à-vis (hl pi'omôïJto.ire Gory. Ce cé par Ptolomée, entre l’Inde 6cp lreo Gmaonngteo i, rpel uefst pprlèas
ddiey.ilf’Iénèd pea, r qlua eli gdnué G éaqnùgineO. xCiaeltet ee n\ \dee Tûa'Xp;r poabratniees, citnoéit
gbaolreésa,;l,, dso’éntte nlad apnlut sju gfrqaun’àd e- i éxt ooiut d1a3n- sd,ç lg’rh,écsm: dilep hlaetrie
mtuidfep hbeorer éaaulef.t raLla, sp’léutse npdeatnitte jupfaqruti’àe,. édjeouixt ddaengsr éls’h -&é-r advemoiit, àd/ej-ÿloat iptuetdiete as uîlfetrsa lpea. rmAiu lteofuqru edlele cs eitlt.es’ ëîlne troilu y
vCaointi;ï ud iéxn r ùoecueifd pelnuts> cotffidérables, dont le nom. étoit ce. lLuei pqruoi-mefot natpopireell eG: porryéf. ennete fmauenrot iCt oêmtroer i aouutr Geo mqou.e-. prirnè s, dqeu i1; Ienfdt ea uqfulie e .dnutr Ge aln’Igned. e & le GaiB B plus a:pas' prefentement une auifi gVrainsd àe- vîlies cqeu ec alpa ,T ailp nro’y-
bdâè ti1e3q7u8i fîoleits d: ivmifaéies ipl:ayr la’é quunien omxuialtli tudee ndvei rpoentnitéees aîlùe sn aopmpbelrleé edse M1a2l0d0iv0e*s >f uqiuvea nlet sl ah arebliatatinosn d difee nPti rêatrrde qquuii fye dao dnenme eleu rtéit créin dqe arnoni édees t ;r ecizees pîlreosv ioncnet su ±n &ro die, d■- 'oCu^hca mcuilnlee îdlees ,ces treize provinces eft un amas de bpaenticte dse- îpieiesr, rdeo, nqtu ci hlaàc fuenrme ee ftto eunt-vaiuro-tnonuére c do’munm ger uannde géhraancduen èm.turreanitllee l:i eoune. sl eds.é atpopuerl,le uant topleoun s.p lEulsle os u ounnt pfoenut mboouint sà ;b 6ocu ft oln’ut ndeé. dfieg lu’aréu tàr-ep e, ud-eppruèiss o lev anloe.r dE jlulefs- qmue’aru, ilieids u; n&e se lllaersg feosn, tl efés paaurétreess p faorr t-d eést rcoaitneas*u.x;C dees . fboanntc fsi édlee vpéise, rr6ec lqau mi eern sv’yir ornonmepntt acvheacq uune e àtettlolel oiinn-, pveotiueonfti tcéé s, qbuaen ccse utoxu qt-uaiu f-otnôtu aru a vmeicl ielèus d v’uangu àetst odleo nla, cmloesr qdu’uin f eàmttoblloennt nh’aau qteuse cqoumamtree doeusv meratuiirôenss .y Ld’eeunx
defut: àc ôl’teéf dt,u l ’nauotrrde , à&l:’ odueeufxt jd 6uc cdôotné td Jua fpuldu,s, ldaorgnet uenfet tdreen dtee'u. xA cuexn sd epuaxs ,c &ôté lsa dpelu csh éatcruonitee duen c pees ue nmtroéienss ,d iel yré eas deens dîliemsi,n mueanist lteosu cso luesr ajonus r6sc llee ns opmlubs rger.andes matolPonirsa
r,d o anj oduitreo i,t qquu’àe vtoouirt else cdeesd apnesti tde’su nîl edse , c&es laets
ccaonnatuinxu dee, m6ce rq quue’ ilc ee nnfe’értmoeit ,a nnec ifeonnnt eqmu’eunnt eq pula’uinnee pfeaurl e- tîoleu ct oleu pféoen dd edpeusis ceann pauluxf iqeuuir sl.e sO dni vvoifite nptr,e ftqaunet idlrso fitosn ;t &pe uq uparonfdo lnad ms ,e rà elfat rbeaffeferv ,e ld’eea uq une’lyq umeso nente
pqause àp alra- ctoeuint.r Iulr ye ,a muna icso uferualnetm veiontl eàn tm 6ic-j pamerbpeé ptureelf,
qviuein, td.iemppuéist ulee umfeomis edn’tA dvur ilc jôutféq ud’ea ul ’mouoeisf tdj’ O6&c ocbaruëf e ldeess apulutrieess fcixo nmtoinisu e, llleess vqeuni tys ffoonntt fli’xheisv edru ; cpôentéd adnet pl’leefutv, e& ja mpoairst e,n cte u qnuei cgaruafned lee ucrh éatlée.u Ar,u ffaonns dq due’i lc eys fcea nfearuvxe n, til ay b aâ dtier ,g r&of fiel sy pai eqruraens t,i téd odnet bleros uhffaabililteasn s, dqiuffi irceilfef elmé pbaleffnatg aeu d ceso rbaailt e: acuex qpuair rceensd c eaxntaruêxm.ement petLitiensf cîloets toémnto éigtén ea uqtrueefo, ifsu jiovainntte lse sà Mla atlearbrea rfeesr,m cee s d&é tqacuheé peas rp laar fluac vceiofllieonnc ed dese tleam mse, re ,l leàs ceanu feo ndte é tléa ■ bMafafledfifvee sd ufo tnetr ureni nre. fItle yd ea l ad gornacn daep îplea rTeanpcreo bqaunee ,l 6ecs dpeosr té13es7 8p aîrl else sq cuoi ulr’eannvs,i rfoannsn oqiue’inl te, nq fuoii to rnetf téét éa uemtre
I chôfé que ces rochers, qui dévoient être autrefois
les bafes des montagnes ; de forte qu’elle n’eft plus
! capable que de diviler les terres qui font enfermées
en-dedans de leur circuit. Il eft dipmoins certain que
çcs îles ont la- même fituation à l ’égard de l’équinoxial
, 8c à l’égard du promontoire ^ 6c de l’Inde 6c du
Gange, que Ptolomée afligne à divers endroits de
l’île Taprobane. , ,;
\ Les anciens ont donné plus d’un nom à cette île
mais celui de Taprobane eft le plus célébré. On l’a
appellée l’île AePalafimitndi ; 6c on l’a quelquefois
nommée Saliçe. ( D . J . )
-iiT-;A P S E L , l. m. (' terme de Commerce. ) c’eft une
groffetpile de coton-rayée , ordinairement de couleur;
bleue, qui vient des Indes orientales , particulièrement
de Bengale. ( D . J , )
TAPSIE, fi f. (H iß . nat. Botan. ) tapßa. ; genre
de plante à fleur en rofe & en ombelle 3 compofée
de plufieurs pétales difpofés en rond , & foutenus
par un .calice., qui devient dans la fuite un fruit
compofé de deux femences longues *. ftriées , 6c
entourées d’une .grande aîle plate 6c échancrée le
plus fouvent de chaque côté. TôUrnefort, inß. rei
herb. Vç>ye{ Plante.
TAPSUS, og, anc, ) félon Virgile, Æneid.
Hy. I I I . v. 68(). & Tkapfus félon Theucydide; pé-
ninfule dê la partie de Sicile, qu’on nomme Val-di-
Noto ; elle eft à dix.-huit milles d’Agoufte, fur la côte
orientale , entre Hylla paroa, ou Megara , vers le
nord, & Syrac'ufe vërsle midi. Cette péninfule, à
laquelle le P.; Catrou donne lé nom 61 î le , eft fi baffe
& fi enfoncée dans la mer, qu’on la croiroit enfe-
velie dans les flots. On l’appelle aujourd’hui Ifola
delli Manghifii II y avoit anciennement une petite
ville de même nom fur l’ifthme ; Plutarque en parle
dans la vie de Nicias. { D . J.
TAPTI, le , ou TAPHI, f Gcog. mod. ) riviere
des Indes , dans les états du Mogol. Elle a fa
fource aux confins des provinces de Candish & de
Balagate , ôc fe, jette auprès de Surate dans le golphe
,deCambayë.Ç D . J .')
TAPUYAS , ( Géog. mod. ) nom commun à plu-
fieurs nations fauvages de l’Amérique, au Bréfil.
Ces peuples habitent dans les terres , fans avoir ni
bourgades., ni villages, ni demeures fixes. Ils font
grands, robuftes, hardis & redoutés des européens. mm
TAPYRA COAYNANA, f. m. ( Hiß. nat. Botan.
exot. ) grand arbre du Bréfil, dont les branches s’étendent
au loin f &c dont l’écorce eft cendrée ; fes
feuilles font oppofées les unes aux autres, placées
fur des pédicules fort courts , & femblables à celles
du féné. Ses fleurs forment des épis , & ont cinq pétales
à trois petites cornes femi-lunaires, qui s’élèvent
avec les étamines.
Il fuccede à ces fleurs des filiques vertes avant
que d’etre mûres , noires ou brunes dans la maturité,.
inclinées vers la terre , longues <l’environ un
pié , & tant-foit-peu recourbées. Ces. filiques font
dures , ligneufes, & ne fe brifent que fous le marteau
; elles font compofées d’un grand nombre de
cellules^, de la capacité d’une plume, féparées par
des cloifons, & contenant chacune une amande de
la figure & de la groffeur de celles de l’amandier ,
blanches , tirant fur le jaune, unies, luifantes , dures
comme de la corne , & couvertes d’une pulpe
glutineufe, noirâtre, femblable à la caffe , amere &
defagréable au goût, aftringente dans fa verdeur, &
laxative dans fa maturité.
Le tapyra-coaynana eft proprement le caflier du
Bréfil, & fa pulpe purge mieux que celle du caffier
d’Egypte ; aufli cet arbre eft-il nommé cajßa fiftula.
Braßliana , par C. B. P. folaùva Braßliana Park,
cajßa fißula Braßliana, Jlore incarnato, par Breynius.
Tapyra-Pecis , ( Hiß , tiat. Botän. exot. ) efpece
de laiteron du Bréfil. Cette plante n’a qu’une tige
qui s’élève à la hauteur de la jambe de l’homme. Ses
feuilles font étroites, oblongues, dentelées 6c velues.
Ses fleurs croiffent au lommet de la tige &
fpnt couvertes de duvet. { D . J . )
TAPYR.I, ( Géog. anc. ) peuples d’Afie , que Pline
, liv. V I . ch. 16 .6 c Strabon, Uv. X I . p a g .514. )oi-
gnent avec 1 esAmariacte & les Hyrcar.uns. Ils font dif-
férens des Tapori de Ptolomée, mais ce font les mêmes
qu ii nomme Tapuri. Le P. Hardouin dit que les
TJapyri 6c les Amariaca, habitoient le pays, qu’on
nomme prefentementle Gilan. Ils étoient grands voleurs
, & fi adonnés au vin , qu’ils fe fer voient de
cette liqueur pour tout remede. Les hommes por-
toient des robes noires & des cheveux lon*s ; les
femmes avoient des robes blanches, & portoient les
çheveux courts. Les TapyrU étoient fi p.eu attachés,
aux femmes qu’ils avoient prifes, qu’ils les laifloient
epoufer à d autres , après qu’ils en avoient eu deux
ou trois enfans. Celui d’entr’eux qui. avoit donné les
plus grandes marques.de valeur & de courage avoit
le pouvoir de choifir celle qui étoit le plusàfon eré
{ D . j . y r &
TÂQCJE , f. f. ( Jeu de billard. ) inftrument dont
on ie-lert. pour jouer au billard, & qui différé d’un
autre inftrument qu’on nomme aufli billard. La taque
eft compofée d’une longue yerge de bois flexible de
la groffeur; d un pouce, & qui va toujours en diminuant
imperceptiblement jufqu’à l’autre bout, qui
entre dans une maffe poftiche de bois , qui eftà-peu-
près femblable à la maffe de l’inftrument appelle bii-.
lard, { JD, J . \
TAQUER , terme d'imprimerie ; c’eft avant que.
T ei?^erement une forme , & après avoir arrête
foibleinent les coins, abaiffer les lettres hautes,
ou plus élevées.qu’elles ne doivent être , avec leta-
^ oirj •> fur lequel on frappe légèrement avec le. manche
du marteau., en parcourant tout l’efpace de la.
forme. ^ jh^ T aquojr.
TAQUET-FIL1EUX ou Fit eu x , (Marine.Jnom-
qu on donne à différentes, fort.es.de crochets de. bois,
p e t it s o u .Io n amarre diverfes manoeuvres. Voyer-
encore Sep DE DRISSE. . ■
TAQpET, A CORNES, (Marine.) c’eft un taquet.à-
cornes qu à branches., qui feiu à, lancer les manoeu-
yres. IL y a des taqpets dans les farques, au. grand; 3u mât-de mifaine on-, amarre les cornets à.
ceux dëfçe dernier mâf. '
TAQUET A GUEULE OU. A DENT , ( Marine.).taquet
qui fe cloue parles deux bouts, &c qui. eft échancré
par le dedans.
TAQUET PE fer, (Marine.) efpece de taquet à.
gueule , qpijqrt dans, les conftruâiôns & le radoub'
des vaiffeaux, à faire approcher. & joindre les membres,
les.pr.eçeintes & les. bordages.
: T aquet de l a clé des é t a in s , (Marine.)
Voye{ C lé des étains.
T aquet de mast de ch alo u pe , (Marine.) ta-
quet a dents:qui. eft vers le bas.du mât, & oh l’on
amarre la voile.
T aquets,d’am u r e , (Marine.)ce font.des pie-
çes de bqis courtes & groffes, rouées, qu’on applique
de cha_quç côté du vaiflèau, pour fer.vir.de do<me
d amure. Voye^ D ogue d’amure.
S T aquets de CABESTAN , (Marine.). Voyer.Qk-
BESTAN & FUSEAUX.
T aquet d echelle , (Marine.) pièces de-bois
qui fervent, d echellons , ou. de marches aux échelles
des côtés.du vaiflèau.
-, T aqqets. D'Écoutes , (Marine.) Voye£ Bit -
T aquets, de HAUBANS, (Marine.) longues pie-
çes de bois. amarrées.aux haubans,d’artimon, GiVil y
a des chevillots, qui fervent à élancer les Carottes.
Taquets de hune a l’angloise, (Marine.)
ce font deux demi-ronds, qui fervent de hune, étant
misaux deux cotes du bout du mât de beaupre
r DE PONTON , (Marine.) gros taquets,
femblables a ceux qui fervent de dogue d’amure aux
vaiiieaux, par où paffent les attrapes lorfqu’on les
caréné. *
Taquets de vergue, (Marine.) ce font deux
taquets qui font à chaque vergue.
Taquets simples , (Marine.) taquets qui ont la
forme d un coin, & qui fervent à divers ufages.
Taquets , Piquets , (Jardinage) petits piquets
cpie 1 on enfonce à tete perdue 6c à fleur de terre,
a la place des jalons qui ont été dréffés fur l’alignement,
ou qui ont cté buttés ou déchargés fuivant
le nivellement. Ces taquets ainfi enfoncés, ne
s. arrachent point, règlent le niveau ou la pente d’u-
f e aflee, 6c fervent à faire des repaires pour dreffer
le terrein.
Taquet , f. m. (Tonneler.) petit morceau de cercle
aiguile par les deux bouts, qu’on met en rabat-
tant les tonneaux entre les torches pour les mainte-
I rfiK. (D . J.)
: Taquet, terme de Fauconnerie, c’eft un ais fur le
! , ci,u.cîu<?1 °n frappe pour faire revenir l’oifeau,
j lorlqu il eft au foleiLen liberté.
j (Corn.) ou appelle toile en trnuis,
; ciESi toiles de coton, qui te fabriquent à Alep ou aux
! environs.
TÂQUOIR , f. m. ußenfile tVImprimerie c’eft un
morceau de bois tendre , ordinairement de fapin,
tres-um, au moins d’un côté , lequel eft de fept à
huit pouces de Jong „fur trois à.quatre de larve, Sc
huit à dix hgnes.d’épaiffeur, dont on fe fert pour ta-
quèr les formes, c’eft-à-dire pour abaiffer les lettres
qui le. trouvent trop hautes, parce que leur pié eft
pas de,niveau, avec celui: des autres î à quoi'il faut
faire attention avant de ferrer les formes , telles
! T e e~“°,vem Pour être garanties d’accidens. Voyeç LAQUER.
I TAQUONS, f. m. pi. terme dJImprimerie, ce font
des efpecesde hauffes, faites avec de petits morceaux
de papier que l’on met fous la forme, fur le carton
ou que l’on colle fur le tympan, pour faire paroîtré
des lettres un peu baffes, ou des lignes qui viennent
trop toibles. On appelle encore taquons, les décou-
pures de pâpier ou de parchemin, que l’on retire
f dîune fnfquette taillée pour imprimer rouge & noir.
Voye[ Hausses, Çarton, Tympan.
T ARA B AT, fi m. terme de religieux, forte d’inftru-
mentgroflier, fervant à re veiller les religieux dans-
la nuit, pour les avertir d’aller prier Dieu au choeur.
I II y a un tabarat en forme de çreffelle, dont on fe fert
j dans la Semaine Sainte pour avertir d’aller à tene-
I bres. Il y en a d’autres qui;ne confident qu’en une
petite planche avec de grés clous mis en haut 6c en
j bas, 6c une verge de fer qui frappe deffus. (D . J )
TARABE, fi m. (H iß. nat. Ornithol.) nom d’un
perroquet du Bréfil, tout verd excepté lur la tête
la-gorge & le commencement des aîlès qui font rou-
j ges; fon bec 6c fes jambes font d’un gris-brun. Mar-
j gravin Hifi. Brafil. (D . J .)
j TARABITES , fi fi (H ß . m od) ce font des ma-
j chines, alïfli fimples que finguliers, dont les habitans
j Pérou fe fervent pour paffer les rivières , &pour
: fe faire tranfporter d’un côté à l’autre_, ainfi que les
chevaux 6c les beffiaux. La tarabite eft une fimple
corde faite de liane, ou de courroies très-fortes de
cuir, qui eft tendue d’un des bords d’une riviere à'.
Pautre* Cette corde eft'attachée au cylindre d’un
tourniquet., au moyen duquel on lui donne le de^ré
de terifion (jue l’on veut. A cette corde ou tarante,
font attaches deux crocs mobiles qui peuvent parj