Mémoi fe envoie
àe Nifrncs.
, '(*) Galliæ An.
fiti
2 4 5 M é m o i r e s p o u r l’H i s t o i r e n a t u r e l l e
x x y 111,
BaiïS l’Eglife champêtre -dé Saint Thomas de Calme prez
du village de Marguerite.
T I:
D R . . . . . . ,
A V G. g . . . . , .
p v 3 ||§ 3 |g i
P O T. , . .. , ; .
I M* ’ : ’ i '
| Ë* Colqmne où pn lit cette infeription, a cinq pieds
Éfl hauteur hors d’oeuvre 7" 8e dèux pieds de diamètre
Elle iert de pilier à unnks arceâpx de W.vouteÿfe*
f? ■ />. par yne bizarrerie trop copnrnune pour être
^etnpte dfaffeaation , elle eft placée de tefle force I L
i’mlcriptioneft du cpté du mûr ; oe qui -fait qu’on-ne
peut lire que les prermersparaêtoees :de. chaque ligne,
M. le Marquis Mafféi (af iridiqiîe ‘dàns le Ôioclfe^de
Nilines :j cinq autres MillfeirpsJ de : BR|ûpereUtf <||||pde.
Un a" Ni (mes , fans défigner/’endroit en particulier.
. Trois au village, de^Teillan prézde MafSliargdès dans
lé jardin du Seigneur du lieu.
Enfin un cinquième à R edeffan , < • •*
chemin de Nifmcs M ikaucairé , oè oh en a fait le ieüS
de la porte de.I’Eglife.
Toute^ les réparation* que d’$mperéur, Claüdë fiç
faire aux chejnirjs ,de; la. .Gaule J'Jarbonneife- au edlo
chant du ‘Rhône , furent faites ' dans ld'1mâne tefïis,
puiique les ÿferiptions qui font en fon nom , font tou-
des datées dé l’apnee qui précéda Ton fécond» Côn*
lulat j Ç éhia-diréj. de la première ? année de Ton remer
car k fecopde unnée il dut Confpl poyr la fééonde
j S I Cette première année dp régné de FÊmpereur
Uaude , tombe,fur l’an de Rome7 ^ & ?an de J-, C, 40
de L an g C ed dé! Part. L Ghaf. X V l. 247
ANTONIN L E PI E U X,
X X I X .
$ur une colomrie dans la muraille jle'la porte de la Couronne
f J l Nifmes /du ®oeÿ|%EÎplanade. •
I M P . C A PI. S A R . Gtaflcri^,/ De
' Antiq. Nemau/enf.
i d I v I ' . H a d r i a n I F , ' \
B ergier, H id .
T. A .E L r V S H/A D R I A N 1 M M i H îïiins^ E a t t , z9 f a g ,
" T S A N T O N î / f s ’ „ ‘ " ’V
a v Jg . ^ p i v s
P O JN T, „MA X . T R I B,
P O T ,% /T F i ; ;-I M P." I L ; C O St IT T l
;P B*, il R Ë S’ T I T V I T,
Voilà l’infcription''cemmerelle eft rapportée'par f / r a f '
ftr & par Bergier. - Afflïe Rulman^ &ffur fori à^h¥îtél& (a) àaCan.
R R. PP. Benedi’éHhs (dfiy à|ofi¥èht uneùnéuviéme lignei>Sued°c* Utifuprî
formée**c^s JpraaSfês- fuivans LXjFIQ VI. Enfin le M *
Marquis^ Maffei, qui l’a examinée ;îé‘dernier , lie‘fait’ ('«lÜ* Anti<1.
pas la moindre mention drè cette neuvième Mgne ni dé ces p f *ff- ,1'
carafteres : màrsiFmarqfue qu’il y-aauMsde l’infection
deux grands II. dont aucun* des -autres^ Wd parlé. •
^Cesd'ifferên^sfur-l’etaède la mêmeinfcriptiôn, m’ont
oblige de demander à JSfifihes des édairciffemehs poThifs,
pèpr m’alfurer ;dé la véritf-Oh* m’à‘mandé qui le Mil-*
Itaire pit queftion exiftoit Téellemênt '; "qu’il étôit- à la
T ^ te. Coürônne fur la drèicê en fortarft*/ cftchaiÉ
a moitié dans la muraille du tambdur qui fait le Icoiitoüf
.«eS fu 6 étoit cylindrique', haut de 4. pteds.y/
& dim pfed fix polices dè diamètre -, eiîfih qu’on !y li-
loir mot* pour môt & lettre pour lettre / l’infeription
«
k