quàrréè", qüi!<â'Iétéf décrite au nP. L ' Gii{y lit untMlnÜ
, cription * -très^bien coS-fervée de l’Empereur Tibcre,
& la meme Mot .pb&r-raot que celle que nfâ&s-avons rapportée
au na. I; en. parlant -du rpYemier Miliiairef quatre.
La. foule diffoiewcëfic’eft. qu’au lieu qu?à ce premier' M il-
liaire on lit au basi-fo nombre XIII. on lit à edui-ci le
T^fii» ev_ ^ fq sg ^ ^ rm iÿ ë tas»;c^éfcât le ; c foqiâéme ; Mil-
liaire en allant der &iftn|e§ia Arles^ où ;cette.xv«âeîime-
■ fiaiij, comme on fa déjà remarqué , ce. qui s’accorde
avtefootféfofoéuU- ' i
: La piefrefoylindrique. eft-entièrement femblable à la
coloMné- nulliaife 9 de Clàudius, ctfochée par terre: entre
les" 'qUStfg: colombes du Monument, qu’on ‘-trouve vis-à-
vis tfu IV. Miliiâiré , & dont oa a L’Inlèïriptionfo($)
eft-la- même .mot -pour .mot-Mais-£u®. aucun
chiffre , & elle eft; enfoncée ! de mêm e' dans: à ® ; efp'ëcé
décadré WÊBSÊÊÊÊ d’un firqple ‘rebord; L e ^kmetre
eft auffi le même & -de 14. pouces;'"’
_ XII. ISâyMé romaine cfue bous venqris de. décrireiLepuis
Beaucaire jufqu’à Nifmesi# continué* d{êtredescore reeon-
notftable deux-lieues au-delà de "Nifoies"en allant vers
Montpellier^ c’eft-à-dire jusqu’au viMage d’tfôhau'i & quoi-
quklle. fl»it *Onfèpdue'awc le;-chemin roial moderne
les- pierres Milliaires qui fubfiftent -enoèiei -neéjjerméttent
pàsfote~'la{ Méconnaître.
- - On trouve à un quart de lieue-(&} dé’tNr-fmës BoÀ mai»
gauche1'.en allant à Montpellier contre le"'- mue die+clo*
ture d’une vigne , une pierre M'iiliaire' cylindrique # >dp
y-.; -pieds--ck-haut hors de-terre. On*y lit ‘dans'.un
cadre ehfoncé & entouré d’up peôï^reliordil^lL%forip&
tion fuivartte-. p
^;Bëtp'er,.ftbb^py^,pa^.tXf9. m°. 5. rapporte:-cette foàiiptioiïi»
mais il-a. omis le nombre V. qui eft à-la fin.
i* > Ç^lj*
(b) Ibid. Gafltaï Annqùitar. jtag. pan
; : Befgfor*A fttprà n°. 4 .
4! (V) Voyez là- Carte de là Vbie Eoipaine à l’endroit marqué A. •
i .îyi) JVlaffeij lbidttfi. Bergier, Ibid. , n 0 \ I.
’ D g LA lSTG' U ED'Q-C. Part. I&ëhap. X V I . 225
I M, P.iiiO A -E S A K , ; ! Copiée Car „„
* Mémoire exaft
- D, I I H A D R I A ' ÏSÎ. • «nvoiéde.Nifuies.
^ F , T. A E L m V r S H A D-R I
• A A ^ T Q^N jl N V S
"A j ^ f e ^ 'P I V $
PG N'T J F : M A X . T -R I B. POT .
V l ïT . I M P.^î~h>«€ O S/ -Ü T l, |
p. p.. y ! !
■ H j g
Lie Chiffre L -qui-eft- au -bas-de lïnfcaptiooe, a16. pou-
cèl {de #long/|Il'*marqüoit queIc’étoit le premier Militaire
de 'Mfofos' à Waibon-ne. 1
“défMïftaü fooii trouve au milieu du chemin "une autre
pfe^requairée l<êk ~è& Jafo-rme des Milliaires de -Tibere.
L^hfMptionhen eft-effoeée , i&*toutfoe qu’on peut faire
end’êxUminititsde prez ^ tfoft d?y diftinguér quelque'trace
J ■ avoir^k-d^içShifætrcsl Li sXXi yXVRII.i clel'.q ui s’accorTde' »av®ec AW- 3*.k
rl’o|d|è desMdli'airesde route , comme on lç prou-
vera^eildêflbüS''.'' Vàyëz, -dariS fla' carte d’endroit ' marquéîB.
* XIV.1 ‘A{ïine' lieue1 de-là ^2'!cëïit<cinquat£ce s\pas'.;ayànt
-qûëî d^arrivOr a^üchàu, on I trouve1 une- j pierre cylindri-
^uefM'l^i^Mirie Milliàire-, ^'entieremetit i?emblable-a-cêHés
d’Anto'tMp.^É^iK-for la carte'l’endroit ma»rqüé .iOïlElle a
y .pieds- de- 'haut hors d>e terré1 &ixa. pieds - defdiamet-re;
On-peut Iîbe-':ëncçre! 4e éemmencetuent de l’In-fcriptfon^
qui-prouve ce qué-la dorfiie de la pierre âvoit annoncé;,
mais la fin eft .j^Facqe^Jd. Je Marquis -Maffeir^)- >pietend (p) un fuprà.
* 'fdfl*^®aI!'el > Settes praful. Afa/r-alon. pag. 4 2. E d it . '2. lâîrappoEtè* en
Vntktjtf^àis pèiit-çÈlIè ;àtt^ii ■ ûippîéé fkiq&lltasèâfo^ipfictds^Kli Ubii-es
<lu oieiiie £mpej.‘6UE ÿée-qja’or^ ne pou voie pbvs Kredâns csIle-W*. .