■ '(^É&6 itiage efi|
ancien en figypce.;
Dio lore le S'cÜe1,
BiMiath. Hiftoric.
lil>: i cap. 74 Et
Pline: Hifi. ncttu
val', tib; i o. tapp.
f4- 'T tjv cn.«nC
jatlil.
{"£') I» "Epiflol.
Tbarm. Piodiî ad
VÊtôrrnûmL, apud
Th. Baicholinum,
Cmmtr. ii>-
(*) Thofli. Bar» -
tholinus ibid- S
(«^.Kènelrae-D.'g-
b)', Treattfe o f Bi-
dies ,.chap. 14.
jg|É| M eMOIËE E>ïïPS T 0 IR-E • N A. T f-R,RL £ R'
pouvoir entrefer:Ç.èP jÈeirfS e&^Fe'^.ÿpÊeaeîfagc»n; a.-
lfelirtd0uce”& toujours’égale des? baînsîdei’Baiaruc vinrent
à ëclorre à peu-près dans le même*nombre-de jours,, (que
ceuxquele Baigneuravoit. miSLcouver dans,k,,inênae't!ems •
%us“lune-pb'ük.! - ‘ | _>'<> . !
'J^;©n ’péut4 on0 retirer 40s bains de Balarue pour l’exclu-
•fion des poulets ,î le même‘avantage que -les Egyptiens
;(4 retirent de l'eurs-fourSy dront on peut voir- k conftruc*
t-ion. &'4’üfage dans le VII- LomeàmMou'veaux Mémoires
des Miffiahs,. dansait Levant: Gii eu:qui eft p p *®6
plus importanton peur fur .lîexppnple -deSiBàins de Bak-
r-üc empioier k chaleur douce! dbbeafr commune , mifé sf
Un -degré convenable, pour faiæ.édbrre -une 'grande quantité
de poulets à-la- fois d’une maniere-beaucGup.plu&fpp-
pleü '& beaucoup plus commode ,,'qae celle dontjonj-fe
fert en Egypte. Il y a grande apparermoqueeme dernière
ptâtiqdg réuffirok mieux'en'Europe)’que celle d’Egypte ,
dont fJi) Ferdinand H.’ Grand fïhK» de Tofcànë | :fé )
ChriftiernelV.Roi de Danemarcx i'S^§^Jèm'R&YfdoM>y,
Gentilhoirinfe ^ngïofe^ont. fait. autrefois: 1a. t-encati^||lK
beaucoup de fuccès.- ' 1 1 j
m Î-V, L’eau des bains 'desBàlaruc dontthnafemplit. Une'
CüŸe’, conferve ordinairement1 faoebabur .hui ts HèurèSiidu-
rant pour le moins. En généraWeft un f%kt confiant que
quoiqffei cette eau ait à. peiner à;-fa; fouace ifectters jde fk
chaleur de l’eate. bouillante ordinaire , demeure pourtant
doux oü-trois"? fois’ plus àiferefjoidk.. , |pj
V. L ’eau de Balaruc'puifée. ælaj foûrce ^ & ‘pâr 'CÔnfe-
quent aiant route fa chaleura pluddépeinè 'pourtant à
bouillir que l’eau du puits- de Boufigu^;.qu^eft :|rpidc-
J ’ên ai fait l’experience pluheurs fois déplus.d’une façon.
Je- mis dh;l’eau froide? duspufts::deiBoufigues: ida|k une
petite bouiildife'de'fer blanc y.&r'i’én aiaaiB.remplieià une
Certaine hauteur, je l’expofai à la chaleur d’un réchaud à '
l’efprit de vin; L ’éau. né. commença de bouillir que jdans«
«Bm minutes! %'!i i s t - iT’q/. |u .rr;o v<rTrr;f
L ’eak dé Jkkcac putlléià kTource, mifé fur leochâmp
à la fnêfiie hauteur 'dansr’la même ’bduilloire ^ îqu# , jk^
fois-fait refroidir auparavant >, &' exgofée tout de ..fuite
d e N g ü'E1J>(51CïvP^r/.. IL Gbxp. IV . 501
,â la^chaleun sdu » même réchaud , ne‘commença de Bouil-
pr qu-anrès.34. miijk|es & d,ep>ie ,, Sc même,3 y.: minutes
, c’eifrà-drre^eminutésï plus,-^ard que l’eap froide' du
puits de ,.Bo,ufigies^,Il faut même, remarquer que l’eau de
Balarup;fut.-nion:feule|nei3^ plus lepte à bouillir,, maisqiie
de>boûiitop,ne^eru;i ep;fut: reoins s■ tbulfes ; plus; pël’oau
meinsj agitée,.-
La;reê_me expe-dtfpçe fut. réitérée,aimais-- d’une: manie-
Ve moins , exa^è ,»avee deux poçs de <terre égaux., pleins
à k même hauteur ,5 jl’un 4’/faus*§bmmunei.froide& J^ù-
tre d’eau-.jChaude des bains, placez en msjme tems auprès
du mémo feu & à k> mêméiViftancc.*,^jell# eut le mê-
me-fuçcës, ^q’eftrà-djrc que Pea^de,- Çalaruc« commença
d&ibôuillir plus tard; <Sf;que(l,es bouiHbiosjen, furent fen-
fiblem,çnt mqiqdrcst;
'^ f e tsÉeuxvj>bferyati»pps femb'lent décider'un |>oint impÇr-
tant dqk;q^efUon fur la caufe, qui produit k chaleur des
eaux Thermales
1 Q.~ Si.cÇ|te; .chaleur yenoit d’un feu- fouterrain, qui
agj&jjur &e-aux de Balaruc -des qu’elle ne- fer’oit
plgfv^pofée à l’abtidn deleê/feU}, devrokife-jefoaidirauffi
v-îtVrque l’eau .commutas .échauffée .au mêmet degré par
ledeujoedinairàk^dqui .eft, contraire à* l’e&fér'vath/r LSI.
adDiO^s l^mêmaduppofklQn, lkati de Balarpc ppifé^à
ladqürce-.devToit êt-rq plus difpoféek bouillir qge de-beau
froide, parce que là çh^ourqu’ellg uüroit-déja rççudïdupfé-
tenimdeudquferrain^, feroit une'avance d’autant po,urVé-*
I>^tl0nycp qui eft.pourtant contredit par l’obfîrvatjop-y.
V'.Gqn’eft donc pômt à- l’aVionr^’aucun feu fouterrain ,
dont ilferpit d’ailléurs très-difficiip d^prouverf éxiftence^
qu’il faut attribuer k chaleur d ^ € ® ^ !V & rrï1#'ds >imais
plutôt à,uno./ermentatiqmquilS’excfre en dlesruiêmes^p'ar
lé,-mélange-deS'principCs-qui les çorqpofent. Je; ^gi qu’il
n’ek pas facile _d!expliquer .la nature, de ces^prjnctpes, ni
le .genre de fermentation» qu’ils^ peuvent lexciter ^qauflj.
n’aiqewpas deftèin d’ent-rer.,dan§ dette, queftiom Je csôi
deyoir remarquer flulement que.jÇes deux mêmes.Obfer-
vations ,ydbnt ôn.ng fçaurqit rendrefraifon1 .'dans ,l’autre
fügpofition ^s’expliquent aifément dans ceUq^L;''.,
- ^ S üi