
L. L IV . Conj eétures far l’état des Bruyères
de la B a s s e - S a x e , au tems où les
défricbemens y ont commencé . • • ' ■
EsquiiTe des caufes qui ont porté les
hommes à cultiver la T e r re , & de la
marche qu’ils ont fuivie ■— — ■ Lzpares-
fe naturelle de l’Homme, exige qu’on le
forte un peu de la fimplicité t pour donner
lieu à l’augmentation de l’Espèce
humaine. . . . . .
L. LV. Voyage d’H A n o v r e à Z e . l l > »
Les Bruyères de ce Pays-là font encore
dans les maïns de la Nature , partout
où elles font reliées incultes «Idée
d’un calcul , fur le tems qui s’eil écoulé
depuis que ces fols font expofés aux influences
de l’air, tirée du degré de leur
fertilifation naturelle - ----- Remarque
fur la fertilifation des fables mou vans.
t . LV I . Etàbliffement des nouveaux Colons '
dans les Bruyères ■— Remarqués Rir
les fuites des prifes de pofjeffion du terrein
par les individus. „ . , . t
L. LVII. Règle fage & humaine , fuiviç
dans i’Eledqrat ¿ ’Ha n o v.re,* ,p o u lie
partage, ou la culture, des terreins reftés
communs. » »•
L. LVI1L Première notice des défrichemens
dans les, Tourbières du Duché de B r è me
. . ♦ • • • • * *01
L, LIX Difficultés des défricbemens dans les
Pays arides ■ 1 — Eiïai fur les moyens
par lesquels on peut vaincre ces difficultés.
. • • • XI3
| L . LX. Concluiion fur le partagé des ter-
reins reliés communs ; & fur la partie
cosmologique des défricbemens dans les
Bruyères. . , ♦ • 133
t . LXI. Voyage ¿’H a n o v r e à G o t t i n -
gu e — — Comparaifon du fol de ce
Pa y s - l à, avec le fond des Mers voiünes
-------- Digreffion fur les Animaux
carnaciers -- . Réflexions fur les petites
Villes. . . • • * *45
L . LXII. Route de G o t t i n g d e au
flartz » ■— Remarques fur les liettx
où les Manufactures font convenables — *
Utilité des Poêles dans les Maifons des
Villageois. . . . . . 163
X . LXIII. Dimanche de C l a u s t h a l — *
Bonheur attaché à la Règle & à la confiance
publique. . s * *9*