
 
		leurs  égaux  y  2 : V  4 ;  V 3  : V  6  ;  y/"4  1  V"8*»  
 je  m’apperçois  qu’il  suffit,  dans  cette  dernière  
 expression,  d’augmenter d’une  unité  le  nombre 
 8  ,  en  faisant  y/ 4 :  y/  9  pour  avoir  le  rapport  
 commensurable 2 : 3 ,   qui  sera un peu plus grand  
 que  le  premier.  J’essaye  donc  ce  rappo rt,  en  
 supposant  que  l’on  ait dr  :  u r  :  :  2  : 3. 
 O u ,  v f r :  f j z r l  V ÿ ? — 3 g 71 2  : 3 ( V. 69). 
 E t  à  cause  de  g  =   y  3  et  g   =   y  2  , 
 (2 »   '-f-  a\  _  _ 
 6 m ) 3 : : .a : 3 - 
 D’où l’on tire 6 rc —  3 =  2 ra, -j- 2,  et rc =  f  : 
 Donc  puisque  n  exprime  le  nombre  de  rangées  
 soustraites  en  hauteur,  le  décroissement  se  
 fait  par  quatre  rangées  en  largeur  et  par  cinq  
 en hauteur. 
 Cherchons  dans  cette même hypothèse le  rapport  
 entre  les  demi - diagonales  g r  et  p 1.  Nous 
 avons eu ci-dessus, g J  : p 1  :  :  y/  ( 2 n —  1  ) 2 3 g 3 : 
 y/   ( n 2 3 ^ ^ (3~77r  —  6«) g 2  (  voyez  69.) 
 E t  en  faisant  rc =  f ,  g =  y  3 , /?  =  y   2. 
 g' :pf : : y / 1  • 3  • 3 :  y  1 |  *3 • 2— 4 1  • 3 : : y  12 : y  i 3. 
 . D ’après  cette  donnée ,  on  trouve  que  la  plus  
 petite  inclinaison  des  faces est  de  87d*  47r  >  
 conformément  à  l’observation.  / 
 71.  Il  est souvent plus court de  supposer  suc- 
 D  E  M I N E R A L O G I E .   355  
 cessivement  différentes  valeurs  à  n ,  jusqu’à  ce  
 qu’il  s’en  trpuve  une  qui  conduise  aux  mesures  
 d’angles observées. Mais dans  les  cas  où  ces mesures  
 elles-mêmes  fournissent  un  rapport  très-  
 simple  entre  les  lignes  qui  servent  de  données ,  
 comme  nous  venons  de  le vo ir , cette  simplicité  
 annonce  seule  avec  une  grande  probabilité  que  
 la  loi qui dépend de  ce  rapport  est  la  véritable ,  
 et  l’on  se  sauroit  ici  d’autant  plus  de  gré  d’être  
 parti  de  ce  même  rapport, que  l’on  auroit  évité  
 par  ce  moyen  les  divers  tâtonnemens  qu’il  eût  
 fallu  faire, pour  arriver  à  la  loi  mixte qui produit  
 le  cristal  cùboïde. 
 72.  Cherchons  si  parmi  tous  les  rhomboïdes  
 secondaires possibles,  il  y   en  auroit  un  qui  fut  
 Semblable  au  noyau. Dans  ce  cas  g* : p' \ : g  1 p.  
 Substituant le Second rapport au premier, dans la  
 proportion que nous avons donnée plus haut (69), 
 nous  aurons ,  g  :  p  :  :  y/  (  2  n  1  3  g 1  : 
 y/ ( n H - 1 )x 5 p 1 4 - ( 3 n1—*6  n )g \ 
 D ’où l’on tire, en faisant disparoltre  les  signes radicaux, 
   et en développant  les quantités (2«— i) a  
 et  ( n 4 -   i )1 , 
 3  jix p x  4 - 6 n p x  -f-  3 p 1  4 -  3  nxg x ~ ~ 6 n g x  =a  
 I2 n i px—   12 n p x 4 -  3 p x. 
 Et  réduisant,  nx ( 5p x —  g 1) =~n  ( 6 p x —  2 g 1),  
 ce  qui  donne  n ¿s  2. 
 C’est-à-dire  que  le  résultat  dont  il  s’agît  est