. Mémoire envoie
de Nifines.
a j ô M é m o i r e s p Q V R L ^ . L s T o iR E n a t u r e l t a
(*) Gallias Antiq
t»g- 3*.
Hift. de "Lafigue
doc. Vbi fuprà n°
a?-, .
X X X I .
Dans le village de Saint, Cefaire à trois quarts de lieu
de Nifmes. ,
î M P. C A I S A R
D I V I H A D R I A N I
ÊY T. A E L ï V S H A D R ï
A N V S A É T O N I N
V S A V G, P I V S
• P O N T. M A X T R I B.
POT . v T T l . I MP. H T C 0 $. l t w
P. P. R E S T I T V I T /
1 1 C
Ce Militaire eft ckez Un paifàn du village de Saint
Céfaire , où il ferfi à foutenir le couvert de TPefcalier qui
• eft en feillie dans la. cour. M. .Maffiei indique le
même Milliaire & la mêmeinfcripçion. Ni lui ni la per-
Ibnne que j’ài confultée J r Nifmes ? & qui as été à Saint
Céfaire , ne parlent d’aucun autre Milliaire dans(ce vÜ-
lage. L’infcription. précéderiteferoit-ellë donc la même
que celle-ci î mais fi cela eft il faut convenir qu’on l’u rapportée
peu fideHement, & qu’on a mal indiqué l’endroit
où cm là lit. é. . ijjl a
Le nombre III. qüi eft au bas* de Pinfcription , marque
que -ç’étoit le troifiéme Milliaire. Voyez» çi-deflous.
X X X I t . ■ - gg ■
.. KNijfyies.
- IMF. C A E SA R DIVIHADRIANI ANTONlNI [F]
AVG/PÎVS PONT. MAX. TRIB. POT. II.
IMP. II. COS. lui. P. P. RESTITVIT.
DEi L'Aft ® u'e DO c. Part. 1) Chapi X V I. ayi
Cette.infoription a été mafcbpaéet'Pour.ia rendre'con-
forme aux autres ,l|fcriptions Milliaïres de l’Empereur
,Antonin ? il,faut la rétablir.ainfî.-
, I M/p?U iC A E - S ^ R .
D I V I. H A D R I A N I g F]
a n t o n î N yj^r A Æ G m ’J V S j
P O N T, M A X T R I B . PÓ -T.
: Y ,, 11, I M P. I I. C O S.:. l u i ,
P. P. R E Ç T J l T y j T,
Les, Infcriptions Milliairgs de l’Empereur AntOnin. ,
font [es mêmps. iC&pt lès rapporter toutes fà l’iptervallg
qu’il, y a eritre' le iV . &*dërùiex ^Gonfulat d’-4^$pjp >\
qui'fépond à, l’an., de Rome $$9. & de<J,(|6. 139. 8c
iTrridrc de, lest Emperéutv.qui arriva, Pan .de Rome 911,
8c de vJêfus-Chf ift j 6i .
On’ doiuajoùter dei quelques Milliairgs dept on re-
c.onhoîr la fbftjde , mais dont on ne* peut pas lire ,1’i-nÆ
.eriptioù. Tels, fönty^par exemple 1 les quatre colomnes ,
qui font debout à dette efpeee -de monumerit pre;z du
pont de Cartdont on ^ parlé dans, partiele ' précédent,
n°. IX. Il parbîtdipla vérité par le n°. III. de.cet arti-
jcle , qu ufteldmcgs colomnçs eft de l’Empereur Augufte,7
piAisi ion, ne peut pas lire les infcriptions des trois aiîtfes*.
parce quelles font plantées à contre-fens , & que l’inf-
.erdptio»; eft entièrement couverte. Tgls -font aufli tpiil:
Milliaires ,»;des quatre qu’ily a dans PEglife de .Bçrnis.1
Ces quatre! Milliaires y fervent de piliers d’appui aux
.deux premiers arcs de Ia voute , à (droite gauche.
Ôn peut lire • une partie,de.d’infeription ,du fécond'qui.
eft à main gauche en pntrarit , & elle appreqd que ces
Milliaire étoir de l’Empereur Claude. Aboyez f‘et-deffusv
f XXII. Mais on ne fçauroit rien lire des , infcriptions