4 « : l * r * o « ! i u TOM»fH.iSToI»E rtAT-m-krn.E
qae O » w f t w , M t a | Je,mot Latmied»»
M e Goukur rougëi, ^uîoü/fsijCoïc;
autrefois avec le Vermillon ou graine de Kermès * &àu’on
fait aujourd'hui avec la. Cochenille. Ori âdoôffc dif&eh-
tes etymolo|ies dë:çe mot. T im .MénagéIgflHUjfc 3 L
hgtque , m Ü |
Trévoux ïrau même moh/Gmèj «leertkùde
ne qu’on â de trouver Fétymologie-dèidê: nSor dàns. lëfc
langues connues, me fait foupçonner qu’il, vient du cet
eltnne efpece d Ÿm ^ ’forrojdp^re dà^sie Gallois. Voiez,
JB S É IS f f i ? f * ° ™ aire Gdloisde Davies , au'mot Vs-: deQuer, (a)
qui figmfioit-tm chene Gôâ%>à'.W
graine de Vermillon icroît* Vvie&ci-dytCoüs, â% assit Ker-
f * <*) W ,q u i niiifie encore couleuren
Couleur\ 411 moC 5^ ^ ! s ^ en bas-Breton. AÉifi- YJqu'erleif, d’où l’on a
M.chalons, au fait Ecarlate, fïgnifioit mot pour ïnert* U couleur du Ker-
“ iw î , « m,,t Y S 9 ^&& & ***? f ^ ^ ^ f e < 3éte^«^k)gîEr-e^
Uiw. ' du moins plus probable que^celle que quelques Auteur^’
vexent -tirerde l ’Arabe, » d W i W J g f e m&küè,
d Ecarlate, ni çd\À,à’Y(quedat, 4^ , 4% ;prêend que lc>
mot d Ecarlate a ete fornw ; ne font point desAots Ara-;
bes, mais qu’au contraire Jes;Arabes eji-x-mènes •les^ -ont,
empruntes des Vénitiensen recevant d’eüx- lés étoffés.-
teintes en cette couleur, - .; y Z
Do?uja.^i&nn* ^e ' ® sc Ra f i -G-N jA T (c\ f en Languedocien:, t 8c ($■ Crafi-
JF> M chaions pas-Breton, 8c fe).Ysgraffinio en Gallois fîgnifiêht
Îenen J ! ? * < & * * * & » * Ç e fflOt F r a n ç o i s
M Di(3fona. de quedestrois aùtrts , & il parqît qu’ils viennent tous do»
JT / r r â V€rbe 9ui %nifie en Gâüois-r^m\
(g) Diâionn. <Je v M T E,L 1 ° Magnifie, en Languedocien un e'clat de
'W jkm é r. bM ° J } ^ V en T«) bas-Breton *&- en 'Gallois’ dans là
Roflrenk ‘ % nifieation 4fi4 l. :G’eft de-îà que vient- le môf
sjaD**«* fffîM ÿ g en.- François. Les Auteurs du Gloffaïre de la
i ]A* baffe latinité ont cru ( h) que ces mots yen o te &4M H
ïî e L a n g u è ü o m Tm . TITChap. IV. 46$
ou plutôt h-aftulxi qu’on a dit dans la baffe latinité pouf
ùtâ éclat de bois mais il-y- a grands. apparence qué- ce
mot Ajtula ç|t lunmêa^Æ^gfné^ektt|üe.'; -
iiji J
' ■ F e N^À.Bft EG u e ; qu F anabk-ejgüe. C*eft ainlî
qu’oni nômmeî ŸJXLXÎJiÿr ou le Micacouliet dans le.bas Languedoc,.
Le,premiertdécès deux motsïe trou,ve'dans [a) , , Pânta ru.,
Rabelais , mais je'croi pourtant que c’eft T mbren ou 1,0.
F'dnalàren, 'qu’il faudrdit dire- L<|ë ainfi4 prônok'ce
'rEf .par@k être; un mots eeltique. D’un.jff&té XBren ou Bren
É^S^iV^^arUre dans .#). le Gallois,..<& dans*.kiîl^'jîJbas-
Breton j 8f de l’a u t r e u n ufâggincoidîant.dans le n ^ f 10”'
pais de Galles, de nommer les«'éifferent^ efpëcés^arbres ” ” I
par ce mât b ren en y joignant-le nQÜf du fruit^iê cha- ^ t«éKôn. de
^[Ue arbîe-1 produit, Ainfii lp'Cerifter s’appelle SarraUreh1} M-Chl1«ns’^ au*.
Varbre deVcérijèH- le Parier ±X3-eM^ren, l’arbrb ^ 1™», ’• *A
Poires •; Pommier,; Afelbren fTàrbre -des Pommes : le1 •yDjôi6nn <!oP‘
Prunier vEirinbrm X l’arbre 4es Prunes ; le Figuier , Fy- S K t e f f
gijbren r l’arbre de s-Figues l’Arbouïïier TMrfuflireni hou->- ■
l ’arbre des .Vnommées en. GaQçis Mefus,,^%de
même que'dès fraifes. Enfin le Cbofne t même ^ s’appelle
Mejbrm l'arbre des glands. Le nom de *Tenabren ou
Panabren çtgjt donc fignifier aufli 1 artre dès* pena ou
Fana. Cë'iîom de T^#4 ou Fana ne fe trouve point dans la
langue clgs habitans ni delà baffe-Bretagne, ni delà Prin-
Cipauté-dê'^allcs qUi-; peut-être ,Jfonn jamaisyconnû^ ni
fruit, ni l’arbre qui le,produit, m^s l’analog^Kprouvé
que çe mot a dû fignifier dans le ^celtique le fruit du
Fanabregue , c’eft-à-dire les ‘Alljes mu Mica coules^ )
F e u it Ch a ouF ü.rg e in fignifie (d) embas^Breton - . -p
Fouiller. Ôn dit dans k ‘nÿnie^fignificàtion Furga dans treneo^do*
le : Languedoc,.
; . G --t
^ G a l r a . Oh, trouve (:e|*'dans Suetone que les Gan< •
loiÿ appelle ient Galba, -ceux qui - étoiëiitfort gras on-dit jyyft GaIba caf'
ÎÇ.N n iij