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•w . (* ('î î ^ ) ) : ^ ^ = " 5^ V ÏK :
DonÇ k proportion t j : tn : : p y x p z devient
v ^ 3 $ B # i S W ; 5 S r ;
(2/z - f 3) ( 6 / i— 5)
6 « — 5 / y — ^ . ■ 4 « . 6/i V * % j rÆ
R i s n i îoe m
Comparant ©/? avec p z x on trouvera
■Sgi ¿ 4 ? y ^ X r ^ r î°4 H ! r£r- ^
Spit y/^, /? = y/IT' comme dans la tour-,
maline. Supposons de plus n ■=. j , ce qui indiqué
un décroissement par deux rangées. Nous aurons
d’une part b c ( f ig . 19 ) : c e « y / lT : ! , ee qui
donne 155d* 35' 4^jpour l ’incidence de p i o sur
k to . -
Dune autre part op (fig. 23 ) : p z : : \Zaÿ: 1 ,
ce qui donne 158d' 11148;/, pour l’incidence de
ç tk (fig. 19) sur rtk.
Ce resultat a lieu par rapport à six des faces
qui composent l’un des sommets de la tourma»
line prosennéaèdre.
60. À mesure que la loi des décroissemens
varie, trois des arêtes longitudinales contiguës
à chaque sommet, telles que t o , tr, etc. (fig- 19)
ëpnservent la même inclinaison par rapport à
l’axe, puisqu’elles sont constamment parallèles
aux diagonales obliques du noyau, tandis que
les trois arêtes intermédiaires font avec l’axe des
angles plus ou moins ouverts, en se relevant ou
en Rabaissant. Il y a donc un terme où les six
arêtes étant également inclinées àFaxe deviennent
égales, en sortp que le solide prend la formp
d’un dodécaèdre composé de deux pyramides
droites réunies par leurs bases. Cherchons si ce
résultat peut être produit par une loi régulière
de décroissement,
Il est évident que dans çe cas gn (.Jig. àx mâr
n i 9 ou y/ ‘| g* 2, f y/ 1 g-*' qui donne
p ■;=£-. C’est,à-diré que le décroissement a lieu
par trois rangées. La cristallisation nous offre des
exemples de ce décroissement dans les facettes
qui forment une espèce d’anneau autour des
bases du corindon uniternaire, dans celles qui
sont situées latéralement deux à deux sur le fer
pligiste binoternaire, etc. \
61, Cherchons s’il y a un pas ou le dodécaèdre .
avant ses triangles deux à deux sur un même