
comparera, on calculera ; & quelque diffi.
cile qu’il femble aujourd’hui de fixer l’époque
où nos Continens commencèrent à fe couvrir
de terre vègétable, la fagacité & la perfévé*
rance de l’Homme lui ont déjà mérité tant de
\ découvertes inattendues, qu’on ne doit point
défespérer de celle*ci.
LETTRE
L E T T R E L X I .
{ ÿ o y a g e d’H a n o v r e à G o t t i n g ü e —— *
Comparaifon du fol de ces Pays-là, avec te
fond dp s Mers voijines •— D'i greffon fur
les animaux carnaffiers •— 1 Réflexions fur
les pei'ifes Villes.
H a n 0v r r le »p. .$ov; .ijyfyü
A d a m e ?
j\ /fr E ,voici, arriyé à la partie de mes cour*
[V i t (es dont j ’attendois d’avance le plus
j de plaifir lorsque je pris la liberté de demander
à V . M. Ja permiflion de la faire. J ÿ
ai vu encore la Îfnt%rç & 1 Hçtnine fous des
points de vues auffi inftruÀifs qu intereflansj
| & je m’eftimerois bien heureux, fi le compte
que j ’aurai l’honneur d’en rendre à V . M .
pouyoit être .¡un moyen, de L u i témoigner I )ua , reçonnoiitanpe du, bonheur dont E l l e
pi’a fait jouir. , ,
T’eus l’avantage de faire la route d Hano-^
Dre à Gottingüe avec Mr. le ProfeiTeur L i c h »
Tom S f bnb e r o /