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qm est aussi concave;; oaiy à l’inveree des-,grenouilles et des lézards;
toutes les faces, antérieures des.corps des; vertèbres sont convexes
dans les salamandres.,: et toutes les postérieures; concaves ; le dessus
en est plat.
Les apophyses articulaires sont horizontales, et réunies de chaque
côté par une crête qui; jointe à celle d e l’autre côté, donne à la vertèbre
une sorte de toit rectangulaire , mais à bords latéraux un peu
rentrans. Les postérieures d’une vertèbre posent sur les antérieures
de celle qui la suit. 11 n’y a pour, apophyses épineuses qu’une légère
apparence d’arête longitudinale. Le corps,. cylindrique, rétréci dans
son milieu, adhère sous le toit dont nous venons de parler.
Les apophyses transverses adhèrent de même sous les crêtes latérales
et sont dirigées un peu en arrière , et divisées par un sillon à
chacune de leurs, faces, eu sorte que leur extrémité a, comme deux
tubercules pour porter ceux dans lesquels se divise la base de la petite
côte. Il y a de ces petites côtes à toutes les vertèbre© du-rios, et
des lombes, excepté à l’atlas, mais longues seulement,<le deux ou
trois lignes. Elles sont l'ort loin de pouvoir entourer Je tronc ou arriver
jusqu’à un sternum.
Parmi les salamandres aquatiques, le triton gesneri a la Crête des
vertèbres dorsales,plus relevée et plus aiguë que la salamandre terrestre;
elle 1 est aussi un peu plus dans le trit on cdpes trà , . et même
dans^ \cpunctatus ..et- le palmatus- mais ce qui,est singulier , nest
précisément le tr. cràtatus qui a cette crête plus ellacée/et où le
dessus de la vertèbre est presque plane, ,
Les vertèbres de la queue:, au nombre,de vingt-cinq,ou vingt-six
dans la salamandre terrestre, pi. X X V , % i , ont des.crêtes et des
apophyses transyerses comme cellesdu dosçces dernièires-deviennènt
de plus-en plus petites, et, à compter delà troisième caudalerfi ly a
sous le,corps une lame transverse dirigée obliquement en arrière,
percee d un trou a sa base qui remplace les os: en cliovroii dos
zards-et des autres animaux-à longues queues.-
Je compte trente-trois caudales au tr. alpestrù et- au eristatus ,
trente-quatre au ifr/gomerc/trente^six-alt tr.puneta.mÆ\\es for-
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tuent: une queue .aplatie latéràlememtj’à cause de l’élévation de leurs
crêtes supérieures et inférieures, o ,
Les os des membres sont proportionnés à la petitesse des membres
eux-mêmes.
L ’humérus a, dans le haut, une tête ronde ; un peu plus bas, eu
avant , unè tubérosité comprimée et obtuse; et en arrière , encore un
peu plus bas," une autre très-'pointueii Sa tête inférieure est aplatie
d’avant en arrière, élargie pour arriver aux eondyles, entre lesquels
est une tête articulaire, ronde pourd’àÿant-bràs,: et au-dessus1; ’en
avant, une petite fossette.
La salamandre aquatique l’a moins élargi dans le haut que la terrestre.
L ’avant-bras se compose de deux os séparés; Le radius a une tète
supérieure ronde, un corps rétréci , et une tête inférieure comprimée
et, élargie. Le cubitus est plus égal dans sa grosseur ; son olécrane est
trèsiépùrt et arrondi.
Le carpe a cinq os et deux cartilages qui en tiennent lieu, sept en
tout; tous plats, anguleux, disposés un peu comme des"pavés-; et
annonçant déjà, à quelques égards, ce que nous verrons dans l’ieh-
tyosaurus.
Au premier!rang, il y en a deux, dont le plus petit* radial, est cartilagineux.
Le; pluSsgrand tient au radius et au cubitus. Entre eux en
estau,second rang un seul ; puis en,viennent au troisième rang quatre
pour les quatre métacarpiens. Le premier reste cartilagineux ; les métacarpiens
sont courts, plats; rétrécis dans leur milieu ; je ne trouve
qu’une phalange ossifiée au premier doigt, deux au second et au quatrième
, et trois au troisième.
: .C’est une chose très-singulière que. la-variété des points- ôù le
bassin s'attachera l’épine. J’ai des individus* de salamandre terrestre
où il est suspendu à la quinzième vertèbre ( l’atlas compris),et’d’autres
où il l ’est à la- seizième.
M. Schultze en a vu une.(i>)y dont il ne détermine pas l’espèce,
(ij) Archives p^ysio,log(i,q#çs de. ’NUeçkçk,etc. , t .I Y , p. 3^9 , note.