28 «PIIIDIEÏSS AGLYPHODONTES. APROTEUODONTIKNS. 29
1. i'. dc Séba d'Afrique, p. 400. Figuré dans l'atlas pi 61.
2. P. (le Natal ( Smilh ). Uortulia de Gray , p. 403.
ô. 1>. Roijal. p. 4)2. Du Sénégal.
P. aïolure de Gray. BivittaUis de Schlegel. p. H7.
5 . P, i-ciici<iéde Gray. Sc/ineitieni Schlegel. p. 42G.
G. III. Lusts. Fossettes labiales peu profondes ; plaques sus-crâniennes
n e dépassant pas les orbites.
1. L. AmêC/njste.Gvay.T. VI, p. 433. D'Amboine.
2 . L. de Children. Gray, p, 438. Du musée Britannique.
5 . L. de Macklot. p. 440: De Timor et de Samao.
+. l.. Olivâtre. Gray. T . V I , p. 442. Nouvelle-Hollande.
G. IV, NinDOA. Gray. Bothrochilus Fitzinger. Fossettes à la lèvre inférieure
seulement.
1. N. de. Gilbert. T. V I , p. 446. De l'Australie.
2 . N. de S c / t % e i . r o r i r i a ; 6 o a de Schlegel . Nouvelle-Hollande.
L e groupe des Tortricidcs comprend des espèces qui vivent sur des terrains
mobi les, sablonneux , dans l'intérieur desquels ils peuvent vivre cachés
; quelques-uns ont encore des vestiges des membr e s postérieurs ; mais
leur queue est extrêmement courte et non préhensile ou accrochante.
Nous avions rangé le premier des genres de ce groupe dans une famille à
part sous le n om de Fouisseurs. T . V I , p. 581.
G . V. ROULEAU. Tortrix. Téle confondue avec le tronc , cylindrique
comme lui, mais déprimée : queue excessivement courte, presqu'aussi
grosse que le ventre,
1 . R . Scytale. T. V I , p. 583. De l'Amérique du Sud. Brésil,
G . VI. XÉNOPKLTis. Reinwardt , Isis 1827. Deux écussons au milieu du
vertex ; les Gastrosteges à six pans. Nous n'avions pas inscrit ce genre dans
l e sixième volume ; mais depuis nous en avons reçu deux individus et nous
nous sommes assurés qu'ils se rapprochaient davantage du genre Rouleau
que de celui du Cylindrophis décrit dans la famille suivante après celui de
l ' E r y x .
1 . X . unicolor. M, Schlegel l'a décrit T . I I , p. 2 0 , comme une espèce
de Tor t r i i . Mais il avait cru qu'il y avait deux espèces. Nous regardons
l'individu qu'il a nommé téle blanche Leucocéphale, d' apr è s M . Reinw
a r d t , Isis 1827 , p. 5 0 4 , comme une variété. Il a donné la figure de la
tète pl, 1, fig. 8 à 10.
W a g l e r , dans son système des Amphibies, p. 194, G. 93, a donné
ainsi l'étymologie (1) du genre de Reinwardt. C'est un Serpent de Java et
( i ) . Zivos Singul ier, Tnusitatus cl de HÉATI? bouclier Clypms h cause
du grand écusson ou de la plaque impaire qui se trouve placée entre les
occipitales.
de Sumatra. M. Guérin a flguri la téle d'après un individu du muséum de
P a r i s , pl. 2 1 , flg. 3 du Règne animal de Cuvier. La description donnée
complètement par M. Schlegel doit suffire. Nous ajouterons cependant,
d'après nos exemplaires, que les yeux sont latéraux, petits, à pupile ronde;
que la quatrième plaque sus - labiale touche h l'oeil ; que les écailles
du tronc sont distribuées sur cinq rangées ; qu'elles sont lisses et à six pans.
L a queue forme, au plus en longueur, le huitième de celle du reste du
corps , elle est cyl indrique et une forte plaque termine la partie postérieure
en l'emboîtant comme un dé.
DEUXIÈME FAMILLE. LES APILOTÉLLODONTLENS (1).
CARACTÈRES ESSENTIELS. Semblables aux Pythons, dont ils
diffèrent surtout, parce que leurs os incisifs ou intermaxillaires
antérieurs ne sont pas garnis de crochets ou de dents.
NOUS les avions décrits tome Y I , page 4 ^ 0 , comme formaDt
une sous-familie, partagée elle-même en deux autres tribus,
suivant que leur queue peut se recourber sur elle-même pour
que le Serpent puisse l'employer comme un crochet qui sert à
le faire se suspendre ou que cette queue n'est pas enroulante,
et nous avons laissé à chacune le nom du chef de la tribu!
Ce sont, d'après les genres, ICSERYCIDES et lesBoEioEs.
Les ERYCiDEs , {tome V I , page 451,) se rapprochent des
Rouleaux ou Tortrix, du groupe précédent, parce que leur
queue n'est pas préhensile. Cependant, ce ne sont pas des
Serpents fouisseurs, quoiqu'ils puissent s'enfoncer dans les
sables en raison de la forme particulière de leur museau et du
développement remarquable de l'os intermaxillaire antérieur
qui est unique ou impair, ce qui donne à la portion la plus
avancée de la face la fonction d'un boutoir solide sur lequel
peuvent s'arcbouter les os du nez qui sont aussi trés-dévéloppés.
Il n'y a, au reste, que deux genres inscrits dans cette
division.
d e ï s ^ n L Î ' en - a v a n t , ante et de .J'.v.«
c r ^ e t " p S r e n t î ^ ^"'-maxillaires