Grafferus , De
Antiq. Nemaufenf.
MafFei Gallia,.
Antiquit, png- j-i.
2 3 8 M e MO I R ES PO ÜR’ l ’H ï S T OI te E NA TÜR E t x E
précèdent au »0. XI. On lit au bas de t’infcriptîoïi le nombre
V. qui a été omis par Bergier, ou pour mieux dire
par M. de Peiréfc qui a ‘communiqué ces Jnfcript ions à
Bergier. C.é,nofnhre V- marque lë cinquiéme Miliaire de
Nifmes à Arles, qui étoit dittinft du cinquième Milliaire
de Nifmqsà Beaueàire , parce que les deux voies fe fépa-
roient entre le I V -& le V. Milliaires.
' X V. ■ -
A Nifmes fans aucune fixation particulière du lieu.
IM t\ C A E S A R
D.. A V Ù. F . A V G.
P O N T IF. 'MA X .
T R I B. P O T. X X X I I I .
R E F É Ç I T E T
R E S T I T V I T .
H eft évident qu’il faut lire TI. CAESAR à Id,pre-
miere l igne& DI VI tout du long à la fec.onde? Mais
cette inleription ne îeroit-elle pas la même que celle ,qu’on
a rapportée ci-deffus n o . V^Sijpela eft, il faut qu’ilÿ ait erreur
encore à la quatrième ligne , & au lieu de T R IB.
POT. XXXI I I . il faut lire TRIB. POT. X X I 1.Ï.
X V .
Au village de Teilltm prcz de MalJiliargucs dans le'
jardin du Seigneur.
T I. C A E S Â R
D I V ï A V G. F. A V G.
' P O I T I E ;-,M A JC. s.
T R I B. P 0 T. X X X I I I.
R ^ l l j C Î T E T
R E S T I T V I T.
L X X I I I .
d e L a n g u e d o G- Vitrt. f. Chttp. X V h 239
_ Ce Milliaire,a gté enleve^de la voie romaine environ
tro is quarts aejpeué ,, c’éft-à-dire' trois'milles au delà du
Pont Ambf^Jus, &; au couchant du Vidourle,, çpmme les
chiffres* LXX.III. ledrpùvçnt,. V°yez> çi-delTous a lailfiri de
cet article, ki
X V I 'I.
Au milieu du chemin de Nifmes à Bernis.
T I. G(‘À E S A R Eergicr , Hift. des
d i v i. a v î à f . à v a ' *• P^ 7!S'
1 P 6 N T i F . ' M Â ü i
R E S T I T V I T. i
‘ IL X X X V I I .
Ce Milliaire que Bergier .piaÔèiu'U milieu du chemin de
Nifmes a Bernis;', eft lë' Mdliaire qu’on trouve^- dapS'
ohefnin un petit demi quart de liêuè avant que dam-ver
Millau , & dont on a parlé dans l’artiçle précedênt n°.XIII.
Il falloir que cette inferiptron* fut plus lifible“ du tWs’d’é
M. de Peirefc qui la communiqua à Bergier y qu’elle i né
l’eft à préfent1*, 'câr on n’y peut diftimguer aujourd'hui
quéd^l^ljk'xhiffres L X X X V I I .
L’énonciation de Bergier eft .pourtant abfolument
^raiej,;scar pe Miliaire .eft effedivemeru; fur le chemin
îde Nifmes à Bernis, qui eft"|é mênfe que celui\de Nif-
maes à Millau ; mteis comme il -eft plÜs' prez de Millau
que de <?éfojte:pÉir'|e nom ;.qe. Miüau> .qu’il falloit
lé défignêr^.b
- Le nombrt| L X X X V I Î .‘'“♦marque qué c’etoirde 87.
Milliaire à comptât depuis NaçboPPC fur quoi voyez,
tci-dejjous. .