(*) In."«
Galliar. in
Rufes.
r&8tt'SMfii;R^-rouR. t ’Ha-sTorROï' nat ure l l e
otitïa « Ue de de, Valois ,r (^) qui prétend quë cela regarde
voceile lieu de Roehemaured'e 4’aütrel côté.du Rhône rdaasfe
Dipçèfe/de^^î0rs ,;car.t>utre quede Rochemaute ne*s’eft
jamais appellé que fO^.s' , &, ndût® ^ Rupes Morfi
nuta, f il, faudroit d’ailléuts ;à fuivre cette idée que ,Th eo-
dulfe eût paffé lé Rhône pour aller de Valence à Roche-
maure, 6c qu’il l’eût repalfé pour .venir de Rochem&urm
> Orange, ce qui ^’eft nullement apparent, 6c ce qu’on ne
doit point fuppoïer, puifque Thèôdulfe pe ledit pas!. -
E t fines , quos tenuere Gètæ. La'domination des' Vifi-
goths & enfuite des Ôftrogoths s’etoît étendue .dans la
üâffe Provence depuis la mer jufqu’à-Pa I)ittancd..^yHNi'
Theodulfe étant à Avignom fe- trouvoit fur les! confins
dû pais, que les Gôths avoient autrefois o’ccup^. ;f‘‘
Inde NemaufiairÀs fèiïfim properamus 'ad 'arces. -'Ces for1
terelïes de Nifmcs- ne peuvent '^entendre que des' Amènes
,< de la Tourmagne , de la Maison quarrée * jfcç.‘ c’eft-
da-diré der certairis: ddi^cës^iahdï&s ‘ î , pm|r ^evé^ & 4
forts -, *qtif pôuvôîëriï férvîr dë rfflSituWHrPdë quelqttë
défenfe. Il eft certain qu’à l ’égard des'Aréde^ëhpattïcû-
Tier les-Gothsq
une efpdcè de citadelle , ce qui obligea Charles Martel,
quandil démantela ëhr737.* lë^VillêVHë là Septimiknie ,'de
brûler les habitations* qu’on avpit pratiquées* dkns P intérieur
des Arènes.- -
p Quo f i attofa urbs eft , refiquè operofa fiatts.. L ’enceinte de
l’ancienne ville de Nifmes étoit fort grande , comme il
eft. aifé de Je reqonpoître. aux .veftiges qui : em fubfiftenc
encore. Voilà qui autorife l’épithete de Spatioja. Pourries
mots qui fuivent , , je ne croi pas qu’on
puifle les entendre que des .grandes ‘réparations qu’il y
avoit à faire pour rétablir cette vilîë , qui rdevoitravoir,
ét.é -fort ruinée pendant les longues f guerres des :Goths
Voyez, lerVers rapportez fur Verdulein ArnàiàumMagalonénfem Epifcopûàï,*
eu ton parle ainfi de l’expédition de Charles Martel. ’
1 : Tuile Ncnftiifenas .'exari pjfif Ate'riàs. V
Âprasiprïefîdio perndia:' jaPpùIo£ | | "
î , 0 e R ? A '|^ iK ':E d p y 2 p ïP tm $ ’Ï ^ C h a f i K m Ê È m i % i,
&v des ,Sarrafins, &«ehfuitei des»Sarrafinb&' destF rapçois,
St, -quh:en effet depuisy4ë^fteml^àt^^trouve; rédiMrev, au
qua^trOU-au- cinquième* idu terrain -qu’elle,/joecuponiri au^
trefôis'.^ i
ÎMme Magalonà hubuit lavant, Ee^pfttî&texti^am^ ^Qela .* gproe^que qéjal du teros de Theodulfe ^y^aydit quitté
â, VoïèVomainedjui &^jr’onq'rravQ:^
-meiûe ^hcuôit otjT
6n;llë trWe®e aujourd’hui.. LaTimWfion'' de- iSIxtfyoh éft
au^rePq.-.bien malqUee^^fôJm'ême .que'cSteae Mag^Lc1
lonne^lpoèryû^qu’oi^ntqia^par la mer dront parle Théo- Lld^h-
dulfe , l’étang de Latm*.'; au" milieu duquel^Gjtt,e ifle eft ■ ’
placëet.^TqpÔdplfê' -ti’eftr-pas de feul , qui^fajtt' donpeii, cet
étang le hom^f mer. L’ab^.Si^eF-l^^&^i/^ârJgnt
^^cetVë''Wême iflëq ^Masuelom^. à TqccafiQh de l’arb,,
rivée en5Ff4n.ë|'';du Pafte^}Qek£ê^I. qui ,^'abnrdav!f en
ï Ti 8. dit^dtojmqfque’c’é'toff''une.pelifâfle dans la^mêrV
Arctam wpelfiftôtnfitlam.
. Agathem mox pahifiniftrd,'Linqmmus. Il y a^apparencei
q.ue Theodtflfelen allant à . Beziers paffa à. CeftrAaÈjÆ^ffi
d’h,ui .Saint TibejjL. en fufeânt la^.vbie^militairedçslRo-»
m^jris. Mai[s en quelq^çendrpit qh’ilaitqpaffé,ilaulûégalement
làilier Agde a iq.gauche.
Relliquioe Getici populi , fimul Hefierd turbx.fijt tte jofé.
quelles dtfoendans des^Goths sMesItaliens quir'étoient
à 'Narbonne témoignèrent d’avoir adeur- tête un hortime
de même fang qu?eux^Confangmneo ,' donne, liéüde croire
que Theodulfe étoit de nation gothique^, & originaire
d’Italie^ Sij de çëtte partieqde l’Italie que lés ©ftrogoths
^voient autrefois, ocqupée-Pour cette troupe d’Italiens ,
Méfiera turba , qui étoient à Narbonne, il y a apparence
que c’étoit un corps de marchands, que l’intérêt de leur ■
négoce retenait à - Narbqnn.ej ; 'car cette ville é,toit enedre
fous la fccondvé Jrac.è de dos Rois une ville d’un grand
.commerce,
Inde revfientes te f;; JparcaftimnA, Redafque. ta - ville de |
A a ïij
de vitâ
Groflî.