0 O p 0 0 4f 0 0 4
0\
0
0
9 ^p 1
Largeur à leur bafe, mefurée fur la courbure
extérieure . . . , t . O 0 S 0 0 n 0 0 7 ■ Ô c 4 © 0 6 0 0 S 0 0 5 p 0 6 '
6
"6
0 e
Circonférence du corps dans la région
• du c o u ................................ . 0 3 0 0 6 0 I 6 0 0 6 O 0 7 0 1 3 0 * 7 0 I X 0' 1
Sous les bras, mefure prife à
travers les ailes . . . . . . 0 2 10 0 X y 0 3 0 0 4 3 • q 2 G 0 2/ 9 0 i 5 a x 9 0 1 1
Au-deffus des hanches . . . .0 1 6 0. 1 0 0 2 ° ° 9 • P X 8 0 1 7 0 - I XX e 1 8 ■ p 01
Longueur du cou. . . . . . . 0 0 3 0 0 2_L 0 0 3^ 0 0 2 0 0 2— p 0 s 0 0 2 0 0 2 0 9
Du tronçon de la queue . . . 0 2 1 .0 1 IO 0 2 0 001 1 p 1 I 0 * 3 0 3 0 0 1 8 0 1 2 0 .
De l’extrémité fupérieure, Ou de
l’aile . . . • ................... 0 '7 0 0 4 6 -0- 6 4 O 2 II 0 4 . 7 0 « 4 0 3 10 ' 0 3 6 * “3
Depuis le coude jufqu’au poignet. . 0 s 4 0 1 5 0 2 0 â 1 0 0 1 ! 5à 0 2 2 0 3 3 p * î 0 x 7 01
Depuis le poignet jufqu’au bout des
doigts. -• . . . . v •••i.- ; 0 3 S 0 2 3 0 3 1 4 0 i 6 0 2 61 0 3 1 0 5 3 0 2 6 0 2 1 P | x
De l’extrémité inférieure, depuis le
genou jufqu’au talon . . . . 0 0 ” ï 0 0 9 •0 0 8 0 0 5 0 0 8 0 0 11L G- I 5 0 0 6-
0
0
0 JO
Depuis le talon jufqu’au bout des
ongles. . » • • • • . . 0 0 .6— oy0 5 0 0 6 0 0 3 J. 0 0 4 ‘0 0 6 O G 0 0 0 4 0 0 5 O 0 ;
Du pouce de la main, ou du premier
doigt, jufqu’au bout de Pongle . ô 0 ' 4 1P ; 0 3 ~9k 0 4 0 O jiL 0 0 i p 0 2 O O 5 0 » 9 0 5 9 0
Du fécond doigt . . . . . . 0 2 6 b 1 0 ' 2 2 0 0 p. 6 4 0 2' 6~ °. 3 4 0 ; * 4 0 1 0 0 1 !
Du troifième doigt ^. . . . . 0 3; 8 .0 2 3 9 . 3 1 0 1 >6 0 .2 7 0 3 4 0 5, 3 2 7 : ro; 2 1 0 1
Du quattième doigt . . . . . H [ 3 0 ,9, 2 0. .0 T . ,0 1 3 0 2 - 0, 0 2 8 ,0 4 5 p 2 ? 0 1 7 0 » H
Du cinquième doigt! . . . . . 0 i . 10 0 1 9 .0 2 2 0 h 1 0. Û 0" 0 2 8 0 .3 î 0 I 3 © 1 9 0 J 1
De l’ongle du pouce de la main . Cl 0 ~4 0 0 O G_ ' i O. O., 4 0 0 3_ 0 0 X ,0 0 1 0 0 1
Des doigts dès pieds. . . . . . 0 0 4 0 0 T 0 O O O l~ 0 0 2 0 ô 3 0 0 4~ 0 O 2-L "o 0 yL 0 0
Des plus grands ongles des pledc. 0 0 i- 0 0 s O O ■ o 0 L .0.. 0 1 0 0 iL3 0 e *7 0 O I 0 0 iL c o l
F O N - C T I ’ O N P R E M I E R E .
O s s i f i c a t i o n .
S E C T T O S m i n i ! .
i & a. Les os en général. En général, le fque-
lette des différentes efpèces d’aile-pieds, reffemble
à ceux de la noétule & de la rouffette, (Mrs Dau.-
btnton & F . D. ) Voye^ ci-deffus les articles de
ces deux animaux.
3 , 4 , 5 , 6 , 7 , i l & 17. Les os' dé là teit en
général. Le crâne & tonte la tête ont un grand
volume. ( Boddaert & V. L>. )
Dans la chauve - fouris, proprement dite, on
trouve au-deffus de l ’occiput, une pointe formée
par la rencontre de trois arêtes ,* dont une s’étend
fur le fommet.de la tête, & les deux autres fur les.
côtés .de l’os occipital.
Le crâne, de Foreillar n’a point d’ arêtes of-
feufes.
On en trouve, deux fur la tête du fquelette du
fer-à-cheval. Une de ces arêtes s’étend depuis le
front jufqu’a l’occiput ; elle eft mince & tranchante-,
l’autre- eft lituée en travers fur l ’os occipital ;
elle eft moins faillante que la précédente. Le mu-
feau de cet animal eft très-large; l’ouverture des
foffes nafales-a? beaucoup d’étendue;, las os propres
du nez font ronds, & ils forment une grande,
convexité au-deffus de ce,tte ouverture. (,Mrs Dau*
henton & V. D .)
2 1 , 2 2 , 23 & 24. Les dents. Leur nombre &
leur forme varient dans les . diverfes .efpèces
d’aile-pieds ; elles font à - peu - près aigues
comme, celles du chat. ( Mur alto , Mifc. nat. cùr.
décad. 2. ann. 1. p. 12.9.) La plûpart de ces animaux
ont quatre dents incifives à la mâchoire fupérieure',
& deux, quatre , f ix, ou même huit à
[inférieure ; quelques-uns n’ont que deux incifives
à chaque mâchoire. On n’en trouve point à la.
mâchoire fupérieure dans le fer-à-cheval & dans
la poche ; & au contraire la cephalofe n’en,
a aucune à la-mâchoire'inférieure. Suivant Erxleben
, i’efpèce d’aile-pieds qu’on appelle Tacher eft
entièrement dépourvue de dents incifives aux deux
mâchoires ; en général, les incifives de la mâchoire
inférieure font toutes égales, fituées très-
près les unes des autres, & tuberculeufes. Dans la
plupart des aile-pieds qui ont quatre dents incifives
à la mâchoire fupérieure, les deux internet
font les plus grandes & les plus larges ; & dans
quelques efpèces ( la chauve-fouris, la noélule, l’oreiilar
& le mufeardin volant) ces deux dents font
très-éloignées, légèrement aigues & convergentes ;
d’autres, ont les quatre incifives fupérieures égales
& très-rapprochées. {Pallas.')
Les naturaliftes s’accordent peu fur la diftin&ion
qu’on doit faire des trois ordres de dents ; plufieurs,.
tels que Mrs Pallas & Erxleben, ont pris pour des
canines accejjoires 9 des dents, que M. Daubcnt-oii'
a regardées, avec beaucoup dé fondement, comme
despetites molaires. D ’ailleurs, quelques auteurs
n’ont décrit que des invidus ifolés & de différent
âges; de forte qu’il eft très-difficile de tirer des ré-<
fultats généraux de leurs obfervations.
La table fuivante préfente le nombre de chaque
ordre de dents des deux mâchoires, dans
plufieurs efpèces de ces animaux, d’ après les obfervations
de Mrs Daubenton, Pallas & Erxleben..
Les chiffres placés à coté des accolades, indiquent
le nombre des dents ; dans l’accolade première
, qui ’répond aux incifives, le . chiffre O
annonce que les efpèces d’aile-pieds renfermés dan«
cette accolade, font entièrement dépourvus des
dents de cette forte.
Syjl. Aruft, Tome ///* 9