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dérations sur leur engourdissement pendant
l’hiyer, ibid.
Marne endurcie ( v e rh ä rte te r m e rg el )
d e W e r n e r . Ses caractères e x té rie u rs ,
1356.
Marseille. De Toulon à Marseille, 1504.
Observations ,sur cette ville et ses environs
, 1514 et suiv. De Marseille â A ix ,
1518.
Martigny. Descente du col du Balme
à Martigny, 684- De Saint-Pierre à Martigny,
io 19 et suiv. Situation de ce bourg,
1029« De Martigny à Saint-Maurice, 1044
e,t suiv, De Martigny àBrieg, 2121.
Saint-Marin. Température de ses caves,
3407. _ '
Saint-Maurice en Vallais. Route de
Martigny à Saint-Maurice , 1044 et suiv.
♦Description de cette ville, 1063 , 1066.
De Saint-Maurice à B ex , 1080.
Méditerranée. Explications des courants
qui se forment sur cette mer après des
pluies abondantes, 1374.
Meïllerie. Village et pierres de ce nom
sur la rive orientale du lac Léman ,321. I
Melberg, montagne près du lac de Lu- '
cerne. Ses couches arquées, 1638«
Méleze, transsude en certain temps, une
espece de manne que les abeilles recueillent
avec empressement, 743.
Ménoge. Description de la ravine dans
laquelle passe ce torrent, 438.
Menton. Situation de cette ville, 1384-
De Menton à Monaco, î 385*
Mer. Température de son fond. Voyez
Température. Hypothese servant à expliquer
comment les eaux dans ’lesquelles
les montagnes des environs de Geneve
ont été formées , ont pu entraîner les
fragments de rochers étrangers déposés
sur ces montagnes ,210. Précis de la même
hypothèse ,215 et suiv. L ’ancien Océan
qui a formé les montagnes primitives, ne
contenoit vraisemblablement que des animaux
sans vie , 606. Existe-t-il un déplacement
progressif de l’Océan? Observa-
- M I E ]
tions à faire sur les mers pour la théorie
de la terre', 2307 et suiv.
Métaux, voyez Mines. Meyer. Relief des montagnes de la
Suisse par M*M e y e r , 1941.
Meyringen, village de la vallée d’Ober-
Hasly. Il est élevé de 303 toises sur la
mer, 1673. Sa situation „ibid . Couches
repliées en S , par un froissement qui les
a rompues, 1672. Couches retroussées,
1673. De Meyringen à Im-Grund, 1675.
Miage. Glacier de ce nom dans l’Allée-
Blanche , 853 î 8547 892 , 894* Structure
des montagnes qui bordent ce glacier,
893. L ’élévation du-plateau du glacier
est de 129,2 toises sur la mer. Pierres peu
communes trouvées sur ce glacier, 898»
Mians. Abîmes de Mians dans les environs
de Chambéry produits par L’ébou-
lement du mont Grenier, 1181 •
M ica , forme un des ingrédients les plus
communs des granits et des gneiss , 122.
Action du feu des fourneaux sur cette
pierre, 124. Le mica entre dans la composition
du granit proprement dit, 142- Mica
crystallisé du Saint - Gothard ; ses variétés
, leur fusibilité , 1892. Mica verd,
1893. Absence du mica sur les rochers
très-élevés du Mont-Blanc, 2000.
Saint-Michel. Ce village est élevé de
363 toises sur la mer, 1214* -^e Saint-
Michel au Pont de la Denise , 1219.
Saint-Michel. Cloître de ce nom près
de Saint-Ambroise. Observations sur les
cadavres desséchés qui y sont conservés,
1291. Michely. Description de son thermomètre,
35. Mesures des montagnes par
ce physicien, 947* Erreurs de ces mesures
, ibid.
Mid i, aiguille' du Midi. Voyez Aiguille.
Miel de Chamouni, 743. Ses bonnes qualités
sont attribuées aux méîezes, ibid.
Soins qu’exigent les abeilles de Ghamou-
n i , ibid.
Milan. De Turin à Milan ,13 13 , 13^6.
Savants physiciens que l’auteur a eu le
plaisir d’y voir, ibid. De Milan à Gênes,
1327;
Mine , voyez les noms joints à ce mot.
Mines de Macugnaga , voyez Macugnaga,
etc. Elles n’entrent point dans le plan de
cet ouvrage. Observations à faire sur les
mines de métaux, de charbon et de sel,
pour la théorie de la terre, 2324*
Mistral. Causes de ce vent, 1604.
Modane, bourg entre Saint -Jean1 et
Lans-le Bourg. Son élévation est de 583
toises sur la mer. Eonderie de plomb,
ibid.
Molasse. Différence de cette pierre
d’avec les grès, 61 • Os .fossiles et charbon
de terre qu’elle renferme, 62, 64.
Origine des grès ou molasses dans les
environs de Geneve, 65.
Mole. Situation et forme de cette montagne
, 279. Sa hauteur au-dessus du lac
de Geneve est de 760 toises, ibid. Disposition
générale des escarpements des mon- 1
tagnes qu’on voit depuis le Mole, 282*
Situation de ses couches, 286* Caverne ,
288* Pierres calcaires dont le Mole est
composé, 289* Ses animaux, 290, 291*
Ses plantes, 292* Ses pâturages, 293.
Coups de vents dangereux pour ses troupeaux
, ibid. Caractère de ses habitants,
ibid. Directions pour ceux qui voudront
parcourir le Mole, 295- Aspect de cette
montagne sur la route de la Bonne-Ville
à Cluse, 449. Observations èlectromé-
triques faites sur cette cime , 1130. Expé-'
riences eudiométriques, 1133.
Molybdène trouvée sur le chemin de
Valorsine à Argentiere, 718*
Monaco. De Menton à Monaco, 1385*
Monetier, gorge ou échancrure qui
sépare le grand Saleve du petit, 226. Cause
de cette échancrure , ibid. et 231 •
Montagne. Son escarpement, sa pente,
son dos ou sa croupe. Ce que l’on entend
par ces mots, a gi. Montagnes primitives
servent de base aux montagnes secondaires,
131. Montagnes secondaires sont
d’autant plu3 irrégulières et plus inclinées,
qu’elles s’approchent plus des primitives,
287» Les montagnes qui composent les
différentes chaînes des Alpes, vont en s’a-
baissant graduellement depuis leur centre
jusques à la plaine, 3 2 5 . Ordre des différents
genres de montagnes, 477. Gradations
dans la dureté des montagnes, 567.
Montagnes pyramidales primitives, dont
les feuillets tournent autour de l’axe de
la pyramide comme ceux d’un artichaut,
569* Transition entre les montagnes primitives
et les secondaires, dérivée de la
situation de leurs feuillets, 570. Entre '
les montagnes primitives et les montagnes
secondaires, il se trouve presque toujours
des gres et des poudingues, 594, 595.
L ’interposition des grès ne détruit pas la
liaison entre les différents ordres de montagnes
, 596. L ’ancien Océan dans lequel
les montagnes primitives ont été formées,
ne- contenoit vraisemblablement que des
éléments.sans vie, 6t>6* Les alternatives
de roche en masse et de roche feuilletée
démontrent que les liquides dans lesquels
ou avec lesquels les montagnes ont été
formées, ontete'sujets a des alternatives
de mouvement et de repos , et qu’ils ont
charrié tantôt certaines matières, • tantôt
d’autres. Les faces opposées d’une même
montagne ont" souvent entr’elles peu de
ressemblance, 687* Les retours des cou»
ches de certaines montagnes dans le même
ordre, prouve le mouvement périodique
du fluide dans lequel les montagnes ont
été formées, 696• L ’inclinaison des couches
des montagnes secondaires sur les
primitives est un phénomène général,
9185 919* Action des montagnes sur
l’aimant, 921 • Caüses du froid qui regne
sur les montagnes, voyez Feu, 923 et suiv.
Différences entre les deux cotés opposés
de la chaîne des montagnes, 981. On s’est
peut-être trop hâté de fixer des limites entrç