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cnptiöns Mflliairex,, qu’on trouve encore-dans de
bas Languedoc,.
’ :La: $efp$4evfyWk-'PÇ .^l|%r;ç a d ;quç
mottes 4e phÿ fïqifo? Ûs•§’agk 4[a*bP£4:4ft, 4eux Fog$ '
taiçies intermittentes & périodiques ? dont je rap-,
porte l§s propriétés ,.&dont je tâche d’expliquer
fo^c^ûrfe?. à qçfte-, otçç§(îqn,qqq j aj -raj^fle
qq que jaj t;rou<ve;dç plus çertaindans les Auteurs,
fo.ç quelques 'Foqt^ines de, la m.eme; çlpece,
_t Çomme une de çes Fontaines, appelle^;
jaieq fo in d ’en examineriaqualité&r 1 avërtu.Les
eauxfd.Ê cette Fontaipe ne contiennent nlfor ?i ,n§
acide ? elles font, purepieptjlkalines, & changées
4’uqédhfôfocfon; 4§fcftfFrÇi n^inetah >
ondé^ erpplpievpcpif lespaajladies de pjj peau ,.ppur7
lc&obftruàions 4es Vifceres, pour les ulcérés in.
ternes, & ce qui mérite le plus d attention, pour
fo§ u îc e r é ^ 4^ ? pd:Urnpr^5 j -* 4 ! 1 m à
Jç fçai que le préjugé q’ç.ft pas favorable à cette
pratique. Selon 1! opinion CPtPtnnnqles- Eaux Mi-*
néral®&font;contraires aux maladie^ de la poi.
trinet
toutes les e^ûXjfetrujine;Ure%i^^e#
îvCaisne dp'ic^-ö n pas fa ire,; que] que e,xe çp r fof1 en
Éaye-ur des eaux alkalines, fulfureufës,'exemptes
de fer;, telles que celles de la. Fontaine, dont il
s’agit ? Je puis aflurer du Imoins que les eaux dç
' . XV
cette Fontaine font nbn-feulémentrecôrnmen-
déés dans le fpàl:s pour cés maladies, maisqu’el- v
ferini’cMitgh&ibieridéhîîrHarifs'desëâs, ouïe pdua
mon étoît cërtMdéméiit éhtàfàé. Je rne félicite
de pôüvoir appuiércè'que favance,,de ïautorité
du ‘Sçavant M. Frédéric Hoffman, Médecin du
Roi de Prude, & célébré Pfofeffeur en Médecine
a Hall. Je Vièns^tîé voir que ce Médtüip ap-
pràiive dan¥da Phthifiê.mêfoe; («)' les eau* de mpL c cmnâs.
s m m p r n d é^P fé fo fd rt-^q u d r fonde P é io ^ é ^ H f t jE
qu’il en fait,for ce quelles fohralkalines-& exemp. nen-t7iU ,a' li<
té¥ deffér êd d’acide, ëat!d ailleurs/elles ne côni
tiennent aucun fouffre, ct»mmle celles de Fonfan-
ctte, & peufiêtre en cela'font Jélles rîfofos^ efficaces
dansj les maladies de la poitrine.
Jë parle en-fuite des Bains de Balaruc , de leur
v|f ^ : f de‘la mànief’e cPèh'fairç ufage y & je rapporte
quelques Ôbforvations nouvelles ôê curieu-
fes. ffe^remirq'ue fùrri^/cj^è!è é £ S r q ü ' ë
chargées- d’une affez allez grahde quantité de
ïtiineral , ne biffent pas d’efré plus lëgeres qùe
leauoVdiriaire,;ce qui prouve que les pàrtWâüi-
vent en fëtte.*plii§ téhues. On a dëjafobfoïëé la foÜ
me prëptiétë dans :p l u fi ë u rs autre s eahx Thëfttii-
les, &fo:ivanr lés,apparehceséétreténuité dé MïH
partiesëôitcontribucr beaucoup aux effets, quel-
fos prôduîfont. Sur'èë pîéd ùhëitidüvëlîé
b h é d’<!)bforëàtibhs ï folfèi£Pa^ëhir dâhH’é-
xafoèn des 'Ea:ux Ifhëi-foaléV, èd jîipë-' êtïr#’ foêiiié
dés Eaux Mihëfaîfes froldél:
Cesprémiers Mémoires font foivis.deiiiiéiq'tifes