OPUIülEiNS AöXrPflODOi^TES.
ea arrière On remarque aussi chez les jeuues ¡udividus quelques
marbrures noirâtres sur le venire
L ' a r t i c l e que Schneider a consacré à la description de cette
espèce est évidemment extrait de celle de Homstedt et d.
bhaw qu. a vu un individu de trois pieds déposé au Musée
;ruann.que et dont il a donné une seconde ¿gure gravée
^ e n m e . leure que celle copiée et altérée d'après lapla^he d
homstedt et du journal de l'abhé Rosier
Nous avons eu soin de souligner dans la traduction de la
notice de Eornstedt la quantité de fruits , non encore digérés
Nous ne connaissons pas un seul Serpent qui se nourrisse de
i uits ou de mat,eres végétales, comme on sait que le font
plusieurs guaniens, ainsi que nous en avons acquis la certitude
dans la ménagerie des Reptiles confiée à nos soins.
11« GENRE. CHERSYDRE. - CHERSYDRUS (i)
(Cuvier).
C a r a c t è r e s . Corps très-notablement comprimé; dos con-
Z f 1 T ' ^ Z T '''''''' - - ^^^^ostèoL
Quoique ce genre ne-comprenne réellement qu'une seule
espèce qui a été décrite sous deux noms divers, il e. t o i
a- au distinct des deux autres que nous avons r ngé ans L
Z Z l T l essentiellement par 1
Îe P nse To T T ' . " — - ^oit
nérale rapport avec la conformation gé-
Bécrit d'abord comme analogue aux Orvets, par Schneider,
ACKOCHORDlEîiS 6. CiiEUSYÛRE. 41
à cause de la régularité des écailles, sous le nom d'Anguis
granulaius vel Acrochordtis, d'après un individu du musée
d'Houttuyn, cet auteur l'a mieux fait connaître dans la description
parfaite qu'il a donnée du même Serpent observé dans
la collection de Lampi, en l'inscrivant dans le genre Hydrus
sous le nom spécifique de granulatus (Fasc. II, p. 24-5, n°IY),
et que nous traduirons ici tant elle est exacte. L'auteur
ayant eu occasion de voir ensuite la peau parfaitement conservée
avec la tête et la queue provenant d'un Serpent des
Indes envoyée à Bloch par le missionnaire John, a reconnu
une espèce nouvelle, mais il est probable que c'était la dépouille
de l'Acrochorde douteux.
Cuvier, trompé par le rapport verbal que lui avait fait le
voyageur Leschenault sur ce Serpent qu'il regardait comme
venimeux, l'a considéré comme très-voisin du Fasciatus de
Shaw, lequel est, en effet, la même espèce.
M. Cantor, qui a vu et décrit très savamment ce Chersydre
a levé toutes les difficultés à cet égard. Comme ce dernier
auteur nous a procuré tous les renseignements désirables,
nous profiterons de sa notice pour faire connaître complètement
ce Serpent, en y ajoutant ce que nous avons observé
nous-mêmes d'après les individus que renferme notre Musée
national.
1. CHERSYDRE A BANDES. Chersydrus fasciatu&. (Cuvier).
C a r a c t è r e s . Corps partagé par des bandes brunâtres, transversales,
incomplètes ou irrèguliéres à la partie moyenne du
dos où quelques-unes se bifurquent ; les espaces remplis par des
bandes jaunes plus larges en dessous; le dessus de la tête brun,
tacheté et piqueté de jaune. La queue comprimée et repliée en
dessous.
SYNO\rMIE.
IT'Ja. îlydrus (jranulatHs. i^cumurm. Hist. nat. Amnliib. fdsc. L
Piig.ïi-,