Sof) ADDITIONS '
Ce eerfdont nous devons désirer une description plus complète,
portera aussi le nom du voyageur zélé auquel nous le devons; ce
sera notre çervus Leschenauldii.
Page' 66, ligne 27.
■ On a représenté, pl. IV, fig. 23, le deuxième bois de l’élan qui à
vécu à la ménagerie.
Addition à l ’histoire des Boeufs vivons*
Tome IV , page 129.
M. Duvaueel vient de m’envoyer le crâne et plusieurs belles
figures de! ce boeuf particulier à la région orientale duffleogale et
aux pays environnans, que M .L am bert a décrit sous le nom de
bos frontalis. Cet auteur dit qu’on le nomme dans le pays g y a ll ;
selon M. Duvaueel, on l’appelle/'Mng'4><>gùï« ou boe u f des Jongles<
Il offre un singulier mélange desrearaetères du boeuf et de sCieux
du buffle.
Le crâne î le front plat, plus large qu’il n'est haut, et plus large
entre les cornes qu’entre les orbites. La ligne d’entre les cornes
forme aussi la crête occipitale, elle est mousse et à peu près droite;
les cornés Sont lis&s, aplaties d’avant en1’arriéré', niais sans arête anguleuse,
dirigées de côté et plus où moins vers" lé Mut’ét'tiënpas en
arriéré,
lie mâle ressemblé !à notre taureau et a dé rrièmë lin fanon pendant
soüs lâ pÔitfiWé; lés deux sexes' sont de même couleur, savoir : noirâtres,
avec les quatre jambes blanchbè', le front et titiê bâiide longitudinale
sur les garrot grig çepdré; le.tour des lèvrgs est blanchâtre et
celui de l’oeil cendré ; il y a des poils blanchâtres en dedans de l’oreille
et sous le ventre; la queùéi'est fldconneüSe comme dans nos boeufs et
nos vaches. Si ces animaux ne sont point une raes; bâtarde proypnue-
du mélange du hoeuf et du buffle, il est difficile de, ne passes) çpnsûr
dérer comme une espèce particulière; mais pllepe r^ÇPlHS ËfSftï
aux crânes fossiles.
Addition à Varticle des Brèches osseuses de Pise.
Tome IV , page 197.
M. Pentland m’assure avoir vu à Florence, dans un morceau des
brèches pisseuses de Pise, une tête inférieure de fémur, bien certainement
d’un carnassier, mais qui n’étoit pas asséz débarrassée pour
qu’il pût assurer si c’étoit d’un ours ou d un lion.
Addition à l ’article des Brèches osseuses de Corse.
Tome IV, page ao3.
M. Boürdet de la Nièvre, dans une note insérée au Journal de
Physique, août 1822, pag. 143, assure avoir trouvé dans les brèches
de Corse une portion de fémur de ruminant de la taille du daim ou
de'l'ântïlope', et une mâchoire de lapin à peu près de la grandeur et
de la ferme de notre lapin sauvage d’Europe.
Addition à Varticle des Ours fo ssile s de Toscane.
Tome IV , page 379.
! On a récemment déterré à Figline une tête presque entière d’ours,
qui est déposée au cabinet du grand duc.
M. Pentland m’écrit quelle surpasse à peine en grandeur celle de
l’ours noir d’Amérique; qu’elle a\ trois petites molaires h la mâchoire
supérieure, qui remplissent tout 1 espace entre la canine, et la pi e-
niière grosse molaire ou antépénultième.
Addition au chapitre des Hymnes fossllès.
Tome IV , page 3g5,
Depuis que par les ordres de S. A. I. le Grand Duc les fouillés’ se
multiplient dans le val d’A rn o , on y découvre un plus grand nombre
d’objdis intêressans.j|
L’hyène vient de s’y trouver.
6/p