toujours davantage de coïncider avec celles du
noyau , et en même temps l’angle formé par
chaque côté, tel que gq ( Jpg. 38) du triangle gqz ,
avec le côté correspondant db du triangle dbx
ira en diminuant. Au-delà d’un certain terme
la ligne pu sortira du premier triangle, comme
on le voit (j/%*. 4$ ) , et coupera le prolongement
de g q , de manière à conserver constamment
la même valeur.
S i , au contraire, on suppose que les valeurs
de n diminuent et représentent successivement
des décroissemens qui augmentent dans le sens
de la hauteur , l’angle formé par gq avec' db ira
lm-meme en croissant e t, passé un certain terme,
chacune des faces produites par le décroissement
intermédiaire se rejettera vers une des
faces du noyau, voisine de celle où le décroissement
aura pris naissance ; alors le côté gq sera
censé avoir tourné de manière à se rapprocher
du parallélisme avec x d 9 et lorsque l’un e t l’autre
seront devenus exactement parallèles, comme on
le voit fig. 46 , le rhomboïde secondaire pourra
être conçu comme étant produit par un décroissement
ordinaire sur les angles supérieurs, dont
le décroissement intermédiaire ne fera plus que
seconder l’action.
99. Dans ce même cas, on aura n = ■§. Effectivement
, si l’on substitue cette valeur à la place
de n dans le rapport un-f -3 : V 4n% -f- 5 , on
trouve g 1 : p r : : 4 : V ^ : • V ^ • V 3 , ce
qui est le rapport auquel on parvient, en supposant
deux rangées de soustraites, dans le sens
de la largeur. Ce cas a lieu pour les facettes
qui, sur l’analcime triépointé, remplacent trois
à trois les angles solides du noyau cubique de
cette substance.
D’après la même hypothèse, on trouve que
nt ou n t } = 4 V \ , et si l’on mène bn qui sera
sur le prolongement de ¿rra, on aura bn — u<\/~\\
et bp' = 3 V |» Mais p } t' — n f — np1 = 4 V I
^/T— 3 V ?• Donc p' tr = bp'. Donc aussi du
— bd =2,. Donc pu7=5 , comme d'ailleurs cela
doit ê tre , d’après la valeur générale trouvée
pour cette ligne.
100. Si l’on fait n = 2 , on trouve g 1 \ p 1 : : 7
: : : V 7 : 5 résultat jusqu’à présent
hypothétique, mais qui mérite d’être c ité , en
ce qu’il offre le passage du cube à un rhomboïde
parfaitement semblable à la forme primitive
de la tourmaline.
Des formes secondaires composées relatives au
rhomboïde.
101. Les formes secondaires composées, surtout
celles qui ont un rhomboïde pour noyau,
ne sont, la plupart, qu’une combinaison do