ivr a v e r t i s s e m e n t .
& où eft décrite la partie des Alpes la plus abaiffée vers la
m e r , on peut remarquer que les changements de lituatiun
& de direction des couches y font plus fréquents que fur le s .
hautes Alpes , §. 13 7 ? 5 que les pierres calcaires mêlées d’ar-
gille y font beaucoup plus abondantes ; qu’on n’y trouve
point de g ra n it , proprement d i t , mais une efpece de granit
compofé feulement de jade & de fmaràgdite, §. 1362.
Cavernes creufées par les flots de la m e r , §. 1382.
Nul caillou roulé un peu au-deffus du niveau de la m e r ,
§ . 1 3 8 7 . Nul coquillage fur ces bords, §. I 37*-
Vis-à-vis de N ic e , à une lieue en m e r , la température, à
1800 pieds de profondeur , s’eft tro u v é e , comme à Portofîno
de 10 , 6. § , 1 391. Thermomètre conftruit pour cette expérience
, §. 1392.
Qbfervations fur la température du fond de 10 lacs en Stiiffe ,
qui tous fe font trouves de' plufiéurs'' degrés au - deifous du
tem p é ré , §. 1394 & fuiv. Combien ce phénomène eft difficile
à e x p liq u e r , §. 1401 & fuivants.
Ven ts fouterreins qui dans les mois les plus chauds de l’année
font plus froids que le tempéré, obfervés dans fept endroits
d iffé ren ts , §. 1403 & fuiv. î ^
Ce phénomène expliqué d’une maniéré qui paroît fatisfaifante
, §. 14 14 . & fuiv.
Diverfes expériences faites par des procédés nouveaux fur
la température de l’ intérieur de la terre , §. 1418 & fuiv.
Singulier réfultat i l ces expériences ; c’eft que la chaleur
de l’été n’ arrive qu’ au folftiçe. d’hiver à 29 pieds & demi de
profondeur ; & que de niême le froid de l’hiver ne pénétré
a v e r t i s s e m e n t . V
qu’au folftiçe d’été à cette même profondeur, $. 142?.
M o n t a g n e s d e p o r p h y r e , § . t 4 3 6 .
P o rp h y re à c ry ftau x de feldfpath , d un beau bleu de c ie l ,
fi. 1448» , r -r
R o ch e s glanduleufes , ou amygdaloïdes qui o n t e te pn le s
pout des laves , §. 1439 , H 44 & fuivants.
Roches qui paroiffent avoir fubi 1 aétion du feu des charbons
de pierre , mais non des vo lc an s , §. i 4 f i .
E xcu r fio n fur les plus hautes mon tagn es du Cap - R ou x ,
tou te s porphyriques , chapitre X X .
Excurfion rapide & coup-d’ceil fur quelques-unes des isles
d’H y eres y chapitre X X I I .
Montagne des O ifeau x , compofée de fpath calcaire en boules
à couches' concentriques , chap. X X I I I .
Excurfion fur la montagne de Caume au Nord de T o u lo n ,
chapitre X X IV ,' ' ' .
P h én om èn e m é téo ro lo g iq u e extraordinaire. Ibid. & 1493*
Confidérations fur la fté rilité des m on ta gn e s de la Prov
e n c e , §. 1492.
Montagnes du Brouflknt & d’E v en o s , couronnées par des
roches, divifées par des fentes v e rtica le s , & qui ont été prifes
pour des bafaltes , mais qui font des pierres fchifteufes d u n e
nature toute différente, & qui n’avoient point été obfervées
ni décrites avec fo in , §. 1497 » 8 > 9* ' ' '
Pierres poreufes qui fc trouvent fous ces fchiftes bazal-
toïdés , & dont la nature paroît encore ddüteufe, §. iy o 2 .
Volcan éteint de B eaulieu, chap. X X V I I .
Aline de'.fer de couleur citrine non décrite, §. i f2 4 , A.