liv A V E R T I S S E M E N T.
et où toutes les substances minérales sont distribuées
, nommées et décrites, avec beaucoup de
soin, conformément aux principes du savant professeur
de Freyberg.
Je joins ici la liste des principaux auteurs que
j’ai cités, avec la date des éditions dont je me suis
servi, ce qui me dispensera de répéter cette date
dans le corps même de l’ouvrage.
Wallerius, Systema mineralogicum ; Viennæ ,
1778;
De Born, Catalogue méthodique et raisonné de
la collection des fossiles de Mademoiselle Eléonore
de Raab j Vienne , 1790.
De Lisle ( Romé ) , Cristallographie 5 Paris ,
178S. ■ •
Werner , Ausführliches und systematiches verzeichniss
des mineralien-kabinets des Pabst von
Ohain, ou Catalogue raisonné et systématique du
cabinet de minéralogie de M. Pabst de Ohain j
Freyberg, 1791 et 1792. ' \
Emmerling, Lehrbuch der minéralogie , ou Élé-
mens de minéralogie5 Giessen, 1793 . . . . 1797-
Manuel du minéralogiste, ouSciagraphie du règne
minéral, par Bergmann , traduite par le Citoyen
Mongez le jeune , avec des notes qui renferment un
grand nombre d’observations propres à faciliter
l ’étude des minéraux 5 nouvelle édition, considérablement
augmentée par Lametherie 5 Paris, 1792.
Cet ouvrage sera cité sous le nom de Sciagraphie.
Karsten , Mineralogische tabellenj Berlin-, 1800.
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A V E R T I S S E M E N T . lv
Daubenton, Tableau méthodique des minéraux,
6e. édit. ; Paris, an 7.
Brochant, Traité élémentaire de minéralogie j
Paris, an 9.
Parmi le^ noms spécifiques que j’ai adoptés, pour
les substances terreuses, ceux de nouvelle formation
seront suivis de la lettre m, ou f , qui fera
connoître s’ils sont du genre masculin ou féminin.
Les figures ont été tracées d’après la méthode des
projections, en supposant le point de vue éloigné à
l’infini. Les lignes pleines représentent les arêtes
situées dans la partie du solide qui seroit tournée
vers l’observateur, s’il le voyôit dans la position à
laquelle se rapporte la projection 5 et les lignes ponctuées
représentent les arêtes situées dans la partie
opposée, ou celle que l’observateur ne pourroit
apercevoir, qu’en supposant le solide diaphane.
Dans les figures relatives aux constructions géométriques
, on a représenté les diagonales et autres
lignes couchées sur les faces du solide, par des
suites de lignes partielles, qui laissent entre elles
de petits vides j voyez m r , cm, c r {jig. 4 ) ,
pl. IX; et bg, a d , b f , f g , f s (fig. 9 ),, ibid.;
et l’on a représenté les axes et autres lignes qui traversent
le solide, ainsi que celles qui sont extérieures
à son égard, par des suites de lignes partielles,
avec des points intermédiaires. Voyez cg
( f îg-9) Pi- IX, et M R , CM , C R 0 %. 4 ) ,
ibid. Gn pourra remarquer sur cette même figure,
que les parties supérieures des lignes Ms, R u , qui