enfin 1 observateur est exerce, et plus aussi les
résultats de part et d’autre approchent d’une parfaite
coïncidence.
L ’observation déjà faite par rapport au dodécaèdre
à plans rhombes s’applique comme d’elle-
eme au cas présent, c’est-à-dire qu'au lieu de
vingt-quatre décroissemens , savoir douze par
deux rangées en largeur, et les douze autres par
deux rangées en hauteur, on peut se borner à né
considérer que les douze premiers, en supposant
que leurs effets s’étendent de l’autre côté des arêtes
qui leur servent dé lignes de départ.
Donnons un nouvel exemple emprunté de lu
chaux car bonatée métastatique ( f i g . 6 , pl. I ),
Nous avons v u , en examinant la position du
no v au , que les arêtes E O , O I , Ï R , etc. se confond
oient avec les bords inférieurs ( i ) de ce
noyau, { f ig . 7 ) d’où il suit que ces mêmes bords
sont les lignes de départ des décroissemens, qui
n’ont lieu ici que par rapport à eu x , et sont nuls
relativement aux bords supérieurs..!-
Or il est facile de concevoir que les bords des
James de superposition forment, par leursomme *
autant de triangles E s Q , I s10 , E s10 , etc*
appuyés sur les lignes de départ; et comme ces
( x ) J’appelle bords supérieurs ceux qui sont contigus à
chaque sommet, et bopds inférieurs ceux qui sont opposés
aux précédens , quelle! que soit la position du i*hoxuhoï.de
dans l’espace. • ••• • « u
lignes sont au nombre de six, il y aura douze
triangles, six dans la partie supérieure, et autant
dans la partie Inférieure ; et tous ççs triangles
seront sealènes, à cause de l’obliquité des lignes,
de départ.
A l’égard de&' bords supérieurs des lames de
superposition, non - seulement ils ne subissent
aùcun décroissement? mais il est même nécessaire
qu’ils se prolongent ? en restant toujours contigus
à l’-axe du cristal, pour que le noyau continue
d’être enveloppé vers ses deux sommets, comme
dans le cas où il croîtroit saps changer de forme.
C’est encore au calcul combiné avec l’obser-v
vation qu’il appartient de déterminer la loifjde
décroissepient d où dépend le dodécaèdre. O r , si
l’on suppose que cette loi agisse par une rangée,
pn prouve que dans ce cas les deux faces produites
de part et d’autre d’une même arête seroient
sur un même plan, et que d.e plus elles seroient
parallèles à l’axe, ce qui ne peut convenir au cas
présent. L ’hypothèse la plus simple qui se pré-,
sente ensuite, est celle d’un décroissement par.
deux rangées çn largeur. O r , ici le calcul démontre
que le dodécaèdre qui naît de cette loi
doit avoir deux propriétés remarquables f l’une
est que l’angle obtus SEO de l’une quelconque
de ses faces a exactement la même mesure que
l'angle obtus du noyau, c’est-à-dire qu’il est de
iQrd' 32' i3 ;/; l’autre consiste en ce que les incli