Simaiia rdu avoir e'té coupée dans sa masse, et dans celle de porphyre moporphyre
mo— A
îaîre relative— laire comme peut le représenter la coupe transversale,/?/. III, fig.
ment au perlite. 7 -t .
1 et 2; mais il s’élève beaucoup plus haut à la droite qu’à la gauche;
de sorte que, si l’on restitue paT la pense'e ce qui paraîtrait
avoir e'te' enlevé, en joignant les extrémités a et b , il en résulterait
une montagne de perlstein, dont la pente s’abaisserait
successivement au sud , et de manière à aller passer sous la
masse de porphyre molaire. Cette disposition des deux roches
paraît évidente lorsque, place' à quelque distance, comme, par
exemple, de l’autre côte' de la rivière de Gran, sur les hauteurs
du village Nagy Locsa , on examine la situation respective
des montagnes qui forment les pentes de la valle'e de Glass-
hiitte. A cette première indication, il s’en joint une autre qui
lui donne une plus grande force; car si on parcourt les pentes gauches
de la valle'e, on voit, comme nous l’avons dit, en arrivant
à la hauteur a , le porphyre molaire suc.ce'der imme'diatément
au perlite. Il est vrai que l’escarpement n’étant pas vertical, et
les pentes étant couvertes ça et là de débris., on ne peut pas
suivre la position des deux roches assez commodément pour la
vérifier, et qu’on pourrait, dès-lors, supposer que le perlite ne
forme, de ce côté, qu’un lambeau appliqué sur la pente du
porphyre molaire. Mais cette objection se trouve levée par une
troisième observation qui paraît décisive; car le perlite se
trouve en^ plusieurs endroits différens autour du pied de la
montagne, non-seulement le long du ruisseau de Glasshütte,
mais, d’une part, dans une petite vallée transversale qui vient
y aboutir en longeant le pied oriental de la masse de porphyre
molaire ; et, d’une autre, au pied occidental de la même masse,
sur les bords de la Gran, au-dessusdu village de Hlinik. V fig . 2.
Ainsi, il faut nécessairement admettre que le perlite passe sous la
EN V IRON S D E SCH EM N IT Z , Vallée de Glasslrütte. 3 3 5
masse de porphyre molaire, ou qu’il entoure partout le pied de
la montagne, ce qui est fort difficile à croire. Nous retrouverons
ailleurs de notv^fles données qui concourent encore à démontrer
la réalité de la première de ces conclusions-
MONT AO NES AU NORD DE CLASSHUTTE.
S i , en partant de Glasshütte, on se dirige par la petite vallée
transverale qui vient y aboutir, on laisse à droite la montagne
de calcaire gris, dont nous avons parlé page' 319 , ,et à gauche
la butte de tuf calcaire. A une demi-heure de distance, on
commence à trouver à la gauche des grünstein porphyriques
foncés, très-compactes, qui se montrent au pied des collines,
au fond de la vallée, et qu’on peut regarder comme liés avec
ceux que nous avons vus dans la vallée principale, au-dessous
du village; mais ils sont recouverts de sables qui s’élèvent à une
assez grande hauteur, et se lient avec les conglomérats quar-
zeux que nous avons cités page 324 : on trouve, sur leurs fanes,
des morceaux roulés de grünstein porphyrique, et, dans le
haut, on aboutit, en les quittant, sur des montagnes de roches
trachytiques. En suivant toujours la vallée, on arrive dans des
montagnes , où les grünstein se présentent encore en offrant
diverses variétés plus .ou moins solides,et plus ou moins foncées
en couleur. On les poursuit partout à travers les forêts qui couvrent
cette partie de la contrée, et ce n’est que fort loin, ,au
nord ,et au nord-est, qu’on trouve des masses de trachyte qui
forment des montagnes extrêmement élevées, dont les pentes
se prolongent vers Jalna, où elles sont recouvertes par des conglomérats
trachy tiques. Il paraît que, de ces points élevés, les
Gi ürislem
porphyrique.,
Trachy le et
conglomérais
trachytiques.