9 6 M e MO.'ï R E S .F Û iU R ’ L’H t S T O I R R N A T U R ® 'l L.£ ;
gus entre. Toulqufe &^Ga-rcaffoime^ .s’y prouve, ort)ife?
mais ôn peut aifément laduppléer ; * Catel. qübràppor te miette
routet dans fesi( à ). Mémoires pour l’Hifoire deppjpgftè*
doc , l’a extrêmement embrouillée faute d’aveâifait,attSïy
tiom à/ce^®fe omiffiôn , <§c pour avoir omis lui-même par
inadvertence la ville de Nifmçs entre Ambrujium 8c Uger-z
num.
Route de Toulouje d Arles.
T O t (Ô. S,A. "
B a s e r a , X V. Mill.
F i s i s . V^XVIII .
E b UROMAGI.
C A RC A $ SIO ME. XIV. S
L l VI A N À. X I I .
U SU E R V A. " \x i.
N aRB ONE. 1 . ''
ï / ÿ x ï .
C e s s eron e. X I I .
F or 0 Do m i t 11. X V I I I .
S,ERRATIONS, / /.X V . .
A MB RU SIUM. • ■ x -x .
N emuso. XV.
U g e r n o . XV.
A r e x a t o * V l i t ' .
I. Le premier lieu qui fe préfente dans cette route en
partant de Touloufe, s’a^yeMc B adera& il eft marqué
a XV. Milles de Touloufe , c’efl-à-dire à 3. lieues f. Le
nom &la diftance prouvent que ce doit être Bafiege.
II. Fines qui fuit , eft marquéà XVIII. de Badéra. Catel
qui remarque qu’on trouve fouvent ce mot dans les Itinéraires
, obferve avecfraifon , .qu’il ne faut pas croire
qu’il défigne aucun lieu particulier. Il prétend qu’il n’eft emploie
que pour marquer les limites. & les bornes d’un pais,
P agus ,,
m L a-î*@ ir feo ocîr Part. I. Chap. VH . 97
Pagus, & qu’il ne %$ifie ^ans cët endroit que l ’extrémité"
du Pagus Polo.fa.nus.
. IIIƒ Oh ïM)ùt,e tappèiéFpseS^EbUrojnagu's. 'C’efl'le lieu,
qui eft 'Pïébromagus dans l’Itinéraite de.Botdeaü^,
&:q u e , i f e u s f l i e village $m Br,a/n. La diftance
de Fines à Eburom&gm, n’eft point .marquée dans ^Sj tables.
* çomprê' on .M^défa dit ;>mais«il d’eft.pa^', difficile de
la fuppl^eÇs par ft^uérdrêdc^ Bouideaux^kivftiit cet Itinéraire
il - T ojiloüfe' à iHebromagus !.XL VIII « milles.
Il n’y;VilnivanMé|.yiblës que XXXIIL.mUfes^âé Toulon*
fe à*iFinesK' il faut donc que lêsjXV. tniMésS. qui reftent,
fuflent Ja diftance de Fines .à EBuromagus.
IV. D’Eburomoegus'à ïCarcaffonne , il,y aX ’I’V. milles,
' c’eft-à-dire ~ qui qùadriwecîà diftmcêVqu’il
y â âèyfBram à1 I. .CaYc^ffohàe1.’ <s
1 1 v A* ,XII. millet Oftd; 3. lieues de; iGatcaflonne on
trouvé Ltvtana. I^yAligrandéiapparence querfffeftde lieu
de Marfeîllette aü^felàtde^Xr^^^^; cornme onfttâehera dq
le prpuver d ^ s lu ^bàpftre >, fuivant.- -
* /VI.vA'prez Fireiima vient«, Uféervp , qui' en reft elpî^né
de Xj^toftles/ou de a. fliehes.Ç ’Aile-même.lieu ,, qüt
•jgft appellé dans 1’Itinémnd^^qirde.a.ux, &quéf!
nous crérôns-ôtç^lçaliéu de Touroufele | comme on yepp.
dans l^phapitre fuivant. *
y ift f^tifuerva. à Narboifneàl ya XVL milles!, -c’eft-à-
^krqt|. lieues, félon les Tables, jnftisjtil vaut «mieux ftuivre
Htinérafte^de „Bordeaux, qui-np cp|up?tfeKioeiXV. milles
entre ces deux lieux |i<^eftfà-dire ,3 -f lieues pour faire
pnr tout: XXXVIII. milles de^Carcaflbnn^ài^arbohneî,
comfhe il eft marqué. .dansft^Itinérairè de Bourdeau^a/ft
- VUI. Les Tables marquent enfuitê XXI. milles entre
^arborfn^fc Beziprs, mais'*'coVn’me.'feàdeux villes'dorit
la pofition eft pertaine / ne font’qu’à 4. lieues dediftan-
ce l ’une de l’autre, il . eft vïfibïe qu’il faut corriger' Gps
phiffres, & au lieu'de XXI. lire'XVI.* en fubftituant'un
V a la place du dernier X. Nous- .ver'rôhs dans la fuite
plu^'d’un exemple de pareilles*fautes,. '
; IX, De Beziers à Çefferon . aujourd’hui S, Tiberi , les
N'