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 de Glaris.  On  n'a  point  vu  jusqu’ici  de  pétrifies- g l   „   fou]e Uchet  Jes  bancs qui en sont revêtus,  
 tions  dans  la formation  argileuse,  excepté  c e l le s »   Gr ærnisch  ou G a r n i s ,  montagne également  
 de  la  carrière  d'ardoises du  Plàttenberg.Au reste■   r  nable  par  sa  hauteur  et  sa  forme,  située 
 on  n’y   rencontre  pas  de  coquillages,  mais  d e s »   k   Canton  de  Gtaris  ( v .  Lettre K.  de ,a  pi™  
 poissons  de  la mer  méditerrJnée,  entre  au tre s»  £ J j  des  Alpes  du  Xom. L  )  par  Ies  4?0>  <,/,  I2//, 
 la  scie  de mer  ( sqnalus pristis) ; des poissons d e s »  deiatitudeet26°, 41', 4 " de longueur, On distingue 
 lacs  et  des  rivières  de  la  Suisse,  comme  d e s »   dans  le groupe dont elle est composée le 
 saumons,  des  truites,  des  perches,  des  lo t t e s ,»   mi^ f ieurt  |e  du-milieu  et  le 
 des  chabots  et  même  des  serpens  et  des  tortues»  sa  plus  haute  sommité  se  nomme  le 
 dont  les  squelettes  forment  quelquefois,  entre»  elle  a  7621  pieds  au-dessus  du  lac de 
 des  minces  couches  d’ardoise,  des  empreintes» .  Zurich>  et  de  8900  pieds  au-dessus  de la  mer, 
 apssi  complettes  qu’élégantes  *).  ie s   cabinets»  c>est.à_dke,  q„ 'elle est  à  peu  près  de  la  même 
 de  MM.  SteinmuUer,  Pasteur  de  Ga,s  au  Canton»  hauteur  qoe  Ies  pics  da  st.Gotkard.  Il  y   a  sur  
 A’Appmzell,  du  fameux  physicien  Scheuchzeret »   ,e  revers  de  la montagne<  du  côté  du  Nord et de  
 de  M.  le  Conseiller  Lavater  à  Zunch,  confier-»  r 0 uest,  un  gIac;er  trois  Iieues  de  longneur 
 nent  des  collections  complettes  de  toutes  les p é »   que  pon  d;st!ngue  très-bien  à  l'aide  de  la  lunette  
 trillcations  du  Canton  de  Glaris. 1 , d'approche depuis divers  endroits  de la Suisse sep. 
 Minéralogie.  L'an  1526  on  travailloit  sur.le M »   tentrionale.  On  peut  gravir  le  Glarnisch,  soit  
 Goupprn à l'exploitation d’une mine d’argent dont»  en passant par  !a  jusqu’au  de-li du 
 on  a  perdu  les traces.  On voit encore les  restes»  glacier  qui s’étend du  côté  de Puchistock, 3 lieues,  
 dés  galeries  d’une  mine  de  cuivre  sur  le  M m iU   et  de-li  par  un  chemin  très-pénible  et  où  l’on  a  
 sckenstock.  Sur la 'ii»«y»-^/pe on sent une fo rtt»  encore  des  giaciers  à  traverser  jusques  sur  le  
 odeur  de  pétrole;  la  partie  de  la montagne  où  sommet du Feuerberg,  4 lieues.  Un autre chemin  
 cette  odeur  se  fait  le  plus  remarquer  est  c o n »   part  du  Clônthal  et mène  par  la  Schlatt-Alpe  au  
 nue  des  bergers  sous  le  nom  A’Oelblanken. Eu  Gleitter,  an  et  de-là  divers endroits,  les parois des rochers de sch iste»   sommet du Glarnisch  antérieur,  3 lieues f3.  Enfin  
 calcaires  sont  couvertes  d une  couche  de  sel.^B  de la  antérieur par  le  Kammthati  et le 
 Le  traducteur  se  souvient  d’avoir lu dans les  lettro^H  ockthoistock,  en  5 heures  sur  le  Glarnisch  du  
 du  grand  Halier  contre  Voltaire  qu’il  s’est  trouvi^B  milieu,  et  ensuite  sur  le  Feuerberg  en  traversant  
 dans  les  ardoises  du Canton  de Glaris  de fort bef-i '  des  glaciers.  Ce  chemin  est  dangereux,  
 empreintes  des  fougères  des  Antilles.  S   Goedjnghen  (La  vallée de)  est  située au Can