X ■ -y
Donc al-=. —~ ■■ nxjr— i i Z
V î V
\ / ( 2nxy + x —y V
y \ 3 « a r j-— 3 x - f 3y J à J + lg *
Reprenant la proportion om : on : : ad : a l ,
et substituant pxJrPjr . on . . 2 p . \ . . .
x —y r
X -y
n x y — x + y
V I a* g*
• / fi 2nxy + x —y \ a a . i . V \ 5 n x j - — 5 x + 5y ) a "*"3 ^
D ’où l’on tire ,
x + y
n x r — x 4- r o n — ------------ ------ —
V I « ’
\ \ 5 w x j - — ' 3 x -J- 5 y j
i3 &o-1
Donc ô o : o n : : g : la fraction précédente ; et
faisant disparoltre *le dénominateur de cette fraction
, puis divisant les deux termes du rapport
par g , bo : on : : . ; . r . ; , . . . . . .
. / T l l* £ ± . * - 5 ^ 7 - + I f r - f V F
V \ 3 ( » * r — x + y ) J n x j '— x + j - • ; ; • ;
:: V l ( 2 nxX+ x—y y a* + (nx y—x+y )3 4 g*
: (x + y ) V a*'
78. On' n’àuroit besoin à ïa rigueur que 4»
ce rapport joint à la loi que subit le décroissement,
pour déterminer un cristal du genre de
D E M I N E R A L O G I E . 565
ceux dont il s’agit ici. Un’ exemple fera connoître
la manière dont on peut se conduire dans cette
détermination.
Supposons que H X ( fig. 26 ) représente la
chaux carbonatée paradoxale, abstraction faite
des facettes qui modifient la forme dominante.
En essayant de diviser mécaniquement le cristal,
je remarque que chaque coupe, telle que g S'Ç,
part de l’une des arêtes les plus courtes, et se
relève de manière que son angle <F contigu à
l’arête Q X est d’environ 45d*.
i Cela posé, je vtrace le rhombe abS'il (fig. 28 )
semblable au rhombe primitif, et du point S je
mène J'gjfTÇ’ dont chacune fait avec la diagonale
a S un angle de 2 2d* ¿ j il est clair que ces
deux lignes représentent les positions des deux
bords décroissans d’une même lame, en sorte que
h t et bS sont entre elles comme les nombres
d’arêtes de molécule soustraites des deux côtés
de l’angle vers lequel se fait le décroissement.
Or en comparant ces mêmes lignes, je trouve
qué bS est sensiblement double de A * , d’où je
conclus que dans la formule ci - dessus , ai = . 2
et y = i. Comme je ne connois point n , je lui
suppose d’abord la valeur la plus simple, en faisant
n = 1. D’ailleurs a* = 9 et g* — 5. Substituant
ces quantités dans les expressions de b o
«t o n , on trouve bo :o n : : y/29 : y/a7 , ce qui