zygomatique arqüëé en dessus et en dëhôrspet qui produit âussi'itiïé
apophyse1 pôst-ôrbitaire, b.
Le crâne est presque en portion de cylindre, plus comprimé derrière
et * isoüs les apophyses post-orbitaires du frontal, plus bombé
sur les côtés en arrière.
La fossé temporale couvre tout le côté du crâneï- La crête qui'la
limite part de l’apophyse post-orbitaire du frontal, a , fait avec sa
correspondante tin angle aigu qui se continue en une crête sagittale
jusqu’au point de rencontre avec la crête occipitale, b b.
Celle-ci forme un angle aigu vers le haut. La face qu’elle limite
est inclinée ou retombante en arrière. La crête se termine de chaque
côté ën arrière du trou auriculaire , Sôus lequel est une caisse VéSï-
culaire bombée, c , et derrière cette caisse une apophyse inasloïde
comprimée et crochue, d.
En dessoüs le crâne montre en avant des deux caisses- les deux
facéttés'glénoïdès fort étenduesentravers,/,'ce qui-écarte beaucoup
les arcades zygomatiques.
Près de la caisse est l’apophyse descendante , g1, qui arrête la mâchoire
inférieure en arrière.
Le palais est un long triangle isocèle plus large entre les antépénultièmes
molaires ou carnassières, h , h , et dont le bord’ postérieur
est précisément entre les dernières Ou deuxièmes tuberculeuses-j1^ !i.
Les Crêtes ptérygoïdes ,Tc,Tc, interceptent un intervalle moitié plus
étroit que le palais et des deux tiers plus court. Elles sont simples-,
hautes et un peu crochues à leur extrémité et ne s’étendent point jusqu’à
la eaisse.
La région basilaire, A, ést fort plane en dessous.
Dans le chien naissant les mâchoires sont renflées, à cause des
germes de dents qu’elles contiennent; les bosses frontales sont péu
saillantes parce que les sinus qui les doivent remplir ne sont pas
développés ; 1’apophÿSe post-orbitaire du frontal n’est point marquée,
et il n’y a nulle crête temporale, ni occipitale, ni sagittale, en
sorte que tout le crâne est arrondi.
Ces crêtes commencent à se'montrer et à se rapprocher de pins ;
en plus à mesure que l’animal faitmsagede. ses .muscles crotaphites.
Elles se marquent et s’aiguisent d’autant plus que le chien est plus
fort et qu’il est livré à un,régime plus parnassien
Les petits chiens d’appartement conservent souvent toujours la
rondeur de leur crâne.
Lesvieux mâtins, les vieux dogues prennent au contraire une épijie
occipitale très-aiguë.
La coupe diffère beaucoup selon les âges et selon les variétés.
En général, le plancher est uni; la selle presque point élevée,
son rebord postérieur est étroit, l’antérieur peu saillant ; il n’y a pas
de sinus sphénoïdal.
La tente du cervelet est,osseuse et.sa partie moyenne très-saillante
en dedansi La crête du rocher est aiguë, le sinus en est profond.
La courbe de la cavité cérébrale, assez plane en dessus, s’abaisse
en ayant pour venir à la grande lame cribleuse qui au total est
presque verticale,; la direction du trou ppcipital ,est aussi à peu près
en ligne directe.
L’aire de la coupe de la face, si l’on n’y comprend pas les sinus
frontaux, est à peu près égale à celle du crâne.
Mais les sinus frontaux sont énormes dans certains chiens, tels
que le mâtin et surtout le dogue. Ce sont eux qui remplissent le
devant du crâne et les apophyses post-orbitaires du frontal et qui
établissent les plus grandes différences entre les diverses variétés de
chiens..
Cette tête est divisée par des sutures comme il suit.
Les deux nasaux, B, B, bien distincts, remontent jusque entre le
milieu des orbites, où ils échancrent les frontaux, C, C, par une
pointe, aiguë.
Les intermaxillaires D , D , prennent à peu près au milieu de la
longueur des nasaux. Leur suture marche presque parallèle au bord
des narines, passe en avant de la canine et traverse le palais vis-à-
vis son milieu; elle arrive aussi au milieu des deux trous incisifs ; mais
l’apophyse interne de l’intermaxillaire se porte plus en arrière que
l’externe, en sorte que la suture est là à l’extrémité postérieure du trou.