
roule un limon micacé. Éboulements mobiles sur sa rive gauche. — Vallée du Setludge, aride et désolée , a36.
— Rarang, village'médiocre, 23y.
DeRarang à Zongui, 237. = Végétation. , ' i ''
De Zongui à Kanum, 237. = Vallée du Lipé, torrent impétueux et fort large. Elle comprend plusieurs villages
ou hameaux.
Labrang, village populeux et pauvre, avec une forteresse et un killadar, 238.
Kanum, village situé en amphithéâtre. Empierrements laborieux de soutènement. Etages cultives ou bâtis.
Riches moissons, ombragées d’arbres divers. Ruisseaux d’irrigations, 238.
Description des terrains entre xchini et Kanum : échantillons de roches (G. A. 187) à (G. A. 201 ) , 23p.
L’auteur est logé à Kanum , dans un temple bouddhiste, 244-— Apparence des villages de Kanawer, plus importante
que leur réalité. — Deux-récoltes jusqu’à la hauteur de 3,000”. Épis foulés par les chevaux ou battus
au fléau. — Rareté du fourrage et du bois à chauffer, 245. — Physique et langage des habitants de Kanum , 246.
Labrang et Kanum, premiers villages sur la rive droite du Setludge, où il y a des Lamas — Mélange complet
de brahmisme et de bouddhisme; il ne reste de l’hindouisme que la vénération pour le boeuf et le mouton, et une
légère distinction de castes. — Polyandrie , universelle dans la masse du peuple. — Polygamie, tolérée par la
religion , est pratiquée par quelques riches, 247.
Lamas, licenciés de l’église thibétaine, condamnés au célibat.—Moines [Gèlunion Lornba) , adjoints au clergé
régulier. — Sociétés de nonnes, 247.— Contraventions au voeu de chasteté, comment punies.— Sagesse des institutions
religieuses, empêchant, par le célibat, l’accroissement d’une population étroitement limitée dans ses
moyens de subsistance, 248.
Bibliothèque thibétaine dans le temple habité par l’auteur : sa composition, 248.
Le Chef des Lamas ; ses venues au temple, matin et soir, 248.
Fêtes religieuses, ne sont point régulières ; naissent de l’occasion. — L’auteur assiste à un sacrifice pour
guérir un riche paysan malade; description de cette cérémonie, 248. — Service funèbre d’un enfant, cérémonie
simpïè, triste et touchante, 256.
| Gens des Lamas ; gens du Radjah, 251. ’ *
Absence de lois, de contrats et de procès. — Paix profonde. — Vol, inconnu. — Colliers avec amulette ,
portés par les hommes. — Subsistance précaire'des Lamas, 2 5 i . — Costume et ornements des femmes, 252.
M. Csomade Koros. Entrevues avec l’auteur,
De Kanum a Soungnum, 267. =; Aspects généraux de l’Himalaya en Kanawer, parfaitement saisis de la plateforme
du temple de Kanum. ^
Excursion au Col de Rounang, 257. Végétation. Cultures. Misérables habitations d’été, 258. •— Bestiaux
Changement notablfii dans les formes générales des montagnes. — Routes, praticables aux chevaux.
— Tous les transports, jusque dans la Tartarie chinoise, se font par des animaux. — L’auteur a monté trois
fois à cheval au col de Rounang, élevé de 4*267“ .— Rectification à la coupe et à la carte du Kanawer d’Herbert,
25p.
Sur les effets de la raréfaction de l’air dans les ihontagnes très-élevées, 260.
Végétation des abords du col de Rounang, 261.—11 est fermé par les neiges pendant quatre à cinq mois.— Le
Rouskalang, torrentxonsidérable et sa vallée, 262.
Soungnum, grand viliâge, d’assez bonne apparence.— Maisons,, séparées seulement par des voies étroites. 7-^
Lamas, habitent les uns le village^ les autres une sorte d^couvent détaché. — Mât surmonté d’une queue de
yâk, élevé contre la façade des maisons, 263. — Machinesrotatoires cylindriques; dressées à l’extérieur des
temples. Machine plus grande, à l’intérieur. —Inscription répétant l’invocation thibétaine : Oum manipadmei
oum. Explication donnée ipar M.'Gsoma, de chacun de ces mots. Impossibilité de trouver un sens à leur assemblage,
264*
Raisins, mûrissent.— Abricotier, commun. — Genévrier arborescent, fort vénéré, .264.
LejVizir Monstranme et le notable Pattiranme visitent l’auteur. — ManoiP du Vizir, 265.
Excursion au Col de Hangarang.— Oumson, misérables bergeries. Végétation.— Ghountes, petits, maigres,
lents et étudiés dans la marche, merveilleüsemènit adroits, 266.jPP|Prix du grain en Kanawer.—-..Hauteur du col,
4,5io".—- Pile ae pierres sècnes, élevée par la dévotion des payants.—Vallée du Spiti. Aspects, ne changent pas
sensiblement, malgré l’assertion contraire d’Herbert, 267. — Végétation au col d’Hangarang'. — Cimes des montagnes
environnantes ; leur végétation, 268. — L’auteur relève le col de Hangarang, les villages de Hango et
Nako, les montagnes de Pourguyoul et de Lrio, les villages de Dabling et Doubling, le cours inférieur du tor_
rent de Gangtung et le pic neigeüxsur le même alignement, le village de Soungnum, 269.
Description des terrains de Kanum, du .col de Rounang , de Soungnum et du col de Hangarang : échantillons
. de roches (G. A. 202) à (G. A. 226), 270.
D e S o u n g n um a B é k o e u r e t D a b l in g -D o u b l in g , page 276.
De Soungnum à Poyé,- 276.== Préparatifs d’une excursion à Békoeur, 276, — Lapann, bergeries. — Végétatioii
sur la rive gauche du Rouskalang, 277. — Montagnes sur la rive droite, entièrement dénuées de végétation-
— Absence de pluie depuis Natchar, 278.
P°yé, grand village. Habitations et cultures en amphithéâtre. Climat, d’une douceur surprenante, eu égard
à l’élévation des lieux. Raisins , mûrissent bien. Abricotiers , magnifiques. Habitants, à moitié Tartares. Vêtements.
Joyaux, 279. Langage. Loquacité et gaieté des femmes. Physique, 280.
Description des terrains entre Soungnum et Poyé : échantillons de roches (G. A. 227) à (G. A. 244), 280.
De Poyé a Rici, 285.= Bergeries de Rici, à 3»8oom de hauteur, sur la rive, droite de l’Yurpo. — Sanga
sur le Sedludje, au-dessous de Poyé, 285. — Montagnes, sur la rive gauche du Sedludje, n’atteignent pas
4,000“. Végétation.—Vallée de l’Yurpo. Végétation.— Montagnes de la rive gauche de l’Yurpo, très-escarpées.
Ravines encombrées de neiges, 286.
De Rici à Yurpo , 286. = Pâturages magnifiques , 286. — Brumes et pluie fine. — Tristesse du camp. Division
des gens par castes ou par villages. Le houka , passe temps, 287. ,
De Yurpo à Tckamoulé, 287.== Brouillards et pluie. — Col de Gantong, a 5,486“ de hauteur. — Cours de
l’Yurpo.— Masses deneiges. Écoulements.— Limite de la végétation sous le col, 287.— Sommet du col. Couches
redoublées de neiges permanentes. — Respiration libre à cheval; à pied, fatigue, anhélation. — Au-dessous du
col, après 1 avoir franchi, pesanteur dans la tête, attribuée à la faim plutôt qu’à la raréfaction de l’air, 288._
Riche herborisation. — Froid très-vif, 2Ç9.
De 'Tckamoulé à Békoeur, 289. = Jalousie excessive du gouvernement de Lassa. Obstacle trouvé par M.^mgli^
à visiter Békoeur. Précautions prises par l’auteur, 289. — Marche serrée de la caravane ; consigne révère en
quittant le camp de Tsannsoumrich> 290.
Ravine de Houkio. — Plateau supérieur, élevé de 4*877 “SB- Végétation pauvre. — Ammonites brisées.
Sommet de la ravine et bord du plateau, limites probables de Kanawer et de la Tartarie chinoise. — Troupeaux
de yâks et de chevaux, gardés par trois hommes, 290. .
Immense horizon, nu et désolé.—Plaine ondulée, Hérissée de rochers. Traces.de verdure. Territoire de Békoeur.
— Montagnes à pic, découpées- en figures fantastiques. — Descente des cols à Békoeur. — Site imposant. Rochers
, affectent la forme des ruines des édifices européens, et donnent au village l’aspect d’une ville. La caravane
campe sans opposition. — Description die Békoeur, 291. — Habitants d’alentour, questionnés, 293.
De Békoeur au camp de Houkio-Ghauti, 293. = Entrevue avec le Vizir chinois ou Moukyar de Békoeur, 293._
Le fusil de 1 auteur attire sa curiosité. Effet produit sur le Moukyar par le tir à deux coups du fusil. — Physique,
vêtements, joyaux du Moukyar, 294.
Du camp de Houkio-Ghauti au camp de Tsannsoumrick, 295. = Recherche de fossiles sur les collines. —
Tentative d’opposition des cavaliers békoeurites. L'auteur en châtie un. Ils seMisperseiit.— Limite du Kanawer
et du territoire de Békoeur. — Tchôki, large guérite en pierrepour reconnaître les voyageurs, 295. — Rencontre
de convois de grains. — Ruisseaux. Le Chelti, tôrrent. — Vallée de Tsannsoumrick. :— Végétation. — Chaleur
du jour, considérable»-r— Rayonnement nocturne, refroidit l’atmosphère; produit du givre le matin, 296.
De Tsannsoumrick a Tchamoule, 296. = Geologie, 296.— Col de Kiçubrong. — Plantes vivaces, parviennent
à l’énorme hauteur de 5,3oo Élévation du coLJL58i mètres , 297.
Montagne dominante.—Légère anhélation, 297.—Limite de la végétation phanérogame dans l’Himalaya, atteint
au moins 5,4oo” , 298.
Limite inférieure des neiges permanentes, approche de 6,oôo". Observations et explications de l’auteur sur
les causes de ce phénomène,’ 298.
Hauteur de sommets bordant l’horizon et visibles du col de Kioubrong, 7,000“. Hauteur de cimes voisines de
l’Indus, évaluée à 8,000 “ par M. Gérard. — L’auteur entretient la chaleur de ses mains en les posant sur les
pierres rendues brûlantes par l’ardeur du soleil, 3oo.
Descente du col.—Vallon duTaglakar. — Plantes diverses, 3oo. — Forme*! étranges des montagnes voisines,