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éievées°Uen'tChang eSt 16 Style deS comPosition*
d f,e,f°Uan:h0a est ie '“ e res et de toutes les pergsoagnen edse sin smtraunitdeas.rins,
peupiet lang'ta" 'e Pat° iS °U ie IanSaSe du
_LeKou-ouen se subdivise en trois sortes : ie
ang- ou-ouen, qui est un style concis et rempli
images : c’est celui des King et de quelques
anaenne., descriptions ; le Tchong-lou-ouen, qui
e stye des ouvrages, composés depuis les mg jusqu à i’mcendie des livres par Chy-hoang-
V . en avant J. C.; et ie Hia-lou-ouen, qui
fa fi I r 1 “ ’,ïreS depUÎS ,es Han
la fin de ia dynastie des Song. Ces deux derniers
styles approchent de ceiui des King; mais il y a
une différence : on peut ia comparer à celle qui
oxtste en peinture, entre i’originai d’un grand
maître et ia copie faite par une main habile.
e Ouen-tchang n’est pas aussi laconique que
Sse chou ou fa , uatre ,lvres Confllc;as
le Tchong-yong y Uju /, le Lun-yu
[Jis,o»n,,jarol,s], «t les oavrages de Me tSe ■ X
Î Î Î7 ‘71 iUr * la * “ » * ' des Tcheou ; ,
J. Us l.vrn de la prêté filiale, |e |iïre intitulé Tao-te-kine
fc Tsou-.se e, le Chan-hay-king, pour ,a poisie . * “ «/
4- Les trois anciens commentaires du Tchun-tsieou;
* ! 0WraSK et de quelque, autres auteun.
le Kôu - ouen ; mais il est plus fleuri et plus
recherché. II faut, pour bien écrire en Ouen-
tchang, connoître parfaitement la formation des
caractères, et savoir distinguer ceux que les Chinois
appellent morts ou vivans, pleins ou vides.
Dans f Ouen-tchang, un écrivain doit chercher de
préférence les caractères qui fortifient la pensée,
l’embellissent et la rendent, pour ainsi dire , palpable.
Veut-il exprimer, par exemple , que l’empereur
est mort ! Il ne se sert pas du mot ordinaire
Sse [ mourir] , il emploie de préférence ie mot
Pong/montagne qui se fend et s’écroule], parce que ce
caractère peint et rend avec énergie toute l’étendue
de Fidée que se fait l’écrivain de la mort d’un empereur.
II peut encore , en parlant de cet événement,
se servir du terme Pin-tien [un hôte est entré
au ciel] . Cette expression plus douce remplit le
même b u t, sans émouvoir cependant le lecteur
aussi fortement que la première.
Le juste emploi de ces mots demande beaucoup
de talens, et le choix en est difficile dans ia langue
Chinoise, dont la richesse et l’abondance nuisent
souvent à la clarté du discours. L’arrangement des
tons nécessite également un grand travail ; -car un
écrivain qui ne veut pas que son livre soit rejeté
avec dédain, doit éviter attentivement que le même
son frappe l’oreille plusieurs fois de suite : enfin,
une composition en Ouen-tchang parfaitement