HH* lib. I.
■ panic.
mm panic.
Te lis 8e. Techis , là Tefou laTel 9-8ch.Tèçh. Ce font le Raffina
& l’/Zi^rrn deStraboiÿ..': -,
Çolonia Rufcino. Il paroi t par le .-témoignage de tousses
Géographes^t^uèsek' .Ville- ■ à^Rufcim. aiité, confidérabîe
items de t Louis--4è
-bonnaire .*• qui en parle dans/Je privilège,qu’il • accorda
aux, Espagnols qui fe_ retiroièntmÀ:F.r.ânçe , .pourffuir la
tyranniedes - Sarraiins ; mais.il y^ a. longuiems qii’elle a été
•détruite. Elle étoit fituée à l’endreitreù eftda Tour de-,Rouf-
g#, ent «^^é#Vnoin , 8c <juii*a donné aujdotaté
dé Rouffillon.
g Vicus Mfbefr,is, La Ville d’Eliberris ou d’Uyberris étoét
floriflantedu téfiis dû paffaged’Annibafen Italie
) nic*à. Iil. ibparoît par k (a) témoignage dé'-dite-Live^Mais'Ce nMcfoccms>
de-pPom^ônius -Melà^&
de Plfoe. On croit que l'Empereur 'Ccu^antindeuGïàïid
k fit rebâtir &-l’appellà Helena. du nom de ejMàè
foufiérei ■ C’en fous ce-nom .qu’en • parlent. J:®uS'^é‘Sïh'iffioriçria
.qübÆni font mention depuis ee'tems-lâ. Elle^s’appelfo au-
j Mate. Hif- jourd’hui Élne. M. de Marca (^réfuteiÆ^^dlidement
lïb.| m/..«- ceUx* qui |oenfondent -cette Ville æiQC :Caucoliberum 9 au-
^urd’nui $?lUpure>. ;
Portas Veneris. Port-vendre. On lit dans Mêla , Portas
')*i»rc. jM* dè-Marea<ej£tâche; de. -rendre’ rai-
?. foardo; ce nom de:Gvljè_,fal/, en- faiiant remarquer qu’oft
Jfofofob>eaueo®pvde felfor -ces côtes,’& qu’iLyéavèàt
prezefékdesfources d’eaux plus faléesque la’ mer.même
-, mais, je nefçàidicela fuffit pour justifier -l’expreilîon
qu’oblit éamsïJel texte de Pomponkis Melà. D’un âut£e
:Qç$é à approuver la._ correâion derVpfous%
qui prétend qu’il faut lire infignis fano c’eft-à-dire remarquable
par le Temple de. VenusPyrenêene. Outre que cette,
çorreâidn rPefb appuyée fiir aucun manuferiij il eft certain
que ce [Fempie t^étoit; point à Port-veddEe^ï mais for
foPrfliiot%%fyi$flphredifiuw9 àujoürd?hui CapdeCreux.,
■ d Ê LÂWGüBD-ôb. .Pm .':l Chap. IF.r | f
Caput decrucibus , qui en eft aflez éloigné, if
Cêrvaria ; locus, fims'Gallm. -Le? Gap de -Cervera , & le
Port de Cervera.' Gedont aujourd’hui îesdimites du*Rouf-
fillon, comme'eed’étoienc'^autrefois de la* Gaule’ \ Narbon-
çeoifeij mais, avècteette^différence , que.><2eïvera?vefl: : aujourd’hui
compris dans 1a .Catajogne^au lieu qu’il l’étoit
autrefois dans kyGaule 'Nâj?banhoife;in;j
C A A P . I T R nE I y .
Defertytio» 4e.la. Qaale'Msanbmndfiplr fdine^ avec des
' remarquesfur>ce--qui'cmcérnêla B-rodincede'Languedoc! >.y
PL.ï N$pjle Naturalisé^^pnnu four le nom de C. Pli-
•nius-Secundus ne à Vérone, j l sa vécu fous dif-*
férens Empereurs,-,Jïquidhonorere.nt'vdè piufieufs emplois^
impo^ans'^rnais‘«es emplois ne -l’empêcherent ni-d’étu/
die/ ni dfeïrIÉ!' Pline le jeune fon1 neveu marque dans
unÇl ^% fif;f eS''‘féttres^é'^ on'1^ aSe due f°n oncle aVoi^r&Jïpiftoi. Ub.
^ÎUtufoeldgijajre.du ôteras, ,fenbu4 appren4’'p"ar-là comr^’ ^ ^ ^ 's'
ment il ayoit pu au milieu des occupations les plus impair
tant^ ^ '^ rOUVCr ^^°ifi'r ,de compofer tpluifours ouvrages
confidetablesdodt il rapportdlls titres, & que nous n’avons
^U<?f911 ^ ^ oire naturelle, divifee en
XXX VII. livres , qu’il publia fous l’empire de Vefpafien
Cfiume il -par.oît par l’Êpître dédicatoire, .adreffee à Titë ï
nls‘,a|u^dq^é6'Emp^repn Cet, ojùvrage efl d’une grande
etendue , d’une érudition infinie, > & prefquesauffi varié
que la Nature, ƒ £,) Qpus diffujum , eruditum , net minus -va- ( « )'Plînias ja-
riumquàm îffa Nytura. C’eft conftammentd’ouvrage le plus
lçàvant q(% l’antiquité nous ait Jaifle. Pline y a rénfermé
dans .quatre LivresJe III. le. IV , le(V. 8c le VI. tout ce
qu’on;, fçayôir de fon tems .fur la Géographie. La deferip.
Bonde, la Gaule Narbonnoife fe trouve dans Je quatrième
Chapitre du troifiéme Livre , telle que nous Vallons rapporter.
'Mais nous ne nVis Arrêterons qu’à regarde
fo Languedoc &f hous tacherons d ’eckircir ce qui paroi