3L,T : GÉOGRAPHIE PHYSIQUE
taM q« e les traveder pour en sortir de
nouve1iiî, ?t'aïïeV^ajeter dans la mer de Marmara; a Ï le s 11 We ç ôlvenl ', ^ R S «S Î f lt f ^« g^ f^ j K g l g l / Ì M i«a cs •
I t t ' f itti m o i n - 1 » ^ i f i p n t e . S ^ M M .
1 emb o u j u r e est'â »
de M | j g g g
revers oriental de l'Aguélan^dagh, M g M g
verrons dans ,.a partie géologique de cet o û v r a ^ H l P
stitue qu une:masse énorme de serpentine. Il se dirige d'à- '
J o r d l a 1 est, puis se relève au nord-est et au nord, e ! enfin
décru encore une courbe pour se. relever,de nouveau au
nord-nord-est. Sa longueur totale l i t de dix-huit lieues"
environ. Quoique peu considérable, il coule parfois avec
assez de rapid.té. La hauteur de ces sources doit étrei'env.
ron U 0 0 métrés, car j 'ai trouvé cette altitude pour les
collmes serpentineuses que traverse la route de Guémichar
a T foé. Q w a t . ,, p ] a i n e o, g
Tuoi m T e f n ë ' s o n altitude M é t r e S
de H20 mètres, car c'est celle d„ village. A l i ] [ e l sitné '
s u r ^ c o l h n e à deux heures de marche an sud-sud-est "
A l'est du Guébren-tchaï, les rives du (ac sont sillonnées
de ruisseaux, qui y descendent des massifs dont la contrée
est hérissée dans cette direction ; tous ces ruisseaux coulent
avec plus ou moins de rapidité, et quelques-uns d'entré
eux sont même très-profonds, comme par exemple celui qui
passe tout a côté de la ville dé Bouldour. L'extrémité norde
s t ^ j j ¿ac, reoe^t. également plusieurs ^^uent s . .parmi , les-( [
quèl^ . ^pé i iUo r ^ i j t deEetchfcôurlest j e , i r 0 " ! ^ i ,
rablèl'Énfînj'ai observé au d^lade d o u z i ^
torrents probablement ïntàrissables, ^ùi ^e ]eàe(nt 'dans Te ^
lac de Bouldour, sans compter le Guébrep-tchaj. Ce fiche .
contingent d'eau fourni à Ce lac, qui n'offre absolument
aucun débouché apparent et doit par conséquent en avoir
un souterrain, explique le développement progressif que
les habitants du pays ont depuis longtemps observé dans
le volume d'eau dé ce bassin , développement occasionné
sans doute soit, par la disproportion qui existe entre la
quantité d'eau reçue et celle écoulée,.soit par l'obstruction
des canaux souterrains qui effectuaient l'écoulenjent de
l'excédant. Au reste, l'accroissement de la nappe d'eau de
c e lac est parfaitement constaté par le fait suivant : sur le
chemin qui conduit de Ketchébourlu à Bouldour, il y avait
un pont qui passait paivdes^us le torrent de Ketchébourlu;
or aujourd'hui les eaux du Iacont envahi le lit de ce dernier,
et ont submergé le pont, en sorte qu'on n'en voit plus
que les extrémités supérieures. Si cette marche progressive '
du lac continue dans la direction de Ketchébourlu encore
quelques années, le lac finira par atteindre, là ville et peut-,
être même par se confondre avec, leg sources du Méandre.
A neuf lieues environ au sud-sud-çst du;_lac de Bouldour
se trouve le petit lac de Kestel , que nous avons déjà signalé"
comme étant complètement desséché à l'époque ou nous
nous trouvions dans ces parages. Les marais qui entourent
le côté méridional de ce petit bassin reçoivent l'Istanostchaï,
qui sans doute.doit déboucher dans le lac même,
lorsque celui-ci n'est pas à sec, tandis qu'à l'époque où j e
m'y trouvais, la rivière nê l'atteignait pins, et ses eaux se