la chaux carbonatée, la tourmaline, le'fer sulfaté
, etc. Alors , ou bien il se fait un second
décroissement d’où résultent des faces latérales
dont les intersections limitent la face supérieure,
ou bien il reste des faces parallèles à celles du
noyau.
sur n m, menons a d f qui fasse un angle quelconque avec
c p , puis menons d b parallèle à cette dernière ligne. Faisons
ab — oc, b d — a , dm — g. Nous aurons x ; a :: g ,-
fm, — —. Si nous supposons maintenant que la ligne a d f
J X
restant fixe par le point d , s’abaisse par son extrémité a ,
de manière à prendre successivement la position o d p , et
d ’autres positions qui soient telles, que le point o tende
continuellement vers le point b , la ligne a d f approchera
déplus en plus du parallélisme avec c p , qui est la limite
de toutes les positions dont il s’agit. En même temps dans
réquation fm = — , la quantité fm ira en croissant, et
la quantité x diminuera. Or lorsque x s’évanouit, auquel
CL g • -
cas l’équation devient fm — — , le point a se confond
avec le point b , et la ligne fm est infinie , puisqu’elle ne
peut plus rencontrer la ligne a f , qui lui est, devenue
parallèle, en atteignant la limite de ses positions. On voit
a g
p a r là dans quel sens on doit entendre que le rapport —.
représente une quantité infinie. C’est sous ce point de
vue que la diagonale ao ( fig. 11 ) du rhomboïde secondaire
étant devenue parallèle,, dans le cas que nous venons
de considérer, à la ligne o r , qu’elle rencontroit jusqu’alors,
doit être considérée comme une quantité infinie.
40. Si
D E M I N E R A L O G I E . 3s i
40» Si nous supposons maintenant des décrois-
semens en hauteur, il est facile de voir que les
faces qui en résulteront se rejetteront du côté
opposé à celui où naît le décroissement, en sorte
que l’on aura encore des rhomboïdes secondaires
toujours moins obtus, à mesure que la hauteur
des lames ira en augmentant. Donnons aussi la
manière de calculer les effets de ces décrois-
semens.
Soit a g s d ( f g . 14 ) la coupe principale du
noyau , e b a z t le triangle mensurateur dans lequel
a z mesurera une simple rangée, c’est-à-
dire , qu’elle sera égale à une demi - diagonale
oblique de molécule , et t z sera égale à autant
d’arêtes de molécule , qu’il y aura de rangées
soustraites dans le sens de la hauteur.
Si l’on prolonge ta au-dessus de a g , la ligne
ay coïncidera avec la diagonale oblique du rhomboïde
secondaire , dont la coupe principale sera
a p s k.
Ayant prolongé s g jusqu’à la rencontre de ap,
menons y u perpendiculairement sur l’axe a s. Il
s’agit avant tout.de déterminer le rapport entre
uy et au.
Cherchons d’abord uy.
Les triangles semblables s g m 3 s y u donnent
s g : s y : gm : uy.
sg = zp. sy czxsg -\~gy> Cherchons gy.
T ome L X î