et on} on substitue à la place de x , y , g et
a , leurs valeurs numériques, on aura bo : on : :
V49. 20-f-f. 121.12 : 5 V 12 :: V I23 : 5 ,
d’où il résulte que l’incidence cherchée est de
i 3 i d 26*.
20. Pour l’incidence de CXQ sur CXB.
Supposons, à l’ordinaire, un plan coupant qui
passe par quelque point de l’arête C X , et soit
perpendiculaire à l’axe HX. Soient hxq 3 hxb
{fig. 36 ) les deux portions des faces CXQ et
CXB ( Jîg . 3 5 ) détachées par la section de ce
plan. Soit xy (fig* 36 ) la partie correspondante
de l’axe ; menons y q 3 yb , yh 3 puis b q , ensuite
qm perpendiculaire sur xh et enfin mn. L’angle
qmh sera la moitié de celui qui mesure l’inci-
cidence de CXQ sur CXB { fig . 35 ).
Par la construction, la ligne qx {fig - 36 ) répond
à QX ( fig . 35 ) , ou a mx ( f ig . 34 )• Donc
qy et xy { fig . 36 ) sont entre elles dans le rapport
des lignes ly et ay { fig . 34 )• Donc qy
ifig- : M M V ?
:: nxy -f- x — y V 12#-1 : 2nxy — x + J "
:: 7V 6 o^ : i i Y 12 :: V 24^ 1 l l -
D’une autre part, si l’on fait attention que lès
arêtes également inclinées à l’axe alternent
entre elles non-seulement vers chaque sommet,
mais encore d’un sommet à l’autre, on en con-
D E M I N É R A L O G I E . 387
dura que l’inclinaison de xh sur 1 axe xy est
égale à celle de hd sur hr {fig. 34 ). Donc xy
( ^ . 36) : 47 : ( ^ . 34)
I y j p : : f f V"ï"2 : M Û : : 1 3 : V 2 4SSoit
x y = i 3 , et h y = V ~ ^ - Substituant à la
place de xy sa valeur dans la proportion q f :
xy : : V 24^ : 11 ? 011 aura 917— t t V 24^*
Or , en suivant une marche semblable a celle
que nous avons déjà indiquée, on trouve qn : mn
: : qy V ^ j T f E ^ Ô 7 ) : xy { 2hy— qy ). Et
substituant les valeurs numériques, qn : mn : :
f f y 245 X ( 1 6 9 + 2 4 5 ) : l 3 ( 2 V 2 4 5 “ "
if ) • • ït : A •• I V46 : V3 ,
d’où l’on déduit i 5i d. 2 0 f pour l’incidence de
CXQ { f ig 35 ) sur CXB.
g 4 # Je passe à une autre espèce de décroissement
intermédiaire qui se rapporte à un noyau
cubique et qui a lieu en même temps sur tous les
angles. Mais je supposerai, pour plus gran4e
simplicité, que le cube fasse ici la fonction de
rhomboïde, et que le décroissement n’agisse que
sur les angles contigus aux sommets. Soit e x
{fig- 37 ) une projection horizontale de ce cu b e ,
et soit a l’un des sommets. Concevons que les
bords des lames décroissantes soient alignés
comme e f3 (i\, h , de manière que l’on ait ae =
2 a f% jm = 2 a$, et as• = 2 a f , d’où l’on voit que