
 
        
         
		l i l p 
 BWBi 
 I 
 I 
 lip 
 i r ; 1 
 SÎlIltlÉ 
 I 
 I 
 il 
 j'H 
 chemin à pied-  Voyez le détail des  objets dignes  
 de.l’attention des voyageurs qui parcourent, cette  
 'vallée  à l’article  Oïhe (Val)* 
 Plantes.  Les  marais  d’Yverdun  produisent  un  grand  
 nombre d’espèces intéressantes ; on y  trouve entre autres;  
 JJtriculària 'vulgaris.  S a g i t ta r ia - s à g itt ifo l ia ^Q m ^ h   
 fistiilosp.  Aliium senescens.  Thalictruiri Jla vum. Hotto-  
 ttia  palustri*.  G ra t loia officinali*. f o a   aquatica, , j  
 Xi üm carvi fo l ia ,  liutcmus  umbellatusi  Ranunculus  
 gua,   et  aquatili*  Leys.  Ophrys  spirali*.  L q f/iym   
 palustri*.  Fumaria  solida  Hoffni.  Aux  tuileries  de  
 G r a n d s  on  :  Chelidonia™  glaucium.  M en th a   gratissima  
 Rot}u  t)ans. les  champs ; près  de  f i a  t h ode:  
 A  sporula  iirvensis.  Caucalis  g ra n d iflo ra,  dauçoidès et  
 Ù m t i c a X aeq.;  Delphinium  consolida.  L a th y ru s dcefa,  
 anliAca  et  tuberosa*.  Serratala  V  1 1   ¿Cjj , .-} Q - - tìn c to r ia ,  etc.  .  Adi 
 -  d u   T r a d .   .  .. 
 :  Faits  géologiques.  Éptre  autres  observations 
 géologiques  relatives  à  cette  contrée ,  on verra  
 à  l ’article  Nmchâtel  0 a cd e )q u ’autrefqis  ce  lac  
 s’étendoit  trois  lieuef  plus  lo in (Squ..anjôqrd|j|jf  
 du  coté de l’Quest. —  Le grès  qui repose le longi  
 de-i%gtpatag.ne sur les  couches méridionales;m  
 $ w a ,  est  tendre,  et ne  vaut  rien  pour  l’usage,  
 S u r   l e s   hauteurs i l   contient beaucoup  de  parties  
 dé  spath  calcaire  . et  de  pétrifications.  ,  Pand 
 de  la  Tour  dq.fa.MoUèfe^ii est  si  dur  qu’on  s’eni  
 sert pour faire des meules de moulin.  —  A Gresti 
 et à   Sermnz^tLyi r dessus  dé .  Îî-  V 1 
 couches,.minces  ,-df  tf^s-béau  gypse  strié:*  Xe11'  
 fermé  dans. de-  là  marne fipip régné e  de* fçüfrft 
 C’e s t   apparemment  à  ces  t o c s   dè marne  sulfureuse  
 que  les  Bains  d’Yr^ftun  doivent  leurs  
 parties  propres;  Ôn  trouve  des  chamites  et  des  
 térébratuiites  à Sussevaz,  et on observe un  grand  
 hombre  dé  blocs  de  granit  entre  Grandsôn  et  
 Yverdun*  ' 
 *  .  . Zi» ■ 
 ZeLlèrs&e  (ou Untefsét p Lac iftfèrienr)i  Cest  
 ainsi  qu’on  nomme  la  partie  du  lac  de  Constance  
 laquelle est située  sur  la  frontière septentrionale  
 de  la  Suisse  entre  le Canton  de  Tkürgoviê  et  la  
 ¡Souctbë.  Le  Zellersée  commence  à  fc  Üeue  de  
 Constance  et  s’étend  jusqu’à  Stein  du  côté  du  
 Nord-Ouest  et  jusqu’à  Zèïï  vers  léNordr’  C’est  
 de  cette  dernière  ville  que  vient  le'nom  qu’on,  
 \m  dònne;  La  rive  Suisse  est  très-belle  et  fort  
 Vivante ;  mais  celle  d’Allemagne  est  déserte.  
 Au  milieu  du  lac  est  située  la  grande  île  de  
 keickenàu déinsi laquelle on vòlt l’Abbate de même  
 nom ;  éè  couvent,  extrêmement ancien > • possé*  
 doit  ci-devant des  richesses  immenses.  L’île  a  
 une  lieue  de  long  et  compte  1600  hàbitans»  
 L’Empereur Charles  le Gros  qui mourut  l’an  888» 
 . est enseveli dans  cette Abbaye. —  La prétendue  
 grosse  émeraude que l’on  y   fait voir  n est  autre  
 chose  qu’ un  morceau  de  verre*  —  On  va  en  
 ! bateau depuis Constance  à l’ île de Reichendüj  c’est  
 Une prdtnenafie agréable;  les art, Oéningeti,  èt  
 Ètek  relativement  aux  pétrifications  remar-  
 f quàbles  que  l’on  trouvé  à  Ominghen  en  Allemagne  
 sur le Zellersée ,  et l’art. ConsiUnce(Uc dé)  
 èuriés cüriüsitésdes parties supérieures de ce lac),- 
 mrnmiiu