, 3 0 4 M é m o i r e s p o u s -l’H i s t o i r e n a t >u r e e l e
d où vient-,quç la quantité îà^îytines. n’en eft guère’ augr
mentee ^, .ce qui fait ayffi que ces.^auaç^qîfioique -chaur
dés*, n échauffent que tnedioetemeht quand on en- uîe inr
tërieùrement.;!
- U. On emploie ces-eaux eq feiin.. ,Ôn fait baigner dans
la Source inêmp j.e’eft-à-dire* dans le&^bàins G G R > H i
delà Planche IF. Éjg. 1. ceux qui font allez rôbuftes.Le Baigneur
qui les conquît , fes y fait ^efcehdre par j degrez
à la faveur .des marches'qu’on a pratiqué pour.çet ufage,
% .^ li^ er>^u tems qnlils'i.i^^pive^ -demeurer, ^par- le
gonflement de la veine du. front. Ernles.eny.r%iï|nt'ioiIî
d^un drap &. nw^-ipprte -dans un dit chaud ,
un des pabinets.tvoiÂns^hl^+^^jll .arrive* fou-'
vendque le malade tombe qn défaillance ^ mais il revient
de fei-méme des;quffi relpâæè-un air'plusirais^niqdon lui
donne un pfti de yin-’purr'Qn kiffe ;feerd.e->pnakde- dan?
,fetitdu on l’a mis, ce qu’il fait trgs--abqndammept. »:Syr
la fin on lui donne un bouillon , j& „g^ps-, ^’ayôh>->bïen
dÿÆéche .on le -rènyoîê, ”^tisj^Æhâk^rpÿfhi'®n ccrovqrt.
Quand le jnalade .eft t r a i t j .
dansda* Jburce^ * on'a .foin doole- lui Jaite^prepïr^dd'ans
une cuve. J,, remake - de d’eau des bains-, qu’on kjdhye-
ffdïdif au : degré t qa*on pige: .cpnvsaabl^ Durr-©ftd|taù
^gardç^ipour regleqja durée,du bainp & ^pfoig^effuierdes
duenijs^du- inalade, des mêmes préc^uriçns^
IJJ. On/dortne la douche ^vecdl’eau défffiakruc,. non
feulement furies, differentes gardes du.çor^s^ -Ædpnt
^attaquées de foibleffe , de paralyfle, de rhug|^rM^|'&c.
mais nuffi fur féping du dos', fer k nuqne^v&s.-rhâWéf-fut
ia rejte & fur je vilàge. Pour ceq| effet ’on -faji^GjhpopGr
le malade fur- un matelas , k" tête-penchée - fur.-lfea^/du
jpremier bain -G .G. Ompuife dd-d’eiiu dans, ejf% bain, âïyee
june petite cruche baffe ’,. dont le. gogldt eft krge , telle
qu’elle efl; repréfentée dans k rFig. ç.. Planche Vl,èç on la
pied de haut--, fur la-pallie qù?n.n.veut
Baigneur a r foin de frotter en.rtffee
tefes pour augmenterTaétion de l’e a u f a i r e pénétrer
plus gvant..Qn parcourt dé,cétte maniéré touteql’içppdue
de ,4a partie qu’on doit douchpr , en iaifa^t r s’fLle faut,
, \ 'tourne^
; 1© s L a ^j G^Je dOC. P â rt.ll. Chap' l F 305
tourner .feVrmakde -dans tous fens convenables.
ifhfSettg- maniéré de donner fkfdouche efl en, ufage en
Languedoc;, _nonrfçulem.©nt à Balaruc , mais.-aufli à Rennes
dansfle^’io'bewde '-Limouxq|pu4l' ;y ‘^des eaux Thermales.
.On douche •?èneo^e> de»lalinêfne maniéré aux Bains
de-la Motti^cn IJauphiné. ^àr:tput üi!le.urs ou fonde feït
d ’une poîfîpéy-qitJf/pouffe unqe^d’eaUl continuel fur k
paftie>makde ; & defthainfi qu’dùierii'ufe.-à Aixla-Cha-
pelle plufieii-rsihutteâfbain.sjdans lesdfRais' Etrangers.':
tou- hien on, remplitdd',|\dJ(|au dé laV|*iM?ee umbafequet un
peu* élevé*'1, Cd|e$$ on^làî'faîid4 coulej/f fur ia’ jia'Étie;
par un. eid||^â§|;f#r , &-.,c’>eft la méthode',. qipUiK em>-
ploie aux bâinÿ'cle -Boufbon, & dans 1a plupart d'iss autres
-Baîn^du Roiaume^Mais'i! eft rar.e qtfoiij<t^edlMchei:
laf ÿà?étd|^s'Uueùn;fdb^<^<■ baînls v éirtant^à-dé
qu’onffait-étqus les jourL*, • non-feulerhoda'?fenJs jd^nger
mâ‘i>S mêlmeîavec umgrand fàcccs‘â-tjeu<x de Balaruc ÿ dont
d^au nJeft{ pa^mqins chaude ■ ,!& qui festplfcez.dans un
chmàt beiffequp plus -chaud.
IV.' -Âyvan;t;.;qué j,e quittaffe; 'kjfrovincerÿ/il 's’itoït mis
a^la mq.(ffi|»|Qmfeflü.cr l’application des boues- de Bala-rdc
.fur jâfcrtie tpak'de|; .în|is^ ces ; qraonnant®} |t|fidnt
difficiles qne les eaux déÎBalaxu^ qui
f ' naturellement, limpides,,t ne .dçpofent.prefque point.
Àufflku@(û, les" BÆgtisürsI bfen embarraffez à tr(o p ^ ,’lfes
bo^és^qu’ofeleur,-^&aapà.©iu^ Sid’dnqne è’eft. poinq qeuù|
bupiirl,©. faire dç ,p^ed|^ordd|in;aq^v>;'je ,fuis«pesfeS.e|
qu’ils iuroim été^foreez de p|ttdfedaias Jë& bainsd^s.boues
ailléil^s};, pouri defirs d|es
MaJadéS’*, .& at^o|donnfnces ,df^ Médecms^d,
Enfin q^nrojèttoit)fdeqfaipe àî-Bâkrpc un .bain ,ya-
poreû^.|Qi]«]àain fèe^c’effi-à-dirq tdes rétu-ves u. où fon. pût
feer vapeur^ de&^ai|X.{JOn^de.ypiiprendÊét pppr,
cet uifag’ëyfeîifaain des"-pauvres ,-.marqué. k.daiiy.Ie -plan
deLhains, '’.dont 1$, voûte çïb Baffe, ^ par-là,plus propre à
concentrer ^la^lM^ir > & op vouloir aux’ PdayreS
âla. pkcc l’efpa4,e.^e'6)uvert S§ vacantdéuifivient->:aprfe
parqué K dans ^plan. Mais jeidBùt'e que ®|'ffa'fdjet1, dont
onparloit depuis long-td^is. -étéPençôfe •èxeeutc.^J