( « ) Hiftoriar.-,
lit. } . cap. }9.
(b) Géographie.
lifciïysiÉ
(if) In Graccho. ,, •
(d) O-igin. W .rj.
cap. 16■
1 ' (Je) In Bibiioch.
jîTOfelnic0,«
voce M/aïov.,,#--
2,2.8 M E k 6 lRÉS'POt>R fc’HlS TOIRE‘N-ATÜRE‘LLE
fait atteftê par‘(4) Polybe ||h| Strabon-y.(*) Plutarque , &
:(d)Ifidorë', &ces autoritez doivent'-prçval'oir àcelle'S' dè^e.)
Photius & (^^d’Hefÿchius, qui ne*.content que 7 ftades-ou
7 ftades&'demiparniille:Le uadecontenqit donci 2, J-pas,
ainfl que le témoignent (g') -Pline 8è p|Geriforinus,’^comme
-(g ) Hiftor. na-
! t ural. Lib. i eap.ii£^
(b) De die natali,
t a p i i .
’ ( ilV ü fü p r à .^
(b) ,Ubt fuprà.
. (/-) De inenfqris
& rponderib.as.
(m) DevitàPei-
reskii , ad au».
'{»J'Pfcàrdry de
maffurit.
( a ) Au'zour,
Mefnres comparées
avec le < pied die
Châtelet.
jjnl Çp'f' Mémoires-
de l’Académie des'
Sciences j année
i-goy, ■?
chaque“ pas rdmain tt ëtoit de 3 pieds romains, le
ftade_ devoir ■ être * de- 62-5 pieds romains; & c’eft-là ce
que (i)' Pline & ’ ( rontin - difent en propres <*tefmes.
D^un autre ;dôté le ftade* n’a il aujourd’hui que, f (yf i l^ieds
de Roi, c’eft-à-dîrè le huitième de 4514 piedsîqùe-le mille
a'dè'iong. : Il; fuitiddhc- dè-là;-que- -le-pied? de; Roi dqit
être a d’ancien pied romaiîby j comftie >625: à. "5 ($5^.’ ce
qub.donrîê le même ïapport ique letpréÇedj|^fe, mais. èri
moindres| termds. : .1
'j 30 y."Ces; rapports du pied de Roi ahnp^ed ;'totnain_de
çoetdi.à 4 £24 , ou-de 5fi4 différent ‘des^autres
rap^oxtSj que plufieurs Auteurs ont, êtabfis^ptreiCiÇ d§ex
pieds,, fixais. ils n’en different
Pætus , parlexemple , avoit fixé le. rapport du pied< de
Roi au pied romain,:, comme 1440 ||j8 ^p6r ou ■ ijçÿÿïN-o-
tre mefiure du mille donne Ipyme^ie^ilappoÆt, ;;corhr#e
1440 à 1JQ2,. Gaffendi avoit -fixé le 'mêBprfifap-'
port, comme éç&sôfà-yoë. Notre smëfure, iqdondê
me 1 e^d4%.9^4 Picard & -fct Auzqutj Hâ^QÎqh^^j^é
cnmme^ïcù 6 5 3 ou 655 f- Ndcre mefyre-fe dopne
commç 72^0,-à 6 f t 0 % Enfin >( ). M ■ -yCajfinï ljç^#it,' .fijte;
comme a 5 à 2.3.1 Et notre piëfure le-id.onne comme:2-$
a.az 7-0* y 1 ' ' j i i i .
Dès. Pierres Militaires- déplace'es epdm;trqtwe:-.da&$ille
- • Lânguçplof.' I
OuferedesMilHaires^qui font en place:, & dont-çya^gnt
de parler ,• on en trouve de déplacez-! en. quelques ejnt^rpips
dubas Languedoc, fur-toutaux1 environs,.d„e NifmésVpù
il y. a |e.,plu^dfMe^;.r.ê%s; d ’Anciquitez Rornaines. ypiei,
les Ii|pÉriptions j^i juèunoiflânceî; eneore;
même y en a-t-il plufieurs, .qtit ^je ne connois que ffur^la
- d e L a n g ï ï v.*v1oJ($âçPm, 1. chap. X V J~ 229
foi desrAutjâfrs qui en ont parlé;; maïs j’ai cr^l, qu’on le-
roie bie®’ aife' de;-vqjr ^es, Inferiptions raff^m,blees a la fin
d’un ChapiJîJê^ù il, étqit qpeffpn de la-voie romaine à
laquelle ©iie'siott.pappartenu..*
Dans Pimpofiibilité lp| jplâces- ou épient les ''
Milliaires-dé Jhaeune d^^s.jjnférip^iods. , le plus^court
m’à"pârâ4dê lés placer- fu-iyapt l’.qr.drÿ|^chrohoJogiqûé dqs
Empereurs dqpqgldefeppptent .|ç,‘-nqm, Par cê^moien les
Infcriptionsde - la, meme, efpece, fe . troueront enfetnEje?,
& ;®ji; fera»-mieux en .gtat»* felês,jeomparer duj jugqr " ^
par cette. comparailon „dçs ;^.upes ,qu’oni4Jpeut avoir fartés ,
enlJpflBtaAt. ou :eriydé§-rCopiant.-;. ,.
A U G U S T E.
1. ;
Dans "l’Eglife , -une çôîoffinè férvant jde
- pilier d’appui a.u-premi^. âr<i’;de la voûte ên* .entrant
‘ main drdi|é'i?#
riÆ-'P. !Ç A'*E S A R
Mémoire.eflybié
D I V I. F.^_ A- Y t:G. P ,Oî(^ T I F.
M'A X ^ M ^ S , C O S. X T r ; - J
C O S. D E^S' Ï G? N Â T. X rH .
IMP. XlTTT. T R I kB V N I C I A,
P O T E N T A T E j fX . t Ty
®Cel»cpI<)mne a 9 pieds;de^haut hors d’oeuvre, & 2
grands piedsdë diamètre-.'Elle eft couronnée d’une corni- V
ch’è arrdndie. L ’infcription eff en grands-^.beaU^ cjrafle-
res‘ , 'bien apparents1.;, qui 4 e.'font point enfprpies dans
uni-^uadre ', ni Bornez |>ar aucune ligne. I
■* M. le Marquis-'MafFei indique icette 'Rjerre M illiatre, fans en rapporter
l"Iq(cciptio_n. Voyez. Galliar, A n t i q u i t . 33.,
F f ii) "
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