plus long que l ’autre. On aura (fig. 48 ) O r= A ,
I = E , etc. On substituera donc de part et d’autre
la seconde lettre à la première , comme on le voit
sur la fig. 53. ,
En continuant de parcourir les diverses modifications
du parallélipipède, on les verra passer
par differens degres de simplicité, qui détermineront
de nouvelles égalités entre les lettres indicatives
de leurs angles et de leurs bords, et l’on
aura successivement,
Pour le prisme oblique à bases rhombes, l’expression
représentée^^. 54-
Pour le prisme droit à bases rectangles, celle
qu’on voit fig. 55.
Pour t e prisme droit à bases rhombes, celle d&
la. fig. 56.
Pour le prisme droit à bases carrées, celle de
la fig. 57, pl. V I I .
Enfin pour le cube, celle de la fig. 58. Ici l ’on
n’a désigné que la base supérieure par des lettres ,
parce que l’on peut appliquer à l’une quelconque
des autres faces, ce qui a lieu par rapport à cette
base.
On suivra pour toutes ces différentes formes
primitives une méthode de chiffrer analogue à
celle que nous avons adoptée pour lé parallélogramme
obliquângle de la fig. 48, en se dispensant
de répéter les lettres de même nom chiffrées
de la même manière.
Un exemple fera ,concevoir cette méthode. La
fig. 5g représente la variété la plus ordinaire de
la cymophane, dont le noyau est un parallélipipède
rectangle tel qu’on le vo it^ g . 55. Le signe
1 i±
du cristal secondaire sera M T aG G sB A l "A. J’ai
M T s i o
nommé cette variété cymophane annulaire.
Pour mieux saisir la marche qui a conduit a
Fexpression précédente, indiquons tous les angles
et toutes les arêtes par autant de lettres particulières
, comme si le parallélipipède etoit obli-
quangle. Voyez la fig. 60. Le signe deviendra
M T sG H aBFE* tO. Mais en comparant la. fig. 60
avec la fig. 55, on voit queH=G,F==B, 0 = A , etc.
donc substituant a la place des premières lettres
1 1 ¿ i
leurs valeurs , on aura M T aG G 2B B A 1 lA , qui
revient à,1’expression indiquée ci-dessus, en sup-
1
primant la répétition inutile de B.
Il résulte de ce qui précède qu’il faut éviter
de confondre par èxemple °G G 2 avec G 2 aG. L e
premier signe indique des décroissemens qui se
font sur la face T (fig. 55) , et sur celle qui lui
est opposée, en allant des arêtes G vers celles
qui leur correspondent derrière le parallélipipède
; le second désigne des décroissemens
qui se font sur la face M , en allant à la rencontre
l’un de l’autre. Si les deux décroissemens