donna beaucoup de peine j car voulant leur
échapper, il plongea plusieurs fois sous la cha-
loupe, reparaissant tantôt d’un côté, tantôt de
l’autre.
SAMOURZAKHAN.
DE
LA GALAZGA A L ’ENGOUR.
Samourzakhan.
Je quittai Soukoum-Kalé définitivement le
Il juillet, pour me rendre à Redoute-Kalé ; mon
bon capitaine Voulf voulut encore m’y accompagner.
Avant d’atteindre l’embouchure de la Galazga
qui fait la frontière de l’Abkhasie du côté du
Samourzakhan, nous passâmes devant la Mar-
khoula, qui coule entre la Tamouïche et la Galazga.
Toute la plaine qu’arrose la Markhoula
est superbement boisée, et la rivière est bordée
de bourgades abkhasiennes.
La distance où elle se trouve des ruines de
Dioscourias ne laisse aucun doute sur son identité
avec 1'Astelephus d’Arrien, l’Astephos de
Pline. La petite bourgade de Iguanas qui se
trouvait sur sa rive droite, non loin de son embouchure
, et qui est marquée sur la carte du