'4 fit MsM' ©IRE à ?6vi L’H ï S t o i R È N ^ ’FURE L L E
' Le Mémoire j que je viens-cte "donner dans le Chapitre précédent, eft
lf'tnêmeqydj^^P.rPlanque$r^||Éjajc imprimer. La fôÿ|c ■ difFerpnce.j^gl
que jerl’ai.donné nondeuïemeat exempt des fautes qu’on avoic laiflè gliflèr
dans la copie, rqàïs retouché.jnêmg eq quelques endroits, op il m’a .paru
qùljÿîn^iôisfep'éféndu ; en un niot|clans qn état où je |rél.ppüyoir l’avouer.
J ’y vai joirtdft la Diflcrtatton dii Pi Planque, pour ne pas priver le
Public de? éclakcjffcmeus qu’il y pourra trouver. Çqmme il l’a-déja^pu-
bliéeijji-piême »d ne fçaurqit-fe. pldndredç tqon ^cçdç^Se je n’ai pas
: fujèt'â&çr|iridre de fâ part les rejprqcjies que j’ftois en droit dé lui faire. **•
Ç H A P I T R E T ï , ; f
.Obfcrvations fur la Fontaine^ Fo'hte/~Orbe,accompagnées
jde l'explicationde tout, ce'qu’elle a de remarquable.'Par
le P. Planque de Wfàtoïre \ de U±Sstiete des §çiemej
■ de Ppuloufe,
I.
Raifms qiri mt engagé le P. Planque h faire j des- qbfirvations
: , fur la Fontaine de Fontejt-Orbeu
LA Fontaine de Fonfeft^Orbe a^qqçftéj dâns |.tops> |es
. tenus l’admiration dès Savaitj4 i.pafOi%i^ême qu’ps
-l’ont regardée comme un-snyft?ûe de la Nature- qu’ils ont
franc B,vie Inft. crû quils'ne pouvoient pénétrer. M.'Bayle après émavoir
p^ficl^r/.ivfcV. donne une légère idée , avouÇ Jagefljument' cju’iP n’â -pq
*• fi h rien imaginer fur cela qui fflt c^àble^Æ^le^ipirè f
& g nous affure qUq] rt’en a tfbqvç daqs dgs.Auseurs auT
cune explication raifonnpblg^- * _,, - ,, -„^3 k:v
Celle, qu’on en donne, ici, doit cependant feire juger
que ce myftere ha’ét-çfa pas fx impénétrable tju’on l’avpit
dru jüfqu’a préfeni. Elle dépend de peu de, fuppofitiorïs ,
§j Javoir -"celles; deA Jd èfeç ' tél^rVoirs , d’uti feaf fipnoü d£
quelques ouvextqçésf. Pun-ctes-péférynifs. Il n’y a rien^Ja
* .qui fojt au-deffus, de*Vefprit humain ; tout y efl fimple. &
naturel.. Par Ja-ïeâure. qtfon eft fera, l’on aura peut-être
lieu -de- Fe^cdnvaincre'4jüe? Couvent la Nature db>: nous
' paroît fx obfcure &'fi myftéfieufe que parce qu’on ne Pexa-
* ' •- mipç
Wandiz