••'»no OPHIDIENS AGIYPnODO.NTES,
1802. Cohiher nelulatus. Shnw. Gener. Zool. vol. 3, Part. 2,
pag. 476: exclus. Serpens Ceilonica. Séba. Tom. I, tab. 100, fig.
4. (c'est un Opisthoglyphe , qui est notre Lycognathe scolopax
Coluber scolopax Klein , Lycoclon auclax Schlegel.)
Cohiher sihon. Ejusd. loc. cit., pag. 307 (d'après Linnó,
4802. Coluber silon. Latreille. Hist. Kept. T. IV, p. 164.
Coluler nebulahis. Ejusd. loct. cit., pag. 177.
1802. Die sihon natter. Bechstein de Lacepede's naturgescli.
Amph. Tom. IV , pag. 39, pi. 4 , fig. 2.
Die Wolken natter. Ejud. loc. cit. Tom. IV, pag. 96.
1803. Coluler sihon. B&uiin. Hist. Kept.Tora. V I , p. 435.
Coluhernehulatus. Ejusd. loc. cit. Tom. VI , pag. 413.
1820. Coluher Nehulatus. Merrem.Tent. Syst. Amph., p.l04:
Exclus, synon., Coluh. Zeylanicus, Gmel. [Lyeognathus scolopax
, uohls.)
Coltiber sihon. Ejusd. loc. c i t . , pag. 130.
1820. Coluher nehulatus. Kühl. Beitr., Zool . , pag. 88.
1826. Sihon nehulatus. fiizingev. neue Classi!'. Kept. ,p, CO.
1827. Dipsas nehulata. F. Boié. Isis. tom. XX, p. 330, n." 10.
1837. Dipsas nehulata. Schlegel. Ess. physion, Serp. Tom. I,
pag.^162 ; Tom. I I , pag. 273, pl. 11, fig. 14-13.
1840. Dipsas nehulata. Filippi de Filippo Catal. ragion.
Serp. Mus. Pav. (Bibliot. Italian. Tom. XCXIX.)
DESCRIPTION.
FORMES. La plaque rostrale a sept pans inégaux î deux sont sondés aux
sus-labiales; deux adhèrent aux inler-nasales ; deux sont fixés aux nasales;
enfin , le septième, qui est plus étendu, oITre une échancrure pour laisser
passer la langue.
Les inter-nasales peu développées, mais élargies, sont irrégulièrement
pentagones, pour se joindre d'une part entre elles ; puis aux deux nasales;
enfin à la rostrale et à la pré-frontale.
Les pré-frontales sont quatre fois plus grandes que les inter-nasales et
quoiqu'elles paraissent carrées, elles ont cinq bords inégaux par lesquels
elles se joignent entre elles, puis elles sont en contact avec le globe de
l'oeil et la seconde nasale et par l'un de ces bords, un peu concave, elles
touchent l'une des plaques sus-oculaires,
I.El>rO(iNATÎiiEXS. C. PKTALOG-XATHli. i o - ;
t a frontale oft're aussi cinq pans irrigulicrs.
Par son extrémité antérieure, qui est la moins large, la sus-oculaire
est en rapport avec la pré-frontale. Les pariétales, à peu près aussi longues
que larges en avant, ont leur bord temporal un peu sinueux elles adhérent
aussi à la post-oculaire supérieure par le pan qui touche la susoculaire.
La première plaque nasale, aussi large que longue, a la forme d'un
irapèze. La seconde, au contraire, plus longue a cinq pans inégaux. La frênaie
est en carré un peu allongé ; à défaut de pré-oculaire, elle se joint à
la pré-frontale pour border avec (lie le globe de l'oeil en avant. Les postoculaires
à cinq pans sont peu étendues.
ïl y a cinq à sept squammes temporales irrégulières ; l'une d'elles, un
peu plus grande , touche seule les écailles post-oculaires.
La première des sept plaques sus-labiales est trapézoïde ; la deuxième
et la troisième pont carrées à angles droits, cependant un peu plus larges
en travers. La qualricrae est de même forme, mais un peu plus obtuse du
côté qui touche à l'oeil et à la plaque frênaie. La cinquième, qui borde l'oeil
aussi, est deux fois plus longue que celle qui la précède. La sixième, plus
haute que celles entre lesquelles on la voit, est coupée carrément par le bas
et présente en haut trois pans inégaux , pour se joindre à la post-oculaire
et à deux des squammes temporales. La septième et dernière est un trapézoïde
oblong.
La plaque mentonnière est petite, triangulaire, un peu dilatéeen travers.
Il y a huit plaques sur la lèvre inférieure. Les deux premières se joignent
en V pour s'enclaver par leur base réunie en avant entre les plaques
sous-maxillaires ; elles sont pentagonales et allongées.
Les plaques sous-maxillaires antérieures forment par leur jonction une
sorte de lame subelliptique échancrée en avant qui, par derrière, s'enclave
entre les sous-maxillaires suivantes ; celles-ci se trouvent séparées
par des écailles élargies, qui varient beaucoup pour la forme et l'étendue.
Il y a , sur toute la longueur du tronc , 15 rangées d'écaillés et 4 ou 6 à
la queue. Ces écailles ne sont pas toutes semblables, ainsi que l'a dit M.
Schlegel, celles du milieu du dos étant plus développées que les autres et
hexagones, au lieu d'être lösangiques.
On compte trois ou quatre plaques gulaires moyennes et 173 à 182 gastrostèges
; une anale et 73 à 101 uroslèges.
12 à 1 î-
Les dents maxillaires sont ainsi distribuées 8 ou 10. Pté'«
rygCooWî.oiennAnTeios,n .i GE lolue v1a8r.i e, et sous co rapport, on distingue quatre variétég.
î." VariHé A. Ici, le dessus et los côtes sont jaspés de blanc sale et dq
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