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dont la queue est très-longue, ainsi que leur nom l'indique ,
et les Xénodons (n.° 9), chez lesquels la queue conserve à peu
près ses rapports ordinaires avec la longueur du tronc, dont
elle est le cinquième au plus. Il y a , en outre, d'autres caractères
distinctifs pour les Xéaodons, mais il est inutile de
les énumérer ici.
D'après la marche analytique que nous venons d'indiquer^
il reste quatre genres, dont les écailles sont lisses et carrées
sur les flancs et dont le museau est arrondi. Parmi eux, il en
est un bien remarquable, parce que son dos est relevé et
comme saillant en toit, ce qui donne au tronc l'apparence
d'avoir été comprimé. En raison de cette conformation, nous
avons nommé gemeStégonote (n.» 5).
Dans les trois derniers, le dos est arrondi, comme dans la
plupart de nos Couleuvres ; mais chez l'un d'eux, la tête est
très-large en travers, et surtout, l'occiput semble porté sur une
sorte de cou ou de rétrécissement de l'échiné. Tel est le genre
que Wagler a nommé Périops (n.° 2), remarquable surtout
par la présence, au-dessus des plaques sus-labiales, de petites
squammes sous-oculaires. Chez les autres, la tête est à peu
près de la même largeur que le cou qui la supporte, et il n'y a
pas de plaques sous-oculaires, mais la queue est fort courte
dans le genre Liophis (n." 5), et au contraire, relativement
au tronc, elle est longue dans les Bromiques (n.» 1) , qui se
trouvent ainsi placés à la tête de la famille.
Le tableau synoptique suivant aidera beaucoup dans la
classification analytique, car la série des numéros rétablit à
peu près l'ordre naturel que l'exigence ou la marche du système
semble avoir dérangé.
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