
que le Thermomètre de Fahrenheit fut à 4.60
J’allai de là finir la journée avec celui ouj
avoit fi fort contribué à la rendre inté reliante
pour m o i, & gui voulut bien encore m’aider
par fqn entretien à mieux comprendre plu.
fieurs des chofes qué là brièveté du tems r8
m’avoit pas permis d’obferver dans les Mines
piêmes,
L E T T R E
LETTRE. L X l l<
fttransformation du Minerai en M é ta l. Cal-
I cu l de la quantité qui s'en exhale — Moyen
I de garantir les Fondeurs des ■pernicieux effets
■ de ces exhalaifons.
H a n o v r e , Décembre 1776,
M A D A M E ,
É jour d’après mon voyage aux mines
fut ceDimanche où j ’eus tant de plaifir
à contempler les habitans de Claufihal. Dans
¡ ’après midi Mr. De R e d en eut la bonté de
¡ne conduire aux Bocards & aux Fonderies ;
Beft à dire aux laboratoires où le Minerai fe
lonvertit en Métal. Ces opérations ont
¡noins rapport à l’Hiftôire naturelle qu’à
fa Métallurgie ; & furtout elles paroiflent
» ’abord en avoir peu avec mon principal ob-
l e t , l’hiftoire de notre Globe. Cependant,
fouis que nous avons fuivi le Minerai depuis
■es entrailles de la Terre jusqu’au jour, V .
M.