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OPHIDIENS AGLYPnODONTES.
1829. La Couleuvre à 4 raies. Cuvier. Règne anim. 3» edit. T,
II, pag. 84.
1830. Tropidonotus elapMs. Wagler, Syst ampli. pag. 179. '
1832. Coluber elaphis. Die vierstreifige natter. Lenz. Schlangentunde.
pag. S20.-7,
1833. Coluber elaphis. Telem. Metaxa. Memor. zoologico-medich.
pag. 36.
1837. Coluber quater-radiatus. Schlegel. Ess. physion. Serp.
Tom. I, pag. 148 ; tom. I l , pag. 1S&, pl. g, fig. 9.-10.
183S. Natrix elaphis. Ch. Bonaparte. Faun. ital. pag et pl.
sansn«'. n" 71. Iconog. Faso. 7.
1840. Elaphis quadrilineatus. Ch. Bonaparte. Amph. Europ.
pag. 49. et Memor. real. Academ. Scienz. Torln.Ser. 2. Tom. I I .
pag. 433.
1841. La Couleuvre à 4 raies. Cuvier. Règne anim. Edit, illust.
Tom. Il, pag
DESCRIPTION.
Formes, Rien dé particulier n'est à signaler dans la conformation générale
de cet Elaphe, si ce n'est la taille assez considérable à laquelle il peut
atteindre et que nous ferons connaître plus loin. La tête est légèrement
élargie au niveau de la région temporale, le museau est peu proéminent. La
queue est plus effilée qu'elle ne l'est dans les Elaphes déjà décrits.
Ecailiure, La plaque rostrale, une fois et un tiers aussi large que haute,
est un peu bombée à sa partie moyenne, mais son sommet est faiblement
rabattu sur le museau, et il se termine par un angle obtus. La ligne de
jonction du bord postérieur des inter-nasales avec le bord antérieur des
pré-frontales est directement transversale. Les sus-oculaires assez larges
dépassent un peu l'oeil, ce qui, comme le fait observer M. Schlegel, rend
la physionomie de ce Serpent un peu farouche. Il y a deux plaques préoculaires
; l'une, supérieure, est grande et concave d'avant en arrière, et
forme ainsi, au devant de l'oeil, un sillon assez marqué, analogue à celui
dont nous avons parlé en décrivant l'E. Dioneet qui se continue au niveau
de la suture dubord supérieur de la frênaie avec le bprd externe de la préfrontale.
En arrière de l'oeil ; on trcave'deux plaques post-oculaires. Pes
huit sus-labiales, la quatrième et la cinquième touchent à l'oeil. Pour
les autres plaques céphaliques, il n'y a pas de parlicularités méritant une
description spéciale,
ISODONTIENS. s.- G . ÉtAi'HE. 4. ¡¿ g ?
l e s écailles du tronc sont généralement ovalo'losangiques, celles dl lapar
oe a n t a r e et moyenne du dos sont cepen^ P«» 'ancéoléas;
ma,s on les trouve avec une forme de losange d'autant plus distincte, qu'on
les examme plus lom de la téte ; elles offrent toulessur eur pmiemirnne
une carene tres-saillante, qui se voit même encore sur celles de laTuTuTo"
elle e s t , a la vénté, bien moins apparente. Les écailles des flan Z
grandes que les précédentes, sont lisses. Un sillon a peine i n ^ ¡e
marquera la face inférieure de la squamme qui em'boîte I 'eXmiL: ;
longitudinales au tronc, 8 à la queue.
Metaxa et de M. Millet;! anal^-divisée; G5-77 urostèges divisée.
Dbkts. Maxillaires g . Palatines 10. Plérygoïdiennes. li.
Maxillaires g . Palatines, 10. Ptérygoïdiennes, i 2.
Ces dernières se terminent au niveau de l'articulation du crâne avec mâmms
J - a , l l . legerement plus prononcée que présente la téte au niveau d ^
COLOUATIOK, La teinte générale est un brun jaune plus ou moins foncé
Ce ou' Îv n T P'"^ '"oin^ nombreuses, grisâtres.
Ce qu d y a de plus caractéristique dans la coloration de cette e pLe 'es
a ray ure qu. luravalu le nom spécifique sous lequel on la dés gÎe ;! o
consiste en quatre raies latérales d'un brun noir, deux sur clt Te t , "
R E i ' Ï J U S , TOME vii.
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