
nous montre l’Homme fimple qui vit aux
champs; celui qui, je l’espère, fera un jour
la partie la plus eifentielle à confidérer, lors,
qu’on parlera de Y Homme. J’ai déjà entrepris
plus d’une fois de le peindre à V . M. & je ne
pourrai m’empêcher de tirer encore des Brufi.
res quelques nouveaux traits pour cet intérej.
fant tableau.
lÊ Ê S Ê S Ê B ^ m tsM '
lettre
[ L E T T R E LX.
Eonclujion fur le partage des Communes fur
I la partie cosmologiqae des défrichemens dans
I les Bruyères.
H a n o v r e , le 26 Novembre 177<5,
M A D A M E ,
EN expofant à V . M .. les règles qu’on
fuit dans le défrichement des Bruyères,
je me fuis attaché presque uniquement aux
I ffe ts , fans entrer dans le détail des diverfes
loix, ni des intérêts combinés,qui ont produit
leur état préfent. Cet état général, fource
■é tant de biens, effc que ces terreins font
¡Èiyiies en Métairies, d’une étendue médio-
■re,- irrévocablement fixées, & que des agri-
meles peuvent feuls poiféder. I C’eft par là que cette oeconomie falutaire
»entre dans l’idée que je m’étois faite d’un
fartage humain des Communes. Si ces ter-
teins fauvage? peuvent paffer ainfi à la cul-
|ure, je la defirerai pour le bien de l’Hom-
e : car je ne la redoutois qu’à caufe des
I 3 vues